Chapitre 70 – les bienfaits du gode ! – un petit-déjeuner torride…

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Jour 54 (semaine 8 – vendredi) soir (suite)

### Ninah ###

Pierre sous l’effet du dopant fut vraiment éblouissant ! Son serpent avait craché son venin dans mon corps en grande quantité et pourtant la bête était toujours dressée, prête à l’attaque ! La vieille qui me vendait les herbes m’avait mis en garde de ne pas exagérer en disant :

– Ton homme va bander comme un éléphant et il risque de chercher satisfaction ailleurs si tu ne parviens pas à suivre son rythme !

Le seul risque c’est qu’il se trompe de cible et couche avec Tsela au lieu d’Amina. Mais en attendant cette nuit, il était pour moi seule et je comptais en profiter ! Je voulus qu’il me fasse l’amour toute la nuit, car même si son guerrier perdait la bataille, sa bouche et ses mains pourraient toujours me donner du plaisir.

Mais on n’en était pas encore là ! Sa lance toujours dressée, il était couché sur son dos et moi à califourchon sur ses jambes. Comme Brigitte me l’avait enseigné, je fis coulisser sa verge contre mes lèvres intimes sans qu’il me pénètre. Pierre en profitait et pour moi ce fut comme une masturbation lente, au lieu de sentir des doigts, je sentis sa hampe frotter contre mon bijou ! J’augmentai la vitesse en coulissant mon ventre intensivement contre son sexe.

– Ninah, j’adore ce que tu me fais, mais je ne tiendrai plus très longtemps, je sens la sève qui monte !

– Oui Pierre, je continue ainsi, car je suis proche de l’orgasme aussi et si tu éjacules maintenant ton jus se répandra sur ta peau et la mienne mais rien ne sera perdu ! dit-elle en haletant au rythme de ses jambes. Ne bouge surtout pas, mais prends mes seins, pince mes tétons ! Oui, encore plus fort ! Aaaah ! Oh Pierre lâche-toi maintenant ! Oh, ton sperme est comme une fontaine !

– Oui Ninah, c’est délicieux de sentir nos deux orgasmes quasi ensemble !

Je me penchai pour récupérer le flot de sperme sur son ventre, de mes mains j’essuyai ce qui avait atterri sur mes seins et puis je donnai mes doigts à lécher à Pierre. Je voulus souffler un peu mais Pierre avait d’autres plans ! Il me coucha sur le ventre en glissant un coussin pour soulever mes fesses. Il me pénétra d’un coup dans mon petit trou, ce qui me donna une deuxième vague de spasmes pendant qu’il pilonnait mes fesses. Au bout de longues minutes il cria son plaisir et je sentis à nouveau du sperme coulant hors de mon trou.

Pierre resta un bon moment sans se désunir, mais cette fois son soldat se retira du champ de bataille, vaincu ! Je pris les lingettes humides posées sur la table de nuit pour essuyer le nectar qui reflua puis fit pareil à son pénis qui lâchait encore des petites salves !

– Ninah, je demande une trêve ! Viens sagement dans mes bras, laisse-moi souffler un peu !

– Pierre, j’en veux encore ! Il faut croire que les « vitamines » provoquent du désir chez moi aussi, mon bijou est tout dur et chaud ! Viens me lécher ! Oh oui ta langue est toute fraîche sur mon sexe. Continue ! Ouiiii !

Mon ventre vibra tellement que j’eus peur que les coutures ne lâchent, mais il n’en était rien ! Je gardai la tête de Pierre sur mon ventre. Il me couvrit de baisers et je crois que je me suis endormi, car peu de temps après je sentis la bouche de Pierre contre mes seins. Lui aussi était apaisé !

### Amina ###

Tsela était dans ma chambre, alors que j’étais certaine que je m’étais couchée seule dans mon lit !

Je crus d’abord que ce fut Pierre qui me caressa avec sa bouche avant de me réveiller de mon rêve et de sentir Tsela qui me caressait. Je lui rendis la pareille et nous eûmes des orgasmes l’une après l’autre. Mais ni Tsela ni moi ne fûmes comblées.

– Je n’ai jamais été excitée comme cela ! Je crois que Ninah a mis un aphrodisiaque dans la nourriture et on est tous empoisonnées !

– Oui, il m’a semblé que j’ai entendu Ninah crier et Monsieur à plusieurs reprises donc on est toutes dopées !

– Oui, je crois que Ninah rattrape le temps perdu ! dis-je.

– Moi aussi je voudrais être caressée ainsi toute la nuit ! dit Tsela.

– Attends, je crois qu’on peut s’amuser ! Dans une de tables de chevet, il doit avoir un vibromasseur en forme de pénis. Moi, je ne peux le mettre dans mon vagin sinon je ne serai plus vierge, mais toi tu peux en profiter !

Je fouillai dans les tiroirs, le gode vibrant était toujours là ! C’est Brigitte qui l’avait apporté et Ninah l’avait utilisé quelques fois. Je vérifiai son fonctionnement et les piles étaient encore opérationnelles. Le gel était à la même place et je mis une bonne couche sur l’engin.

– Tsela, je vais l’introduire en douceur dans ton vagin, si tu sens une douleur, je le retirerai aussitôt. Une fois en place je commencerai par une faible intensité pour que tu t’habitues, on pourra augmenter plus tard.

Le gode en forme de pénis glissa sans problème dans le vagin de Tsela qui trouva le contact bien agréable. Lorsque je mis la vibration, Tsela fut d’abord saisie puis en coulissant l’engin sur son bouton intime, Tsela gémit doucement.

– Oh Amina, c’est génial ! J’ai tout mon corps qui vibre, mets le plus fort s’il te plaît ! Oh ouiii, continue à le bouger pour qu’il touche tous les endroits sensibles ! Oh ça vient ! Tiens-le en place !

Je parvins à le maintenir dans son vagin pendant que Tsela cria son orgasme, Elle comprima ses seins des deux mains pendant que le gode infatigable continua son œuvre. Je savais qu’on pouvait jouir un long moment et tant que Tsela vibrait sous l’orgasme, je maintins le gode dans son vagin.

À la fin, elle recula l’appareil car elle ne supporta plus la violence de son orgasme.

– Amina, c’est génial ! Je n’avais jamais senti mes doigts aussi loin dans mon vagin. Tu ne l’as jamais employé ?

– Si, mais seulement à l’entrée sans passer la porte de ma virginité et dans l’anus. Tu peux l’enfoncer dans mon petit trou avec beaucoup de gel.

Je le réglai sur une vitesse moyenne et caressai en même temps mon bijou avec mes doigts. Tsela le bougea en alternant les mouvements en avant et arrière comme la verge d’un homme. Ma tension grimpa rapidement, d’autant plus que Tsela me pinça les tétons avec sa main libre. L’orgasme me prit par surprise et je ne pus étouffer mes cris. Tsela garda le gode en position pendant un temps qui me parut une éternité, jusqu’à ce que je lui fisse signe de stopper. Ce fut tellement puissant que je ne pus plus parler, à cause des pulsions de mon corps. Ma vue s’obscurcit pendant un instant et je réussis enfin à reprendre mon souffle !

– J’espère que Monsieur ne nous a pas entendus crier ! Amina, j’en veux encore, c’est nettement plus intense que la masturbation !

– Alors, sers-toi, je suis épuisée !

J’entendis le bruit, discret du vibro dans son corps.

– Oh ouiii ! Amina pince mes seins, embrasse ma bouche, c’est trop… bon…

Elle ne bougea plus, je sentis sous mes mains ses tétons durs comme de la pierre. Je retirai l’engin de son intimité, ses cuisses étaient mouillées de cyprine. Elle prit ma tête pour un échange de salive passionné.

– Amina, est-ce qu’un homme me donnerait le même plaisir ?

– Je n’ai pas de certitude, Pierre ne s’est enfoncé que quelquefois dans mon anus, le contact de sa verge était plus sensuel, l’orgasme plus profond !

– Rassure-toi, je ne rechercherai pas à coucher avec ton homme ! Mais s’il me veut, je ne sais pas encore si je me laisserai faire….

***

Jour 55 (semaine 8 – samedi) matin

### Pierre ###

Au réveil, la place à côté de moi était vide, Ninah toujours matinale, n’avait pas voulu me réveiller ! Sans doute voulut-elle me laisser profiter du week-end. J’aurais pourtant bien aimé sentir sa main me prendre car mon gourdin était dressé et je n’allais pas courir ainsi toute la journée. Je mis donc mon kimono favori, question de ne pas choquer les filles si jamais elles ne dormaient plus ! Ce n’était pas confortable, car les pans de mon vêtement ne cachaient pas vraiment mon érection.

La salle à manger était vide, de même que le salon, je retrouvai ma gazelle dans la cuisine vêtue seulement d’un pagne autour des reins, sa poitrine nue ! Ce n’était pas exceptionnel de la voir ainsi mais de grand matin sans jeux ! Mon soldat salua ma compagne de la nuit.

– Tu es réveillé ! Bonjour ! dit-elle en écartant les pans de mon kimono.

– Bonjour beauté ! Tu m’as laissé seul ce matin.

– Ne me reproche rien car je t’ai préparé un petit-déjeuner pour toi tout seul. Je comptais te l’apporter au lit ! Je t’ai préparé des mikaté (des beignets) selon la recette de Lysa, il paraît que tu les as adorés !

– C’est vrai ! Mais la cuisinière qui les a préparés aujourd’hui est plus belle !

– Alors suis-moi, ton petit-déjeuner est prêt ! Recouche-toi, je vais te nourrir !

Assise à califourchon sur mes genoux, elle commença à mettre un mikaté dans ma bouche, puis me fit boire un peu de lait de coco. Elle recommença avec un beignet et un peu de lait, jusqu’à ce que tous les beignets fussent mangés.

– Ah, tout le lait de coco n’est pas bu ! Viens le boire sur mes seins.

Et elle versa petit à petit le lait sur ses seins que je bus au fur et à mesure. Ses tétons apprécièrent le scénario et ma verge aussi. Ninah fut joyeuse de son jeu et versa le restant du lait sur mon sexe pour le sucer avant qu’il ne s’écoulât.

– J’ai encore une banane, tu en veux un peu ?

Je répondis par l’affirmative et après l’avoir épluchée, je m’attendis à ce qu’elle me la donne en bouche mais à ma surprise elle l’enfouit dans son vagin avec un soupir de plaisir.

– Tu croyais que je te nourrisse ? Non, je veux que tu viennes le chercher !

Je la couchai sur son dos et me mis à explorer son minou pour extraire la banane de son vagin. Au début c’était facile, mais ensuite même en aspirant le dernier morceau resta en place. Elle comprit que mes efforts étaient vains et expulsa le dernier morceau en comprimant ses muscles pelviens.

– Merci, mon chéri, j’adore cette banane enrobée de ta cyprine ! Je crois que j’ai enlevé tout l’obstacle qui m’empêchait de te pénétrer !

Sans hésiter, j’enfonçai ma lance qu’elle reçut avec un gémissement.

– Ah oui Pierre, prends-moi et défonce-moi. J’adore … encore… je ne serai … pas longue dit-elle entre mes coups de butoir.

– C’est bien ce que tu voulais non ?

– Ouiii, donne-moi ton jus ! Maintenant !

Je ne dus pas me retenir, ce jeu m’avait bien préparé et j’éjaculai quasi en même temps que son orgasme. Elle poussa avec ses mains sur mes fesses pour que je reste bien enfoncé dans son corps qui vibra pendant de longues minutes.

Je me levai, pour ramasser le plateau, pendant que Ninah resta encore un peu au lit pour récupérer et le porta dans la cuisine. Je fus surpris d’y trouver Tsela, vêtue de la nuisette qu’Amina avait subtilisée à sa mère.

Elle ne sembla nullement gênée d’exposer ses seins à ma vue. C’était la première fois que je la vis ainsi et je notai que ses aréoles étaient bien plus larges que celles d’Amina ou de Ninah.

– Bonjour Monsieur, me dit-elle, Ninah n’a pas encore préparé le petit-déjeuner ?

– Non Tsela, le week-end on fait la grasse matinée et on se sert dans la cuisine.

– Je comprends, dit-elle, vous avez une jolie broderie dans le dos de votre kimono !

– Oui, c’est un dragon qui me protège quand je dors ! dis-je en blaguant.

J’espérai qu’elle ne vit pas mon sexe dressé, mais cette fille avait la vue perçante et devait remarquer la bosse. Je ne m’attardai pas et retournai vers ma chambre. Je ne pus terminer mon trajet car Amina sortit de sa chambre vêtue seulement d’un short. Elle me bloqua dans le couloir et écarta les pans de mon kimono.

– Bonjour mon amour ! Tu es en forme !

– Oui, la vue de Tsela avec te nuisette en est la cause ! Mais tu n’améliores pas la situation en te promenant ainsi !

– Je sais, mais mon futur mari a le droit de me voir ainsi !

– Merci, mais tu ne faisais pas cela pour moi, ta copine doit aimer cette vue également. Je vous ai entendus crier cette nuit, j’espère que Tsela a eu son compte !

– Je n’en sais rien Pierre, on a joué avec le gode vibrant que Brigitte t’a offert ! Heureusement on a le chargeur car on recommencera la nuit prochaine.

– Bonne idée, veille à ce qu’elle l’emporte avec en mission. Car je crains les nuits d’orage.

– Mon Dieu, non, on est en saison sèche ! Tu te rappelles encore de cette nuit-là ?

– Oh oui, j’en ai un souvenir impérissable !

– Moi aussi, comment va Ninah ?

– En pleine forme, nous avons déjà déjeuné, je te laisse rejoindre ta copine avant qu’elle ne mette le bordel dans la cuisine.

– D’accord, mais s’il te plaît, je voudrais dormir avec toi et Ninah !

– Comment vas-tu te débarrasser de Tsela, je demanderai à Ninah de quoi l’endormir ce soir !

NDA : la nuit prochaine sera intéressante !

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