Chapitre 50. Le lendemain ! Jeux avec Lysa au téléphone.
Jour 39 (semaine 6 – jeudi).
### Amina ###
En me réveillant, je regardais le grand blanc qui dormait encore à mes côtés. Ninah était lovée dans ses bras dans sa position habituelle. Je devinais que la lance de Pierre devait être bien au chaud contre les fesses de ma copine. Peut-être même qu’il était profondément enfoncé dans son corps.
Non, je n’étais pas jalouse car durant la soirée de la veille, Pierre nous avait bien honorées toutes les deux. Le jeu de la fessée avait déclenché une petite rivalité mais sans conséquence.
Le petit réveil de voyage de Pierre indiquait 6 heures et donc le jour se levait seulement me donnant l’occasion de me lever, mais les excès de la veille se firent sentir malgré les grandes quantités de lubrifiant ; je sentis quand même une irritation et je me rappelais que dans les bagages, Ninah avait glissé le baume de Brigitte et je m’en appliquai une bonne dose.
Cette crème était une merveille ! Elle me procura immédiatement la fraîcheur aux endroits stratégiques. Entre-temps mes deux complices d’orgie s’étaient réveillés également et Ninah reçut également du baume appliqué par Pierre car Ninah en plus de la douleur due au rapport, avait des douleurs aux fesses par la fessée administrée par Pierre et moi.
Je vins l’embrasser pendant que Pierre massait les fesses douloureuses, mais le sourire de Ninah me rassura qu’elle n’avait aucune rancune. La vue des fesses de Ninah provoqua une montée en flèche de la lance de Pierre déjà bien apprêtée ! Effectivement son bâton était bien dans son vagin pendant qu’ils dormaient tous les deux car sa hampe portait les traces de cyprine. Oh que j’aimerais pouvoir faire pareil ! M’endormir avec sa lance dans mon corps ! Nous nous habillâmes sommairement et la gazelle prépara un petit-déjeuner copieux. En passant dans la cuisine je lui demandai tout bas si elle avait prévu une potion « spéciale » pour Pierre. Ninah me répondit en murmurant également et en faisant des grands yeux :
– Non Amina, aujourd’hui ma potion fera encore suffisamment d’effet si on ne veut pas le voir courir en érection toute la journée, déjà qu’il voulait m’honorer dans son sommeil ; je n’osais pas bouger malgré mon envie ! Je suppose que vous avez encore beaucoup de travail sinon je ne le laisserai pas quitter le lit !
– Oui bien sûr, le programme de Pierre prévoit la visite de la pépinière palmier et la visite des caféiers. Tu as encore mal ?
– Non Amina, c’était bon hier soir ! Et toi ça t’a plu ?
– Oui mais j’attendrai avant de recommencer qu’on soit à la maison car la douche ici ne permet pas un bon jet sur les parties intimes. Par contre je reconnais que la sensation de sentir la verge de Pierre dans mon corps c’était très agréable. Est-ce que la tisane que tu m’as administrée y est pour quelque chose ?
– Non Amina, c’était juste une tisane calmante qu’on administre aux enfants qui sont tendus.
Mais notre conversation fut interrompue par Pierre qui était à ma recherche.
– Amina, il est temps qu’on se prépare, vu qu’on va beaucoup marcher, je te suggère de mettre tes ‘vêtements de travail’ et tes chaussures de marche. Ninah si tu as besoin de victuailles envoie la boyesse du guest-house au marché local.
– Oui Pierre, tu rentres à midi ? demanda Ninah
– Oui, mais je vais faire une journée continue on mangera vers 15 heures puis on sera libres.
– Pierre, que fera-t-on ce soir ? demandais-je en caressant son entrejambe.
– On regardera la TV et on se reposera ! et il ajouta :
– Demain on visitera l’unité de traitement du café et l’après-midi on aura une réunion avec les directeurs locaux. Et puis samedi retour à Kinshasa. Les pilotes ont prévu de décoller vers 14 heures donc on aura une matinée tranquille !
Pierre avait obtenu un véhicule tout-terrain en bon état pour visiter à notre guise sans être accompagné d’un membre de la direction. Il avait aussi décliné la présence d’un chauffeur car la structure de la plantation était relativement facile. Il suffisait de suivre la piste le long de la rivière Kwilu.
J’avais en tant que convoyeur un plan très détaillé de l’ensemble de la plantation et un GPS qui donnait la position en longitude et latitude car les routes n’étaient pas répertoriées.
Au bout d’une demi-heure de piste en mauvais état on atteignit la plantation de caféiers que Pierre voulait voir. Les arbustes étaient en pleine floraison, l’ensemble de fleurs blanches était magnifique. Pierre m’invita à le suivre dans un sentier entre les caféiers. Le but était vérifier l’était général des plants, les maladies éventuelles et l’entretien.
J’appris ainsi que Pierre avait acquis une grande expérience dans la culture du café en plus de la culture du palmier et de l’hévéa. Mais pour le café il n’avait plus besoin de l’assistance d’un agronome car il me raconta qu’il avait commencé sa carrière dans une plantation de café.
Mais au bout d’une demi-heure de marche entre les buissons, je me sentais bizarre. J’avais des vertiges et je demandai une pause à Pierre qui comprit que c’était le parfum dégagé par les fleurs qui m’incommodait.
Il me prit contre lui et me porta pour sortir des rangées plantées vers une clairière au bord de la parcelle. Là il me coucha dans l’herbe, et il défit mes vêtements pour que je puisse respirer plus aisément. En déboutonnant mon top, il fut surpris car il dégagea mes seins. Je vis ses yeux briller de désir : je ne portais pas de sous-vêtements ni de soutien-gorge.
Je vis que Pierre regarda mes seins dénudés sans oser les toucher, comme je me sentis mieux depuis que je n’étais plus dans cette odeur entêtante des fleurs de caféiers, je risquai une caresse à son entrejambe. J’obtins ce que je recherchais, il me caressa, mit ses doigts autour de mes tétons et caressa mes aréoles, il me fit même des bisous sensuels entrecoupés de succions de mes tétons !
Je défis sa braguette et sortis son soldat avec difficulté car il avait une érection superbe et je ne voulais pas défaire son pantalon.
Comme je n’étais pas encore bien d’aplomb je ne me risquai pas dans une fellation mais je le masturbai des deux mains et le résultat ne se fit pas attendre. Son sperme gicla, je reçus un jet puissant dans mon visage et sur mes seins.
– Désolé Amina mais tu as été tellement fort et c’était tellement inattendu que je n’ai pas pu maîtriser mon éjaculation !
– Ce n’est pas grave Pierre, dis-je en récupérant une partie sur mes joues et mes seins.
Je n’hésitai pas à mettre en bouche ce que je pus récupérer et demandai un mouchoir pour parfaire son nettoyage. Heureusement il n’y avait rien sur mes vêtements.
Il m’attira contre lui pour me câliner.
– Voilà ce qui arrive quand on se promène avec l’intention de faire l’amour dans la nature ! dis-je.
– Mais Amina, ce n’était pas le but ! Je ne savais pas que tu allais être malade par le parfum des caféiers en fleurs.
– Oui, je te crois mais n’empêche que j’ai beaucoup aimé cet intermède ! Pierre, caresse-moi encore !
Il ouvrit mon jean entièrement et plongea ses doigts dans mon vagin, je devais être très excitée car en quelques minutes je criai ma jouissance en serrant sa tête contre mes seins. Il prolongea le plaisir en suçant mes tétons. Je dus le supplier d’arrêter tellement que mon corps vibrait de la puissance de mon orgasme ! Nous restions encore un bon moment étendu dans l’herbe jusqu’à ce qu’il réalisa qu’il était temps de rentrer.
– Viens Amina, rhabille-toi, on doit rentrer et j’ai vu ce que je voulais. Sans rire, je parle des plants de café ! Mais je n’oublierai pas de si tôt l’image de tes seins entre les fleurs de café !
– Moi non plus mon amour !
Avant de nous lever, je ne pus résister à câliner encore une dernière fois son engin superbe et de le ranger sagement. En réponse, il m’embrassa avec fougue, je dus le stopper et écartai ses mains de mes seins avant de me rhabiller avec regret !
### Pierre ###
Le soir Amina appela sa maman pour donner de ses nouvelles. Je suivis de loin la conversation car j’étais occupé à la rédaction de l’état des lieux de la plantation.
A entendre la conversation quelque chose ne tournait pas rond et je me rapprochai d’Amina pour m’enquérir de la nature du problème.
– Pierre, maman se plaint de douleurs au ventre et à ses seins !
– Passe-moi ton téléphone Amina !
– Bonsoir Lysa, Amina me communique que tu ne vas pas bien ?
– Bonsoir Pierre, oui, j’ai un problème ; Éloïse n’est pas disponible et je veux tes caresses que Jaspar n’est pas capable de me donner ! Pierre, quand reviens–tu ? Je veux sentir tes mains sur mon corps qui brûle de désir !
– Lysa calme toi.
– Tu as facile toi ! Tu peux baiser ma fille et en plus tu as pris Ninah avec toi en mission et je ne peux même pas lui demander de me calmer !
– Lysa, écoute-moi, où es-tu ?
– Dans ma chambre.
– Déshabille-toi et mets-toi nue sur ton lit, imagine que mes mains te caressent.
Je vis qu’Amina se rappela la séance au téléphone avec Ninah, mais maintenant elles étaient toutes les deux assises en face de moi et écartèrent les pans de mon kimono. Ma verge était déjà déployée au souvenir des joutes que Lysa m’avait procurées à chacune de nos rencontres secrètes. Oui, Lysa m’avait fait bander et je reconnais que j’ai joui grâce à elle ! Alors je ne voulais pas la laisser tomber maintenant qu’elle m’appelait de tout son corps !
– Lysa, je caresse tes seins si magnifiques et qui me font bander. Sens-tu mes mains ? Accompagne mes mains sur tes seins et ton ventre ! Regarde comme je bande ! Tes mains me procurent une montée de désir pour toi !
– Oh oui, Pierre, continue !
– Maintenant je mets une main à l’entrée de ton vagin, te rappelles-tu lorsque tu m’as vu sortir de la douche dans ta maison ?
– Oui, Pierre, tu bandais comme un dieu !
– Bien Lysa, et tu n’avais pas de condom mais je t’ai fait jouir avec seulement mes mains.
– Oui, Pierre, je sens ta main qui me masturbe. Oh oui, Pierre ne m’abandonne pas ! Je rêve de toi constamment, je veux te donner des caresses sur ton gland avec ma bouche ! Prends mes seins, pousse ta verge dans mon corps. Tu es divin, j’écarte mes jambes pour que tu puisses venir en profondeur ! Je mets mes pieds dans ton dos car tu ne peux pas me quitter !
Pendant que je parlai à Lysa, les deux filles devant moi rivalisèrent à jouer avec ma lance …
– Lysa où en es-tu ?
– Oh, oui Pierre je sens mon orgasme qui s’approche ! Continue de me caresser mon bijou et mes tétons ; c’est tellement bon ! Je voudrais dormir avec toi ! Reviens vite, je te donnerai tout le plaisir qu’Amina ne peut pas te donner !
– Mets les doigts de ton autre main dans ton vagin puis suce les comme si c’était ma lance, encore…
– Oui, Pierre continue ! Oh oui Pierre tu peux m’inonder de ton sperme ! Je le boirai avec délice !
Nous entendîmes le cri de jouissance de Lysa pendant que mon sperme arrosa les deux femmes devant moi, la bouche ouverte pour récolter les jets longs et puissants.
Ce fut Amina qui reprit le téléphone,
– On a bien entendu maman, tu as joui ?
– Oh, oui ma chérie, merci Pierre tu es génial !
– Bonne nuit maman, samedi tu viendras à la villa et on remettra ça !
### Amina ###
Mais on n’avait pas terminé, Ninah mit sa bouche devant mon vagin et me prodigua une léchouille d’anthologie tout en se masturbant.
Pierre nous regarda avec intérêt mais n’eut pas l’occasion de se caresser, car je pris son gourdin comme dans la plantation et le masturbai avec sauvagerie sans parvenir à l’éjaculation car les caresses de Ninah eurent raison de ma résistance. Je dus prendre la tête de la boyesse pour arrêter mon orgasme.
Nina fit un regard lubrique et trouva une pochette de condom qu’elle mit sur sa bite sans précipitation mais avec la ferme intention de se donner la jouissance méritée. Comme elle s’était déjà bien masturbée pendant qu’elle me prodigua les caresses buccales, elle s’accroupit sur lui, sa danse fit vibrer ses seins et elle ne fut pas longue à jouir tout en l’achevant. Je dus la retenir tellement son corps se secouait pour qu’elle puisse profiter de leur jouissance. Lorsque je la regardai je vis des larmes qui perlaient.
– Pourquoi pleures-tu lui demandais-je
– Parce que je voulais le prendre sans condom mais il aurait été très fâché. Pierre, je veux un enfant de toi ! Quand me le donneras-tu ?
Pierre la prit dans ses bras et je vins me blottir contre eux.
– Non, Ninah, pas maintenant dis-je, on fera nos enfants en même temps, ainsi on sera engrossées ensemble et Pierre pourra boire notre lait avec nos enfants. Je fantasme déjà depuis longtemps pour avoir un enfant de lui mais maman me tuera si c’est en dehors du mariage.
– Mais Amina et moi, je serai la coépouse alors !
– Oui Ninah et Pierre aura deux femmes je te le promets. Et si maman préfère Pierre à Jaspar nous lui donnerons l’occasion de la faire jouir en notre présence. Surtout plus de cachotteries, si maman veut le baiser, ce sera avec nous !
– Il ne faut surtout pas demander mon avis ! intervint Pierre.
– Non, nous répondîmes ensemble, tu es à nous ! Tu n’auras rien à dire… En Afrique ce sont les femmes qui décident ! Tu es notre esclave de plaisir tant que tu pourras bander et nous caresser quand on le désire…
NDA : Si Pierre ne s’était pas encore rendu compte de la domination des femmes sur sa vie, eh bien, maintenant il était fixé. Mais est-il à plaindre ? Je ne crois pas ; du moins jusqu’à présent!
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