Chapitre 56 – Confidences avec Ninah.
Jour 42 (semaine 6 – dimanche) soir
### Ninah ###
J’étais fière de moi, mon maître avait éjaculé abondamment entre Amina et moi puis eut encore assez de réserve pour remplir la bouche de Brigitte.
Je vis que sa lance avait rendu les armes, mais je sus que c’était momentané. Brigitte joua avec Amina, pour lui apprendre comment faire jouir une femme. Je trouvai cela bien intéressant car je serai la première à bénéficier des caresses d’Amina lorsque Pierre ne serait pas là.
Pierre était couché à côté et regarda les deux nouvelles amies se câliner et se donner des baisers ou des suçons. Brigitte prit la main d’Amina pour lui montrer la sensibilité des seins, elle répéta l’enseignement qu’elle m’avait déjà prodigué en rappelant qu’il était possible d’avoir un orgasme en touchant longuement sa poitrine en la massant, elle parcourut de ses doigts les aréoles d’Amina, puis pinça ses seins. Elle montra ensuite que ses manipulations provoquèrent un écoulement entre ses jambes. Elle lui fit goûter sa cyprine qu’elle mit sur ses doigts avant de la mettre dans sa bouche.
Pierre profitait du spectacle et je me coulai dans ses bras pour mieux caresser son gourdin tout en douceur comme Brigitte m’avait appris.
– Regarde Amina, comme Ninah manipule la verge de Pierre, elle est toute en douceur, ce qui permet de garder le contact pendant des heures, si Ninah maîtrise bien le mouvement. Tu peux voir que Ninah découvre le sexe de Pierre entièrement jusqu’au moment où le frein empêche d’aller plus loin. Le même mouvement à grande vitesse et avec plus de vigueur entraînerait l’éjaculation rapide de Pierre et entraînerait la fin de son désir.
Par contre tant que tu maintiens son érection sans le faire jouir, il sera tenté de te caresser, de te faire monter en extase. Et puis lorsque vous serez tous les deux proches de l’orgasme, ce sera le moment idéal pour vous unir comme homme et femme !
– Brigitte, dit-elle, si je prends la pilule, je ne devrais plus lui mettre de capote ?
– En théorie non, mais Amina, la pilule n’est pas sûre à cent pour cent. Si tu ne veux pas tomber enceinte, deux précautions valent mieux. Pierre sera plus détendu et ne te demandera pas tout le temps si tu es régulière dans la prise du contraceptif.
Pendant que je caressais Pierre, il prit ma tête pour me donner des baisers sur mon front et mes lèvres. Je lui rendis ses baisers avec la même tendresse. Puis il me souleva pour m’installer à califourchon sur ses jambes. Il saisit mes fesses pour avancer mon intimité contre la hampe de son pénis, ce fut une caresse merveilleuse de sa verge entre les lèvres de l’entrée de mon vagin, puis il me fit reculer pour m’avancer à nouveau. Je compris le mouvement et recommençai le mouvement d’aller et retour, chaque fois j’écrasai sa verge qui se releva lorsque je reculai. C’était une merveilleuse caresse, tout mon corps aspirait à plus de désir et je continuai pour mon plaisir.
Brigitte montra le mouvement en précisant que c’était un échange de sensations qui pouvait durer longtemps et se terminer par un orgasme de la femme et une éjaculation de l’homme sans pénétration.
– Moi, dit Brigitte, lorsqu’il me prend ainsi, je vais jusqu’à l’éjaculation puis je lèche son ventre pour récupérer son sperme. Comme souvent il ne débande pas je lui pratique une fellation comme deuxième round !
– Tu fais cela avec d’autres hommes ? demanda Amina.
– Rarement, Pierre est le meilleur de mes amants, il sait que j’ai des relations avec quelques hommes, mais la plupart du temps je baise avec des femmes. Une ou deux fois dans mes souvenirs, je suis venu avec une copine chez Pierre et on a baisé à trois !
– Comme maintenant ! dis-je.
– Oui Ninah, répondit-elle, sauf que Pierre a déjà deux femmes et je suis la troisième !
– Brigitte, c’est ton tour maintenant dit Amina, Je suis sûr que Pierre attend avec impatience pour te baiser !
Je me dégageai du corps de Pierre pour coiffer le soldat de Pierre avec un condom. Brigitte vint en souriant se mettre à califourchon et s’empala en douceur sur son sexe dressé.
– Alors Pierre dit-elle, on va donner une démonstration à ces jeunes filles comment grimper lentement au septième ciel.
Brigitte commença très lentement à bouger sur le corps de Pierre, qui remonta ses mains vers les seins de Brigitte. À chaque descente de Brigitte, Pierre agrippa fermement les seins de Brigitte qui après de longues minutes soupira de plaisir.
Puis Pierre se dégagea et coucha Brigitte sur le ventre en soulevant son postérieur pour s’enfoncer profondément et ramona jusqu’à ce que Brigitte criât son orgasme. Mais Pierre continua et je vis Brigitte profiter pleinement du pilonnage de Pierre jusqu’au moment où Pierre se rendit dans un long grincement. Pendant de longues minutes, il éjacula et ne se retira que lorsque son sexe se calma.
Amina avait suivi le spectacle les yeux grands ouverts, et lorsque je retirai le caoutchouc, elle vit que le sperme abondant remplissait en partie le préservatif ! Elle se pencha sur Pierre étendu à côté de Brigitte.
– Pierre, tu vas bien ?
– Oui, ma colombe, je vais très bien. Brigitte, grand merci ! Ninah, je te remercie aussi, ton médicament est vraiment efficace !
– Merci, Pierre dis-je, mais c’est dans mon intérêt. Je viendrai recueillir mon salaire tout à l’heure !
Je sortis du lit après avoir embrassé Brigitte pour préparer le repas du soir. Amina me rejoignit quelque temps après.
– Ninah, je n’ai jamais vu Pierre aussi fougueux et sauvage !
– C’est normal Amina, il baise Brigitte depuis quelques années, mais comme ils ne se voient pas fréquemment ils se défoulent ! J’ai déjà eu l’occasion de les voir, c’est chaque fois pareil ! Avec nous il montre son amour, avec Brigitte, ce n’est que du sexe !
Jour 43 (semaine 7 – lundi) matin
### Pierre ###
Après le repas d’hier soir, j’étais fatigué, je voulus aller dormir tôt pour récupérer un peu. Brigitte profita de l’opportunité de s’isoler avec Amina dans la deuxième chambre.
Mais Ninah, après avoir rangé la cuisine vint quand même se coucher nue dans mon lit et sans une parole se lova dans sa position favorite. Nous nous endormîmes rapidement.
Ce matin, Ninah me réveilla après avoir entendu le signal de ma montre et me donna un gros câlin.
– Pierre, je suppose que tu vas travailler ce matin ?
– Oui, ma gazelle, mais Amina reste à la villa, elle veut ranger un peu ses affaires, maintenant qu’elle a élu domicile ici.
– D’accord, on prend une douche ensemble ?
– Oui, on a bien le temps, Zakpa viendra vers neuf heures, je vais voir le DRH et le DG.
– Je peux avoir un gros câlin alors, Pierre mais sans caoutchouc !
– Ninah, tu sais que je n’aime pas faire l’amour sans préservatif. Oui, je sais que tu n’as pas de maladie, mais je ne veux pas que mon sperme entre dans ton corps. On fera des enfants ensemble avec Amina !
– Oui, Pierre ce n’est pas pour devancer Amina, mais la sensation de ta verge dans mon vagin sans préservatif, me procure une sensation divine. Je ne te retiendrai pas lorsque tu sentiras la montée de ton jus, je ne t’empêcherai pas de sortir avant que tu n’éjacules ! Je ne suis pas comme la petite sœur du DG qui avait promis la prudence à son fiancé et mais coinça les fesses de son homme au moment de l’éjaculation !
– Avec les conséquences que l’on a apprises plus tard ! Je sais que Lysa a dû élargir la robe de mariée pour dissimuler sa grossesse !
– Ah, tu as aussi appris cette nouvelle ?
– Oui, ma gazelle, je ne me rappelle plus qui m’a informé.
– Alors, mon maître bien-aimé, viens que je te lave et te câline !
Elle me tira en dehors du lit admirant au passage mon érection volontaire. Elle entra la première sous la douche et ne m’invita à entrer que lorsque la température de l’eau fut bien réglée.
La vue de son corps brillant de gouttelettes était un spectacle en soi, je dus faire un gros effort pour rester passif ; spécialement lorsqu’elle se mit devant moi, me présenta ses petites fesses, il s’en fallut de peu que je la soulève et l’empale sur ma pique. Mais Ninah voulut juste un simulacre pour me faire bander.
Elle fit passer ses fesses près de mon sexe mais notre différence de taille ne lui permit pas de sentir le plaisir de ce contact.
Je la soulevai pour qu’elle puisse faire passer ma verge entre ses jambes sans que je ne la pénètre. Pour maintenir sa position, elle bloqua ses pieds contre le mur de la douche coinçant ainsi mon dos contre le mur opposé. Vu sa souplesse, elle parvint à coulisser sur ma verge toujours bien coincée entre ses fesses. Au bout de quelques minutes de cette acrobatie elle dut lâcher prise et se retourna vers moi pour me laver.
– Lave-moi aussi Pierre, je sais que tu aimes me savonner les seins et entre mes fesses et puis lorsqu’on sera propres tous les deux, je me pencherai pour que tu m’encules comme tu as fait avec Brigitte. Tu pourras te retirer avant d’éjaculer ! Promis, je ne te retiendrai pas !
Le savonnage fut extrêmement calme, Ninah ne négligea aucun détail de mon anatomie, profitant même d’insérer un (ou deux) doigt dans mon anus et me donna un début de massage de ma prostate. (il faudra que je demande à Brigitte de lui enseigner la technique) .
– Oui, Ninah c’est délicieux, mais n’insiste pas trop ! ou tu ne pourras pas aller plus loin !
– Oui, j’ai remarqué que ton épée sortait de son fourreau ! Viens maintenant !
Elle se pencha en avant, écarta ses fesses avec ses mains et je la pénétrai sans effort. Elle avait entièrement raison, le contact direct des muqueuses et de mon sexe était divin !
Je fis des mouvements lents mais profonds jusqu’au moment où elle cria son orgasme et que tout son bas-ventre se contracta. Je dus à regret me retirer et mon sperme atterrit sur son dos en longues coulées abondantes !
– Merci, patron, tu es un homme sur qui on peut avoir confiance. Quand tu voudras, Pierre, je serai toujours à ta disposition pour tous tes désirs. Mon corps est à toi, je suis ton esclave ! Viens que je lave ton engin et nettoie mon dos !
Elle se pencha et suça les restes de sperme de ma verge pendant que je passai le jet de la douche sur son dos. Puis elle se tourna vers moi :
– Pierre, tu me garderas toujours ?
– Oui, ma gazelle, je sais que tu m’aimes autant qu’Amina, vous êtes des « sœurs en amour » ! Je suis égoïste, je sais, mais ce n’est pas possible pour moi de choisir l’une sans l’autre.
– Pierre, je suis réaliste, lorsque Amina ne sera plus vierge, tu continueras à m’honorer ?
– Ninah, rassure-toi, je suis aussi amoureux de toi que d’Amina !
– Et que feras-tu, si tu dois quitter le Congo ?
– Cette question n’est pas encore d’actualité Ninah. J’ai encore beaucoup de travail ici et je sais que Lysa fera le nécessaire pour faire prolonger mon visa en temps utiles. Ne t’inquiète pas.
– Je pourrai vivre avec toi si tu rentres en Europe ?
– Dans les circonstances actuelles ce n’est pas à l’ordre du jour pour moi de quitter ce pays. Mais rassure-toi, j’ai de quoi vous entretenir toutes les deux si je dois rentrer.
– Et nos enfants ?
– Deux femmes, un enfant chacun ! Je ne tiens pas à vivre dans des cris d’enfants perpétuels !
– Ce serait pourtant amusant si tu avais beaucoup d’enfants.
– Non, Ninah, élever un enfant, lui permettre de faire des études en Europe, demande beaucoup d’argent ! Je veux que mes enfants, de toi et d’Amina puissent réussir dans la vie !
– D’accord, Pierre je t’aime, merci !
Je m’habillai pendant que Ninah dressait la table pour le petit-déjeuner. Comme mon chauffeur était arrivé, je décidai de me rendre au bureau sans réveiller Brigitte et Amina. Je supposai qu’elles avaient dû parler et certainement se cajoler toute la nuit !
***
Au bureau je me rendis chez le DRH.
– Bonjour Pierre, me dit-il, comment vas-tu ?
– Merci, Célestin, je me porte très bien. Je venais te voir car je voudrais t’informer et le DG pour une nouvelle concernant ma vie privée.
– Rien de grave j’espère ?
– Non, pas du tout, c’est un moment de bonheur ! Lysa, m’a donné l’autorisation de me fiancer avec Amina !
– Si vite !
– Oui, notre collaboration professionnelle nous a rapprochés et après beaucoup d’hésitations, j’ai demandé à Lysa de nous autoriser à rester ensemble.
– C’est une bonne nouvelle, allons annoncer cela au DG ! cela le soulagera.
Le DG n’était pas en réunion et nous reçut immédiatement. Après les salutations d’usage, je pris la parole.
– Olivier, je sais que vous avez de bonnes relations avec Lysa et donc vous avez peut-être eu des informations par votre épouse. J’ai reçu l’autorisation de courtiser sa fille Amina. Depuis qu’elle est ma collaboratrice personnelle, nous avons développé une attirance mutuelle. Nous ne sommes pas pressés, mais vu que nous travaillons ensemble, je tenais à vous informer. Il va de soi que ceci ne perturbe nullement notre travail, je vous demande donc de nous laisser travailler en équipe malgré notre affection réciproque. L’accord de Lysa était très important afin d’éviter toute conséquence négative.
– Pierre, je suis très heureux de cette réunion ! Mon épouse m’a vaguement parlé d’un rapprochement entre Amina et toi, totalement approuvé par Lysa. Je suis très heureux de ce dénouement et je n’ai pas d’objection à ce que vous continuez à travailler ensemble. L’accord de Lysa me soulage, il n’y aura donc pas de retombées négatives. Avez-vous déjà des projets plus concrets ?
– Non, Olivier nous n’avons pas encore fixé de date pour des fiançailles et encore moins pour un mariage. Je suis encore résident temporaire avec un visa de 3 mois, il faudra bientôt entamer les formalités pour le renouvellement. L’idéal serait d’obtenir un visa plus long ou permanent avant de penser à nous unir !
– Je comprends Pierre, la prolongation du visa est à l’étude. Paris m’a d’ailleurs fait une proposition de changer votre statut de consultant en un contrat à plus long terme. Je ne peux en dire plus aujourd’hui si ce n’est qu’à Paris ils sont très contents de vous et que les ministres du travail et de l’agriculture m’ont déjà communiqué qu’ils sont favorables à un contrat congolais d’expatrié. Je vous tiendrai informé de la suite, en attendant tous mes vœux de bonheur à toi et Amina !
– Merci, beaucoup DG ! dis-je en sortant de son bureau, Célestin me donna une tape sur l’épaule en disant :
– Pierre ton avenir ici se présente sous de bons auspices, je ne peux pas en dire plus pour le moment mais tes affaires sont en bonne voie !
Je repartis le cœur léger en promettant d’en parler à Amina lors du lunch.
***
À mon retour à la villa, je fus accueilli avec enthousiasme par Ninah qui me murmura à l’oreille :
– Je sais que Lysa a appelé Amina, pour communiquer de bonnes nouvelles te concernant ! mais je ne sais pas plus. Amina est très contente et a dansé de joie !
– Merci, ma gazelle, j’ai eu une réunion avec le DG à qui j’ai annoncé qu’Amina resterait à la villa.
Je ponctuai ma déclaration d’un baiser tendre sur ses lèvres. Effectivement mon entrée dans le living fut saluée par un gros câlin d’Amina.
– Pierre, maman m’a téléphoné ! Elle m’a rassuré quant à ton travail au Congo.
– Oui, ma chérie, le DG m’a dit plus ou moins la même chose. Il m’a dit qu’un changement de mon contrat est à l’étude. Je crois que ta maman a fait jouer des relations haut placées !
– Eh bien, dit Brigitte, ce sont de bonnes nouvelles.
– Oui, dis-je, mais j’attendrai quand même la décision finale ! Au Congo, il faut être patient.
Ninah nous servit le repas et vint d’asseoir à côté de Brigitte. À voir les sourires détendus des trois femmes, je me doutai que la cause était plus que l’appel de Lysa.
Avant de repartir au bureau, Amina me prit en aparté :
– Pierre, Brigitte est vraiment gentille, elle nous a raconté un peu comment elle t’avait connu et combien elle t’apprécie.
– Je sais, ma grande, entre Brigitte et moi en plus du sexe, c’est une longue amitié, elle ne sera jamais ta rivale !
NDA : Voilà, sur ces bonnes nouvelles, je vous laisse à vos rêves pour la suite !
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