Chapitre 12
J'adore me réveiller auprès de cet homme, il est magnifique, et même les cheveux dans tout les sens je le trouve à tomber. Je scanne tout son corps et vois que les draps sont relevés au niveau de son bassin, laissant deviner une belle erection du matin. Je descends le tissus doucement pour ne pas le réveiller et regarde de plus près son sexe dressé. Il grogne, mais ne se réveille pas. Je commence donc à poser ma langue sur son gland tout gonflé et il se remet à grommeler puis soupire. Je ne sais pas si c'est de l'excitation ou seulement l’éveil, alors je continue d'expérimenter mon voyage, en léchant avec délicatesse son membre. Je monte puis descend, et il se réveille tranquillement, s'étirant et me caressant les cheveux comme pour m'encourager.
— Bonjour princesse, tu sais comment me réveiller toi.
Je le vois fermer les yeux et profiter de ma bouche qui est maintenant autour de son bout, prête à l'avaler de nouveau. Je fais quelques pressions avec mes lèvres qui provoquent des râles virils et une forte excitation entre mes cuisses. Je le glisse doucement le long de ma langue, lui laissant le temps d'appécier chacun de mes mouvements.
— Oh Al’, tu es divine, continue.
J'ai l'impression d'être une déesse du sexe à ses yeux et ça ne manque pas de me rendre fière. Je l'enfonce encore plus loin, mais ma gorge n’est pas encore réveillée donc je décide de ne pas aller en profondeur. Ça a du bon aussi de diriger les opérations, disons que ça change avec mon quotidien et c’est exactement ce dont j’ai besoin.
— Encore, réclame t-il excité.
Je la téte délicatement et je sens son bassin se soulever par les sensations, là c'est moi qui le tient dans ma bouche et j'accentue mes aspirations. J'entends à peine les mots qu'il prononce tellement il soupirs. Je sens qu'il est gonflé et que plus je tète et plus il prend de la place.
— Ouiiii.
Mes mains lui malaxent les bourses, et je sens qu'il apprécie mon geste, je sers un peu plus et ses gémissements se transforment en grognement. Je le sers fort, et je le vois serrer les mâchoires mais geindre de plaisir (Alors comme ça monsieur aime qu'on lui fasse mal)
Je tire un peu dessus et je le vois s'enfoncer dans le matelas, quelques tremblements le font vibre dans ma bouche.
— Putain Al’ c'est bon, continue.
Je sais qu’il n’est pas loin de jouir et je vais devoir faire un choix cornélien. Où vais-je recevoir son plaisir ? Mes mains relachent la pression et calme doucement mon amant, le temps de la réfléxion. Il se redresse, et le feu brûle dans ses iris.
— Allez !
JE n’ai pas pour habitude de prendre ce genre de décision, habituellement c’est Alban qui décide mais là il me laisse choisir. Il s’impatiente et son regard se durcit, à ce niveau là, mon mari m’aurait jeté par terre et m’aurait prise violement.
— Aline, décide-toi.
Il lit en moi comme dans un livre ouvert. Je suis indécise, j’ai envie de le sentir partout en moi, mon corps entier le réclame, je suis ouverte de partout, prête à n’importe quel finalité. Sa queue dressée et fière devant moi, est bien trop délicieuse pour que je m’en passe alors je le reprends dans ma bouche. Ma paume pétrie ses bourses et il se crispe sur le lit. Il retient son plaisir pour me laisser profiter de lui et je lui en suis reconnaissante car je veux savoir ce qu'il aime, je veux tout connaître de lui. Sans vraiment le chercher, la pulpe de mon doigt vient toucher son anus et il ne m'arrête pas au contraire ses soupirs se sont accentués.
— Vas-y ! m’ordonne-t-il d’un ton dur.
Je ressors sa queue, lui écarte plus les cuisses pour avoir accès et passe ma langue pour le goûter. Son bassin m'indique de continuer, je fais le tour, me durcis et tente de l'explorer pendant que mes mains gardent l'excitation de son sexe.
— Oh oui…encore…
Je sens qu'il s'ouvre, et avec mon autre main, je teste de lui glisser doucement le bout de ma phalange. Il se tend et n'est que gémissement. Je reprends sa bite dans ma bouche, et descend mon doigt entre ses chairs, pendant que sa queue glisse dans ma gorge. Je cale mes mouvements de bouche avec celui de mon doigt, et commence un massage des plus excitants.
Je vois mon homme prendre du plaisir et je ressere ses couilles pour lui procurer encore plus de plaisir. Sa queue est prête à exploser et je sens sous ma paume que ça travaille, j’accélère et d’un coup David maintient ma tête et se déverse dans ma bouche en criant mon prénom. Je l'ai jamais vu prendre autant de plaisir, il est tellement différent d'Alban, beaucoup plus expressif, et sa virilité est à son maximum, malgré mon intrusion. Il était pour moi inconcevable de donner du plaisir de cette manière, mais je me suis laissé guider par mes envies, et voilà j'ai récolté toute sa semence matinale.
— T’es pas divine, t’es diabolique, lâche t-il essouflé.
Je me sens fière de moi, ce n’est pas la première que je fais jouir un homme mais cette fois-ci mon ego raffole de ses mots. Je me rapproche de sa bouche et laisse couler un peu de liqueur dans la sienne, l'amenant à m'attirer sur lui, enlacant nos langues profondément comme s’il cherchait à me lécher la gorge (donc il aime autant son sperme que moi. Ses mains caressent la lingerie que j'ai gardé toute la nuit, et je sens son sexe détendu sur le fin tissus, me frustrant de ne pouvoir le toucher directement.
— Ma belle, tu m'as vidé, je ne vais pas pouvoir reprendre toute de suite.
— Bah t'as des doigts, non ?
— Oui mais non, tu vas devoir attendre que je reprenne un peu de vigueur, me lance-t-il en me déplaçant à coté de lui.
Je sens que mon excitation se transforme en colère comme une gamine qui n'aurait pas eu sa glace au manège, je trépigne de rage.
— Tu vas me laisser en plan là ?
— Ouais, t’as des doigts, non ? me nargue t-il en disparaissant dans sa salle de bain.
Je suis furieuse, j'ai envie, je me donne à 200 % ce matin, et lui n'a même pas prit le temps de me satisfaire (ça ne va pas se passer comme ça !).
— T'es vraiment un foutu égoïste de merde !
Il reste silencieux, se savonnant en se marrant (ah parce qu'en plus ça le fait rire).
— Putain David, j'ai envie là ! Très envie !
— C'est des choses qui arrivent Beauté, bien plus souvent qu'on ne le pense. Tu vas t'en remettre, je t'assure.
Pourquoi il me fait ça, pourquoi il ne comprend pas que j'ai besoin qu'il me fasse jouir, ce n’est pas qu’à sens unique le sexe. J'enlève ma lingerie et me glisse dans la douche avec lui, bien décidée à avoir ce que je veux.
— Baise-moi, Dav !
— Non, ricane t-il.
(Son sourire m'agace vraiment là)
Alors que je suis furieuse, ma main se lève pour lui coller une baffe mais il me l'attrappe au vol, me collant contre la paroie de douche. Bien qu'il a les yeux très clairs, son regard me fusille et il a perdu le sourire.
— Ne lève jamais la main sur moi Aline !
Son ton est cassant, et je m'apperçois que mon geste est démesuré et inapproprié dans notre relation, ça ne fonctionne pas comme ça avec lui, ce n’est pas Alban. Sa main comprime mon poignet et je me sens très mal d'avoir eu cette réaction.
— Désolée, je…David, je ne voulais pas...mes sanglots s'emmêlent dans mes paroles et il me prend dans ses bras.
— Chut ma belle, calme toi. Je ne veux plus que tu recommences, d'accord ? Je ne suis pas violent avec toi, tu n'as pas à l'être avec moi. Ok ?
Je fais un oui avec ma tête car mes mots sont coincés dans ma gorge.
— Et le sexe ce n’est pas forcément à double sens, tu peux donner du plaisir sans en prendre Al’. Je t'ai déjà fais jouir sans que tu aies un retour à me faire. Je ne t’ai pas obligé à t’occuper de moi.
C'est vrai que je l'ai sortie de son sommeil et qu'il m’a rien demandé, il ne me doit rien et bien que j'aie envie, il n'a pas à se forcer. Mais je dois quand même m'assurer d'une chose.
— T'as toujours envie de moi ? reniflé-je entre deux larmes
— Bien sur que oui ma belle, mais je veux que tu apprennes à gérer ta frustration avec moi. Tu n’as pas à attendre qu’un homme te fasse jouir, si t’as besoin de te satisfaire alors fais-le. Je sais que ce n’est pas comme ça qu’il t’a…éduqué mais tu dois t’émanciper sexuellement Aline, ce n’est pas sain de te mettre dans des états pareils.
(Me voilà en apprentissage alors ?)
Nous finissons notre douche et allons prendre notre petit déjeuner, afin de partir faire quelques boutiques car David veut que je sois vêtue de lingerie et que je ne sorte pas forcément les fesses à l'air. Comme Alban ne me laisse pas de moyen de paiement, je me retrouve un peu gênée de cette sortie.
— Tu sais je n’ai pas pris de quoi payer Dav’.
— Tu n'as pas pris de quoi payer ou tu n'as pas de quoi payer ?
Sa question me laisse perplexe, c'est quoi la différence, dans tout les cas, je ne peux pas règler.
— Euh je ne comprends pas là ? répliqué-je froissée.
— Tu ne bosses pas, tu n'as donc pas d'argent.
Je trouve ça gonflé de sa part de me parler comme ça. Et il voit direct que j'ai mal pris sa reflexion.
— T'emballe pas Al’, je veux juste dire, qu'il t'a fait quitter ton job et que c'est peut être aussi à cause de ça que tu ne veux pas le quitter.
(Putain de mieux en mieux)
— Tu penses sincèrement que je reste mariée pour son argent ?
— Non, mais si tu veux partir, tu fais comment ?
Sa question me cloue sur place, je n'ai pas pensé à ça, il ne m'est jamais venu à l'idée que je puisse vouloir vivre un jour sans Alban. Je commence cependant à paniquer.
— Je me débrouillerai et ça ne te regarde pas !
— Tu n’a qu’à faire un élevage de billet, plaisante t-il.
(ahah très drole le comique)
— Tu veux en venir ou là ? fulminé-je.
— Je veux t'ouvrir un compte, où tu seras la seule à avoir accès, en cas de besoin.
— Tu te prends pour mon père ou quoi ! J'ai un mari pour subvenir à mes besoins, je n'ai pas besoin de compte !
Je suis furieuse qu'il ose intervenir comme ça dans ma vie. Il est mon refuge oui mais pas mon mari.
— C’est juste au cas où et puis si tu acceptes la proposition de ta soeur il te faudra un compte de toute façon.
— Quelle proposition ? Elle m'a rien dit !
— Elle a besoin d'aide dans sa boutique et elle voudrait te demander un coup de main, et vu que ton cher mari a la main sur votre argent, bah j'ai pensé que ça pourrait être l'occasion d'avoir un compte à toi.
Pourquoi ma soeur m'a rien dit, si elle a besoin d'aide, bien sur que je viendrais l'aider mais...depuis quand elle fait des cachotteries avec David !
— Tu couches avec elle ? l’interrogé-je agacée.
— Quoi ?! Non mais ça va pas !
— Vous avez l’air de vous entendre à merveille vu que vous complotez.
— Je rêve où tu me fais une crise de jalousie ?
Non il ne rêve pas, l’idée qu’une autre femme le touche m’énerve mais ma sœur ça me rend dingue.
— Dis-moi David.
— Aline, ta sœur passe par moi car elle sait que je saurais trouver les mots pour te convaincre, ni plus, ni moins.
La panique me submerge et il vient pour me serrer dans ses bras.
— Je te demande de tout quitter, quel genre d’homme je serais de baiser avec une autre ? J’ai que toi, et j’aimerais beaucoup que t’acceptes notre proposition. Ça te ferais du bien de travailler un peu et voir autre chose que ta maison et t’es pas obligée de te servir de ce compte, il serait juste là, en cas de besoin. S’il te plaît, accepte.
Il m’embrasse tendrement, et plonge ses yeux dans mon âme. J’ai l’impression qu’il m’envoute à chaque seconde.
— Ok, mais tu ne dis rien à Alban et tu ne verses rien dessus ! Et je te rembourse les achats de cet aprem.
— Marché conclue Princesse.
Nous finissons notre petit déj’ et nous partons faire notre shopping. Je suis comme une folle devant les vitrines, ça fait trop longtemps que je n’ai pas fait les boutiques, car la plupart du temps, on achète mes vêtements sur internet avec Alban. Je pousse la porte d'une boutique très colorée, où d'immenses portants forment des allées jusqu'au fond du magasin. C'est immense, tout est très bien rangé et classé et je me dirige vers le coin des femmes pour y jeter un oeil. La clim soulage de la chaleur, et je me sens moins moite que dehors.
— Regarde cette robe, elle est sympa, non ? chuchote t-il à mon oreille.
David me montre la tenue cache coeur rouge qui doit surement m'arriver au dessus du genou. Je lui fais signe que oui, et il l'embarque dans le panier. Après l’avoir remplie de quelques tissus, je me retrouve au rayon lingerie et mes yeux ne savent plus où regarder.
— Alors tu vas choisir quoi ? Plutôt un string, qui caresera la raie de tes fesses ? Une culotte qui frottera tes lèvres à chaque mouvement ? m’excite-t-il en se serrant contre moi pour que je sente l’effet que je lui procure.
J'en sais foutre rien, je n'ai pas choisis mes affaires depuis plus de 20 ans, et de toute façon Alban refusait les sous-vêtements donc la question ne se posait mêmem pas, mais là je dois encore décider.
— Je ne sais pas, tu préfères quoi toi ? lui demandé-je en le scrutant.
— C'est pas moi qui vais le porter, je n’ai rien à te dire.
— Bah t'as bien choisis mon ensemble que tu m'as offert.
— Oui c'est un cadeau donc j'ai choisis, mais là je te rappelle que c'est toi qui te les offre en différé
Ah bah oui c'est vrai, mais je me sens perdu et je commence à angoisser, y a trop de choix possible et je ne sais pas ce que j'aime.
— Essaye et tu verras bien si tu préfères avoir ton clitoris contre une dentelle qui à chaque pas le caressera ou si tu optes pour un tissu plus doux, qui absobera ton excitation.
Ses mots me mettent dans tous mes états et ça l’amuse beaucoup.
— Ensuite faudra choisir entre un string qui finira par rentrer entre ta fente, te rappelant à quel point c’est bon de la caresser. La frustration d’une culotte qui te maintiendra dans ta mouille ou un shorty qui te donnera un petit air de gamine pas sage qui merite une bonne fessées.
— T’es cruel, sifflé-je alors que je laisse retomber ma tête contre son épaule.
On ne peut pas imaginer comment c’est difficile de prendre des décisions quand on ne sait plus le faire.
— Peu importe ce que tu choisiras ma belle, je te déshabillerai et te baiserai jusqu’au petit matin.
Je déglutis et me lance. Je me retrouve le panier remplie et direction les cabines d'essayages. David organise de manière à avoir un coin pour les vêtements retenus et un pour les vêtements non désirés. La cabine n’est pas très grande, et très vite nos corps prennent contact. Il me rend mon sourire et continue d'installer les vêtements.
— Voilà tout est prêt, y a plus qu’à jouer les mannequins.
— Et je fais comment ensuite ?
— Et bien tu enlèves ta robe et tu essayes un vêtement par un vêtement, et tu te regardes dans le miroir. Tu vois c'est plutôt simple
— Et elle s'enlève comment ma robe ?
Ma demande est tellement bateau, qu'il comprend que depuis tout à l'heure je me moque de lui. Il m'attrape le menton et m'embrasse tendrement.
— Tu lèves ta robe... ainsi... tu la fais passer par la tête… comme ça... murmure t-il, pendant que ses gestes accompagnent doucement ses paroles.
Je suis nue dans ma cabine, et David est très proche de moi.
— La clim a des effets secondaires on dirait, ricane t-il en tirant sur mes tétons durcis.
L'ambiance est insoutenable, je le désire je le veux en moi et il ne lache pas mes mamelons, les faisant rouler entre ses doigts.
— Chut ! Fais pas de bruit, on va se faire virer.
Je coince ma langue entre mes dents et David me porte, me posant le dos contre le miroir. Je me retiens de crier lorsque son sexe entre en moi.
— T'es tellement douce, j'aime te sentir…t’es trempée, tu vas tout salir.
Ses mouvements sont tout en retenue pour éviter de faire du bruit et il maintient mon silence avec ses baisers. Mon orgasme tarde pas à venir suivit quelques secondes par le sien et nous reprenons notre activité essayage. Je joue les pretty woman devant lui, et je choisis plusieurs articles dont un jean qui épouse mes formes et me fait un cul d'enfer. Je prends aussi des tissus entre le sting et la culotte, quelques soutien gorge et en repartant vers la caissière je chope des bas.
— Ça vous fera 279.35 euros s’il vous plaît, annonce t’elle d’un ton commercial.
(Putain !!! La vache, c'est pas donné)
David me sourit pour me rassurer et nous repartons les sacs à la main.
— Je peux les laisser chez toi, s’il te plaît ?
— Ça va de soi Al’, je n’imagine pas la gueule d'Alban s’il voit des nouveaux vêtements dans ton armoire, rigole-t-il.
(on mourrait surement dans d’atroce souffrance)
Ces derniers mois, je brise les règles une par une mais j'apprécie vraiment cet après midi, et il sera toujours temps de me faire punir dès son retour.
— Une glace ? me propose David devant le stand d'un glacier en commençant déjà à faire la queue.
Faut dire il fait une telle chaleur, rien à voir avec l'ambiance de la boutique même si nous avions rechauffé l'environnement. Les images me tournent dans la tête, et mon envie remonte en flèche. On s'assoit sur le bord d'une immense fontaine, sur la place principale, au milieu d'un tas de monde qui ont eu la même idée que nous.
— Tu veux aller où ma belle ?
— Chez nous...euh chez toi.
Mon lapsus, provoque un éclat dans le regard de David.
— Tu vois que tu en as envie, réplique t-il en souriant.
— Je n'ai pas dis le contraire, mais c'est impossible et tu le sais.
— Tu sais quoi, on peut aller se renseigner déjà auprès d'un pro, ça n'engage à rien.
Pourquoi veut-il absolument me faire divorcer ? Même si c'est fesable, je ne peux pas laisser Arielle.
— Al’, tu me caches quelque chose, je sais qu'il y a un secret que tu ne me dis pas.
Me voilà face à la réalité, il va falloir que je lui parle et peut être prendre le risque de le perdre à jamais.
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