Chapitre 2
Le chant mélodieux des oiseaux, et plus précisément celui d’un merle, me tira délicatement de mon sommeil. Mes paupières, encore lourdes, laissèrent filtrer un rayon de soleil qui semblait vouloir me déloger de mon lit.
C’était le premier jour des grandes vacances, et je soupirai de soulagement à l’idée de ne plus devoir franchir les grilles du lycée. Bientôt, je saurais si cette vie de lycéenne touchait enfin à sa fin !
J’avais été acceptée à la faculté de psychologie, bien que ma mère considérât ce choix comme une forme de procrastination, un mal qu’elle croyait répandu chez notre génération.
Certaines images de mon rêve de cette nuit me revinrent . J'avais la sensation que certaines scènes avait été réelles , tellement je les ressentais dans mon corps.
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