Chapitre 17

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Le soleil baigne la pièce de lumière et ma peau est assèchée par mes larmes de la veille. Arielle dort encore, je me lève et vais me prendre une douche pour me sentir mieux dans ma peau. Quand j'arrive dans la salle, je passe à coté d'Alban qui me rattrappe par le bras.

— Bébé, je suis désolée pour hier, tu me manques, j'ai besoin de toi.

— T'as été trop loin Alban !

Ma colère n'est pas redescendue et j'en ai marre de tout accepter.

— S’il te plaît, pardonne-moi, je perds pied en ce moment, avec le décès de mon père, toi qui me délaisse, j'en peux plus, j'ai besoin que tu sois là pour moi, je suis ne manque de ma femme.

Il m'enlace dans ses bras, mais mon corps le repousse et il tombe en larmes à mes pieds.

— Je t'en supplie, ne me laisse pas, je ne vais pas bien, je ne veux plus te faire de mal.

— Tu dis toujours ça !

— Cette fois ci ça sera la bonne, je te le promets, je vais me soigner, mais s’il te plaît, ne m’abandonne pas.

Son regard est suppliant, et bien que ma colère soit toujours présente, je n'aime pas le voir comme ça.

— Relève-toi, s’il te plaît. Je ne veux pas que tu amènes Arielle à la ferme, c'est pas bien, et on va la perdre si tu lui fais ça.

Son regard ne me lâche pas, et la dureté prend la place de la tristesse.

— Tu veux profiter de moi !!! T'es qu’une sale petite garce ! Elle ira à la ferme, et redemande moi encore une fois de ne pas l'emmener et je la laisse là bas !

Son ton est froid, et il n'est plus l'homme qui était à mes genoux y a encore quelques minutes.

— Tu vas la détruire !!!

— Mais non, regarde la première, elle a supporté.

(Tu parles !)

3 semaines après son week-end là bas, elle nous avait demandé de partir, et on l'avait perdu. Je suis triste mais je ne peux pas prendre le risque de provoquer Alban et qu'il la laisse là bas, ça serait pire que tout.

— Tu pars quand ?

— Demain, tu ne veux pas venir, t'es sur ?

Je pars sur la terrasse sans rien dire car il connait déjà ma réponse.

Le soleil tape fort, et sur mon transat j'ai chaud, la serviette me colle à la peau. J'enlève mes vêtements et je me retrouve nue, le soleil colorant doucement ma peau. Alban arrive, et se pose sur le fauteuil en face de moi.

— Ecarte tes cuisses, tu vas bronzer de partout comme ça.

Ce n'est pas faux. Et il ne loupe pas le spectacle en matant ma chatte désormais humide. Je le vois prendre sa queue dans ses mains, et tout en me regardant il commence à la faire glisser. Je vois sa queue durcir et j'ai envie de participer même si je reste encore fâchée contre lui.

— Tu là veux Al’ ?

— Possible.

(Je ne suis qu’une faible)

Il s'approche de moi, et ma bouche la prend, elle est chaude et déjà bien dur. Je sens ses doigts se balader sur mes cuisses, et je lui permets un accès en ouvrant plus mes jambes. Il me caresse pendant que ma bouche va et vient sur son membre qui ne demande qu'à me prendre.

— Va me chercher Arielle, faut que je me vide !

Je suis là pour ça.

— Appelle-là Aline, m’ordonne t-il sèchement.

— Arielle !!!

Aucune réponse, elle est trop loin et ne doit pas m'entendre.

— C'est dommage elle ne m'entend pas.

Sa main s'abat sur ma chatte et me faire gémir.

— Cris plus fort !

— Arielle ! D'une voix encore plus douce qu'avant.

Sa main me claque encore et encore, jusqu'a sentir une vive chaleur entre mes cuisses.

— C'est toi que je vais utiliser alors !

(c’est exactement ce que je veux)

Il me glisse sa queue à l'entrée de ma chatte rougit, et se lâche dans un doux gémissement.

— T'es qu'une garce ! Ce soir je vais te faire payer ça sois en certaine.

Quand le soir arrive, il m'emmène dans la chambre et me fais m'asseoir sur mon magnum qui écarte mes parois à son maximum. Il me met un baillon, m'attache puis s'occupe d'Arielle. Il l'accroche à notre porte de chambre, de manière à ce que son dos pose contre et commence par le martinet.

— Dis merci à Aline à chaque coup.

Au bout d'un moment son essouflement lui fait perdre ses mots, et à chaque erreur elle prend un coup en plus. Son corps se colorise et le mien s'endolorit sous mon sextoy qui m'écrase de l'intérieur. Je n'ai pas plus de plaisir que ça, je suis habituée, et sans mouvement il n'y a pas de sensation, je suis seulement remplie. La pauvre Arielle prend encore des coups de martinet, mais il couple avec la laisse et je la sens de plus en plus faible. Alban est lui aussi essouflé mais n'arrête pas pour autant. Je sens que l'intérieur de ma chatte me brule et j'ai beau faire des bruits, tout ce que j'ai en retour c'est un "ta gueule". Quand il eu fini de martyriser notre chienne, il me libère enfin et nous finissons par nous endormir sauf Arielle qui à l'air de sentir encore les coups d'Alban.

Le lendemain, il me demande de la préparer. Je n'ai aucune envie de le faire, mais Alban a été très claire, si je refuse, il la laissera là bas. Elle est dans le bain et mon éponge lui caresse son corps marqué.

— Je suis désolée Arielle de ce qui t'arrive, tu ne merites pas ça.

Sa main se pose sur la mienne et elle me regarde.

— On n’a pas le choix, ce n’est pas de ta faute et c’est pas grave.

Mes larmes arrivent et je ne peux pas m'empêcher de la prendre toute mouillée dans mes bras.

— Je suis vraiment désolée, mais si tu peux, sauve-toi et demande qu'on t'emmêne a la résidence des chênes, tu tapes le 8515 et tu montes au dernier étage, c'est chez David. Promets-moi de te sauver de là bas ?

Son regard est triste, mais elle essaye de me rassurer.

— Ça va aller Aline, je t'assure que ça va aller.

Elle est prête, alors qu'Alban là met dans la voiture, elle me fait un signe de la main et un sourire. Alban vient vers moi et veut m'embrasser mais je tourne la tête, il me le dépose dans le cou, et me chuchote quelques mots.

— Un jour c’est toi qui m’accompagneras, à plus tard ma femme.

Quand je ferme la porte, mon corps s'effondre alors que j'entends la voiture l'éloigner de moi. Je suis là contre ma porte à sangloter, face à mes remords. Je ne veux pas que ces porcs la touche et lui fasse découvrir leurs perversions. Je n’ai pas su l'en empêcher, j'espère qu'elle trouvera la force pour se sauver, et que je la retrouverai chez David. J'espère ne pas la perdre, comme la première Arielle qui n'était plus la même après cette expérience.

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