28. Punitions difficiles

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PDV d'Ely

J'ai l'impression que cela fait une éternité que ce lien est sur mon sexe alors que je ne suis ainsi que depuis à peine 5 minutes ; je sens ma mouille qui dégouline de plus en plus le long de mes cuisses.

Et dire que je ne suis pas à la moitié du nombre des lignes qu'il m'a données, il faut que j'avance pour que cette torture se termine.

J'ai des sueurs froides plus le temps avance et une envie de jouir que je n'arrive pas à satisfaire. Il n'y a pas à dire, il m'a bien attachée pour me frustrer au maximum.

- Monsieur, je viens de terminer mes lignes.

- J'espère que tu t’es bien tenue Ely, sinon, gare à toi.

Il écarte doucement mes jambes puis passe son index doucement sur les replis de mes grandes lèvres.

- Oui, Monsieur.

- Effectivement, je te sens bien mûre pour prendre du plaisir. Oh ! Que je suis bête, tu n’as pas le droit de jouir !

Il me dit ça avec son petit sourire. Je vais me venger, on ne peut pas emmener une fille sur cette pente pour ne pas la satisfaire.

- S'il vous plaît Monsieur, je vous en supplie, laissez-moi jouir, j'en ai trop envie. Je ferai tout ce que vous me demanderez.

- Pas la peine de me le redemander, Ely, je ne céderai pas. De toute façon, tu fais déjà ce que je souhaite, que ce soit de ton plein gré ou par la force, et je l'obtiens, c'est le principal.

Je serre les dents en entendant ces paroles.

Il défait rapidement les liens en frôlant une nouvelle fois mon clitoris, je suis en feu à deux doigts d'être projetée au septième ciel.

Il me relève en prenant soin de bien me maintenir, car avoir été tenue dans cette position pendant des heures me fait vaciller. Mes membres sont tout engourdis et mon état de frustration ne s'améliore pas lorsque je sens ses mains glisser sensuellement du haut de mon dos jusqu'à mes fesses.

Une fois qu'il est sûr que j'ai retrouvé mon équilibre, il s'écarte.

- Suis-moi, nous allons terminer ta punition. Ensuite, je te donnerai ta deuxième leçon pour devenir une bonne soumise.

Je me sens me liquéfier, combien de temps va-t-il me torturer encore aujourd'hui ?

- Oui, Monsieur.

Je le suis sans en rajouter ; si je me fais petite, il m'accordera certainement le droit de jouir. Au pire, je prendrai mon plaisir une fois que je serai seule. Rien qu'à la pensée de cette idée ça me redonne un peu de courage.

On sort de son bureau pour aller retrouver ma chambre. Sur le lit sont posés deux objets qui serviront à me torturer.

- Courbe-toi et mets tes mains sur tes chevilles. Son regard provocateur ne fait qu'augmenter un peu plus ma colère. Tu peux me rappeler pourquoi je dois sévir une nouvelle fois.

- Je vous ai mal parlé et j'ai contesté un ordre, Monsieur.

- Et quelle est ta sentence pour ces deux fautes ?

- Vin…Vingt coups de martinet et 5 coups de canne, Monsieur.

Ma libido vient de redescendre d'un coup, mes fesses ne le supporteront jamais.

- Bien, Bien. Vu que c'est une punition difficile pour une débutante, je vais insérer un petit « Rosebud » pour t’apaiser.

Je sens ses mains écarter mes fesses doucement et commencer à toucher à mon petit œillet. Je resserre les muscles de mon orifice ; personne n'a jamais eu le droit d'y toucher, ça ne sera pas lui !

- Détends-toi immédiatement sinon tu vas avoir très mal, tu es prévenue.

Il joint son geste à sa parole, je sens une poussée à l'entrée interdite. Malgré ma tension pour éviter cette intrusion, l'objet s'y loge sans trop de douleur. Mon sexe s’humidifie de nouveau, mais c'est impossible ! Je ne peux pas aimer ça ! Pourquoi fait-il ça pour m'interdire de jouir ensuite ? Et encore une fois mon corps a cédé à ses désirs.

- Maintenant, nous pouvons commencer. Bien entendu tu es toujours privée de jouir.

Je le regarde avec des yeux de chien battu, mais il reste inflexible.

Je couine au premier coup de martinet.

- 1, merci de me punir, Monsieur.

....

- Dix septtttttttt mer... merci de... de... de... me punirrrr, Monsieur.

Les coups se suivent et sa force ne ralentit pas, je dirai même qu'elle s'intensifie vers la fin de la punition. J'ai l'impression que le rosebud fait son travail, il me maintient entre le plaisir et une douleur insupportable, mon corps est en ébullition et je ne sais plus où donner de la tête.

- Vingt, merci de me punir Monsieur.

Il me laisse quelques instants reprendre mes esprits, je le vois avec la canne dans la main, il l'a fait virevolter dans les airs. Je me dis que ça ne peut pas être pire que ce que je viens de vivre.

Splach

Moi : Aïe, Aïe

Les larmes coulent sur mon visage. Je ne peux plus les retenir, ça fait trop mal, très loin des fessées que j'ai reçues jusqu'à maintenant. Il me relève le menton avec un doigt.

- Je n'ai pas entendu, je te conseille de me l'annoncer dès maintenant sinon le coup ne comptera pas. Au prochain coup, si tu oublies de compter et de me remercier, j'en rajoute un de plus.

Moi : Un, merci Monsieur.

Je n'ai pas la force d'en dire plus, mais à priori ça lui convient. Je sens sa main passer sur mon clitoris, puis il entre un doigt doucement et le ressort de mon intimité plusieurs fois. Le plaisir revient enfin, malgré la douleur qui irradie dans mes fesses. Les coups suivants sont plus modérés ; à chaque coup, il fait le même manège avec ses mains sur mon intimité pour me tenir en ébullition. Résultat, malgré la douleur, je me sens super excitée. À un moment, j'ai failli jouir, mais il ne m'en a pas laissé le temps et m'a donné une petite tape en guise de punition. Rien de très douloureux, il m'a juste montré que j'ai échappé à une nouvelle punition grâce à lui.

Moi : Cinqqq… Merci Monsieur.

Après ce cinquième coup donné avec une grande force je m'effondre sur le sol. Il s'agenouille auprès de moi, me retourne sur le ventre sans un mot et commence à appliquer une crème sur mes fesses. Il ne m'a pas demandé mon avis aujourd'hui. Je sens la fraîcheur se répandre sur ma peau meurtrie. Cela me soulage et commence à me donner des sensations de plaisir. Je ne comprends pas comment réagit mon corps face à toute cette douleur ; je me retrouve une nouvelle fois à la limite de jouir mais ça ne va jamais plus loin. Il me retire le « Rosebud », je sens un vide et le retrait de ce sex-toys fait encore monter d'un cran mon excitation.

PDV de Fred

La punition a été éprouvante pour Ely, j'y ai été un peu fort pour une débutante. J'ai dû alléger les coups de la canne pour ne pas en diminuer le nombre ; de toute façon Ely n'aurait pas supporté l'intensité de mes coups jusqu'à la fin. J'ai une règle très stricte, une punition annoncée doit être donnée entièrement sinon, après, elle négocierait toutes ses punitions.

Après lui avoir massé les fesses avec une crème apaisante, je lui impose d’une voix douce de se mettre à genoux devant moi et de me présenter ses excuses comme il se doit.

Je la vois écarquiller les yeux, surprise par ma demande et, oui, Ely, j'aime quand mes soumises s'excusent de leur mauvais comportement. Cependant, cette fois elle ne conteste pas mon ordre et s'excuse aussitôt.

- Je vous prie de bien vouloir m'excuser face à mon manque de respect de ce matin Monsieur.

- Excuse acceptée Ely, n'en parlons plus. Passons maintenant à ta deuxième leçon.

PDV d'Ely

Il blague j'espère, je ne vais jamais tenir dans cet état de frustration, il faut que cela se termine pour que je puisse prendre mon pied.

- As tu déjà fait une fellation ?

Euh…Le rouge me monte aux joues, je suis trop mal à l'aise de parler de sexe comme si on parlait de la pluie et du beau temps.

- Oui, Monsieur.

Je lui murmure cette réponse qui a l'air de lui convenir largement.

- Bien dans ce cas, tu devrais apprendre rapidement cette leçon.

Je suis toujours à genoux, je le vois défaire sa ceinture puis baisser son pantalon et enfin son boxer, sa verge est tendue au maximum. Il me la place dans la bouche et je commence à lécher son sexe très lentement, après tout, si moi, je n'ai pas le droit de jouir, lui non plus ; je la tiens ma vengeance. Mais, il voit rapidement mon jeu et il me relève la tête en tirant sur mes cheveux.

- À ta place Ely, j'arrêterai tout de suite ton petit jeu si tu ne veux pas que je double la durée de ton interdiction de jouir. En plus, tu devras quand même me faire jouir.

- Oh non, Monsieur.

- Alors, fais-moi jouir convenablement.

Je ne réponds pas et décide de m'appliquer pour en finir le plus vite possible. Je l'aspire plusieurs fois et je sens son sexe se gonfler de plus en plus.

Son visage se crispe, je ressens qu'il est au bord de la jouissance; j'aspire une nouvelle fois sa verge mais cette fois je prends soin de l'enfoncer le plus loin possible dans ma gorge et il éjacule enfin.

- Avale ! Je n'accepterai pas que tu ne le fasses pas.

Je déglutis en entendant ses paroles ; le fait d'avaler le sperme m'a toujours répugné. Je n'ai pas le choix et, plus vite je serai seule, plus vite je pourrai me soulager. J'avale donc et à ma grande surprise ce n'est pas si mauvais que ça. Enfin, il va me libérer, en tout cas je l'espère, je n’en peux plus d'attendre. Cette fellation a encore fait monter d'un cran mon excitation. Je pense déjà au pied que je vais prendre, il n'en saura rien heureusement.

PDV de Fred

Je reprends mes esprits après cette fabuleuse fellation, c'est vrai qu'elle maîtrise bien cette partie.

Je la relève et lui dit d'aller se préparer pour aller se coucher. Je lui rappelle bien qu'elle n'a pas le droit de se donner du plaisir, je doute qu'elle le fasse en ma présence, elle sait très bien qu'elle le regretterait. Pendant ce temps, je demande qu'un repas lui soit amené dans sa chambre.

Dix minutes plus tard le plateau est arrivé et elle est prête.

- Tu peux manger.

Je vois son incompréhension quand je reste devant elle. Son repas est avalé en quatrième vitesse. Je pense qu'elle a eu la même idée que moi, sauf que moi je suis là pour la contrer.

- Vas aux toilettes !

Elle revient presque aussitôt, je lui montre de la tête de s'allonger sur son lit. Elle s'exécute sans discuter.

PDV d'Ely

Il s'approche de moi lentement, me saisit un poignet puis j'entends un clip sec. Non il n'oserait pas me faire ça. Le deuxième poignet subit le même traitement aussitôt. Je me retrouve attachée les bras en l'air. Il a pensé à tout, ce sadique, il est plus malin que je ne le pensais. Si j’avais su, il aurait été se faire foutre.

- C'est pour ton bien Ely, il serait dommage que pendant ton sommeil des mains innocentes s'aventurent dans cet endroit interdit.

En prononçant ces derniers mots, sa main effleure une nouvelle fois mon sexe et refait monter ma libido à son apothéose.

Je suis foutue, je vais mourir !

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