Chapitre 92 Versailles.
### Amina ###
Le lendemain, Pierre nous réveilla avec un lot de baisers, ce qui nous mit immédiatement de bonne humeur et une envie de lui faire plaisir. Mais il s’échappa vers la salle de bains, tout en ayant sa trique dressée.
– Non, les filles, je garde mes forces pour la visite du château de Versailles. Il vaut mieux attendre avec les câlins pour ce soir ! Car ce palais a été construit et embelli en hommage à l’érotisme par des souverains qui ne pensaient qu’à l’amour !
– Oui, j’ai lu que Louis XIV a été initié par une putain qui lui apprit les secrets de l’amour à l’âge de 13 ans, sur l’initiative de sa mère, Anne d’Autriche, lorsqu’elle était régente.
– C’est bien ça Amina, tu t’es bien documentée en préparation de notre voyage !
– Oui, Pierre, j’étais curieuse de connaître les secrets des Français, qui les rendent tellement célèbres à l’époque et encore de nos jours !
– Oui, je vous propose de vous habiller en tenant compte qu’on va beaucoup marcher !
Ninah et moi choisîmes de mettre une simple blouse à boutons s’ouvrant sur toute la longueur du torse, des shorts mettant nos jambes en valeur et des chaussures tennis basses que nous avions achetées quelques jours auparavant et que nous avions rodées pour la marche. Notre blouse très accessible laissait apparaître l’amorce de nos seins libres. Pierre appréciait la vue et je vis que son entrejambe était bien tendu.
Après avoir parqué la voiture, nous entrâmes dans la cour majestueuse pour nous diriger vers l’accueil. Il n’y avait pas encore trop de visiteurs et nous optâmes pour des systèmes d’audioguide ce qui nous permettaient de sélectionner individuellement les explications suivant les endroits visités.
Nous apprîmes ainsi que Versailles était au départ une garçonnière pour cacher les amours discrets de Louis XIV. Mais devint rapidement un véritable lupanar où toutes sortes d’amours se pratiquaient dans les chambres et même dans les jardins. Certains préféraient les amours homosexuelles entre hommes, entre femmes et les échanges entre femmes et maris étaient nombreux. Le roi Louis XVI après avoir appris les jeux de l’amour avec la Baronne de Beauvais vicieuse mais laide et borgne fricota avec sa belle-sœur, avant de tomber dans les bras de Louise de la Vallière. D’après l’audioguide que j’écoutais avidement, le roi aimait baiser et toutes les femmes voulaient coucher avec lui ! D’après certains auteurs de l’époque, Versailles était un immense bordel. Les descriptions des mœurs de l’époque m’émurent au point que je nous imaginais de nous retrouver dans un passage secret où nous pourrions assouvir nos désirs. Nos blouses étaient fort ouvertes jusqu’entre nos seins et Pierre avait un regard lubrique en regardant l’arrondi de nos seins dans l’échancrure.
Ninah curieuse découvrit une porte dérobée qui n’était pas close et nous nous engouffrâmes dans un couloir secret où Ninah voulant imiter les résidents de l’époque ouvrit quelques boutons de plus de sa chemise pour offrir ses seins à Pierre ! Je ne restai pas inactive et saisis la lance de Pierre déjà bien dure par la vue de tous les tableaux de femmes peu vêtues ! Les femmes à l’époque n’hésitaient pas à déambuler avec les seins découverts où les aréoles étaient bien apparentes. Pierre suça les seins de Ninah qui gémit sans retenue pendant que je mis la verge de Pierre en bouche. À ma surprise Pierre éjacula rapidement pendant qu’il déboutonna le short de Ninah et plongea ses doigts dans son intimité. Je n’eus pas le temps de me masturber, pas plus que Ninah ne put satisfaire son plaisir. Nous craignions que quelqu’un ouvrât le passage secret et nous découvre dans une attitude scabreuse. Ninah mit de l’ordre dans sa tenue pendant que je remis le sexe de Pierre encore bandé dans son pantalon, en se promettant de trouver un endroit plus discret pour assouvir nos désirs.
Notre passage dans la galerie des Glaces, m’émoustilla plus que normalement en nous voyant dans les miroirs. Pierre les bras sur nos épaules pendant que nous tenions les hanches de notre mari. Beaucoup de visiteurs se tournaient sur notre passage, les hommes le regard envieux sur Pierre, les femmes jalouses de notre beauté et de notre attirance.
Je nous imaginais dans la suite du Roi recevant les ambassadeurs du Siam dans ce décor majestueux où tous les cierges allumés se reflétaient dans les glaces magnifiques.
L’appartement des bains nous laissa excitées, je voyais Mme de Montespan nue se baignant avec le Roi en toute intimité. Nous apprîmes que les bains n’étaient pas destinés à se laver mais avaient un but autrement érotique ! Je m’imaginais nue dans ce grand bain jouant avec le sexe du Roi pendant qu’il me caressait les seins et mon intimité.
Nous eûmes le fou rire en écoutant notre audioguide nous raconter le lever du Roi durant laquelle la première personne à embrasser le Roi était sa nourrice dont nous vîmes une peinture montrant ses seins blancs mais généreux. Je nous imaginais donnant nos seins à la bouche de Pierre ! Finalement rien n’avait changé entre les hommes et les femmes ! Ce qui était moins joyeux c’est que le Roi n’avait aucune intimité, son lever était public, pareil pour la Reine qui accouchait en présence des courtisans !
Pierre nous fit remarquer qu’en hiver à Versailles ce n’était pas une sinécure de rester au chaud ! Les feux ouverts fumaient plus qu’elles ne réchauffaient les pièces et les résidents devaient s’habiller de nombreux vêtements pour résister au froid. Je me demandais comment les femmes pouvaient être attirantes couvertes de plusieurs couches de vêtements.
Son petit-fils Louis XV n’était pas en reste : Madame de Pompadour et Madame du Barry vont fournir au roi de la chair fraîche de plus en plus jeune, car il avait peur des maladies vénériennes. Il n’y avait pas encore de préservatifs !
En fin de journée, nous étions fatiguées d’avoir marché dans le palais et les jardins. Les jardins de par leur agencement permettaient aux promeneurs de se défouler entre les bosquets et notre imagination allait bon train pour voir des femmes à moitié nues s’offrant des plaisirs à l’abri des bosquets et buissons. Notre conclusion était que Versailles était un palais très tape à l’œil mais inconfortable et mal équipé pour ses résidents. Je trouvais qu’en comparaison avec les habitations africaines traditionnelles, les courtisans malgré le luxe et la dorure n’étaient pas mieux lotis, mais profitaient du sexe pour obtenir des faveurs et augmenter leur pouvoir !
Il ne me restait qu’une impression forte et indélébile, les résidents du palais étaient entourés de peintures et sculptures qui suggéraient le sexe. Et Ninah et moi nous étions excitées au point que je n’aspirais qu’à retourner à l’hôtel pour calmer mes envies.
Dans la voiture sur le trajet du retour, Ninah me confia qu’elle désirait prendre une douche non seulement pour se rafraîchir mais pour calmer ses pulsions. À l’hôtel, elle appela le room service et Lætitia se présenta dans la minute suivant notre appel. Nous nous dirigeâmes tous dans la grande salle de bains où je lui demandais de se déshabiller et de défaire les vêtements de Pierre.
Il était aussi troublé que nous et nous voyions à la tension de sa verge qu’il avait besoin d’une séance de sexe immédiatement. Lætitia sans attendre s’agenouilla devant lui sous la douche et entreprit une fellation qui fit gémir Pierre sans aucune retenue.
Ninah et moi rejoignîmes le duo, j’écartai la bouche de Lætitia de la lance de Pierre qui grogna déçu de l’interruption, je ne voulus pas que Pierre jouisse prématurément comme à Versailles. Je présentai mes fesses pour qu’il me pénètre. Ah ! Quel plaisir de sentir sa lance me pénétrer ! Sa bite me pénétra profondément, Pierre sous le jet de la douche fit de longs va et vient. Je n’étais pas encore blasée de mon statut de jeune mariée et je voulus atteindre très rapidement le Nirvana et glissai quelques doigts entre mes lèvres pour caresser mon bijou !
Lætitia ne voulut pas rester simple spectatrice, je vis qu’elle empauma les seins de Ninah et glissa l’autre main dans sa fente. Ninah comprit la manœuvre et comprima la main de la soubrette pour se masturber avec la main de Ninah. Moi, je criai mon plaisir à la fois sous la pénétration de Pierre et la vue que j’avais sur le jeu de mains de Ninah. Je cédai la place à Ninah qui fit une dance diabolique sur la verge de Pierre tout en étant sucée aux seins par Lætitia. Ninah ne put tenir le rythme et orgasmait violemment au point de perdre l’équilibre, je le retins juste à temps avant qu’elle se s’écroule. Lætitia, voyant enfin la verge de Pierre libérée présenta son derrière et se fit embrocher par Pierre sans préparation !
Mais Pierre n’eut aucune difficulté à passer la rosette de son anus, je vis la bouche de Lætitia se déformer sous la puissance de la pénétration, mais c’était pour exprimer son plaisir. Pierre la serra contre lui tout en la masturbant. Ninah et moi en spectatrices vîmes la copulation sauvage de Pierre qui eut le temps de donner l’orgasme à la soubrette avant de se décharger sans retenue dans le corps de Lætitia. La chambrière resta unie jusqu’à l’atténuation des spasmes et se retourna en finale que pour rincer l’engin de Pierre sous le torrent abondant de la douche.
Pierre avait son compte, car il débanda rapidement. Je coupai l’arrivée d’eau et distribuai les essuies à tout le monde. Lætitia et Pierre se séchèrent mutuellement pendant que Ninah sécha mes tresses.
Puis sans un mot nous nous couchâmes tous ensemble dans le grand lit.
NDA : Une visite de Versailles très érotique qui se termine en apothéose !
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