### Ninah ###

Oui, j’étais heureuse, Amina et moi nous allions avoir un enfant de Pierre. Je m’étais déjà souvent posé la question, lorsque Pierre avait commencé à m’aimer : comment seraient les enfants que nous aurions ensemble. Est-ce que les enfants seraient à son image ou plutôt une copie d’Amina ? Ce projet s’était évanoui après ma maladie, mais tout mon désir d’avoir des enfants c’était reporté sur le ventre d’Amina.

Je demandai à Pierre de commander des herbes et tisanes chez l’herboriste, comme on était en France on pouvait les acheter en toute confiance. La liste comprenait la menthe, la verveine, du thym, du thé rouge (rooibos) et la mélisse pour les nausées et son effet relaxant. Je commandai aussi des racines gingembre, si dans le futur les nausées seraient trop incommodantes.

Je préparais une composition de tisane qui donnait un goût agréable à la boisson à boire chaude ou fraîche. Je fis d’abord quelques mélanges différents pour connaître les préférences d’Amina.

Pour la peau, j’utilisais déjà le beurre de karité pour le visage et les seins, j’ajoutais donc pour le rituel matinal de masser très doucement le ventre, rituel qu’Amina adorait même si de temps à autre le massage dérapait un peu. Surtout lorsque Pierre était dans les environs.

Ce matin par exemple, Pierre prit une bonne portion de beurre dans ses mains pour réchauffer la pâte et masser en douceur les seins et le ventre d’Amina. Je vis que la lance de Pierre prit du volume nonobstant la séance épuisante de la veille. Amina fit la même constatation et me demanda d’intervenir.

– Ninah, il faut encourager Pierre qui a la gentillesse de me masser pour que ma peau reste souple pendant ma grossesse. Que suggères-tu ?

– Cela peut se faire sous forme de jeu, Amina. Pendant qu’il te masse, tu peux lui rendre la pareille en caressant délicatement sa verge et spécialement son gland. Je me propose pour t’aider car j’ai envie de lui faire plaisir. Brigitte ce matin veut profiter du soleil et s’enduira qu’en fin de journée de crème après-solaire.

Je baissai le short de Pierre ce qui fit tressauter son sexe déjà dressé.

– Pierre, c’est pour masser ta petite femme, elle est enceinte depuis peu, maintenant si tu veux la faire jouir, c’est à Amina que tu devras demander, elle décidera de sa jouissance.

Je me plaçais derrière Pierre en entourant mes bras sur ses flancs, mes seins collés contre son dos. Mes bras étaient assez longs pour atteindre son bâton dressé. Mes mains bien glissantes par le karité parvenaient à décalotter son engin et je glissais sur son membre pendant que lui alternait des massages sur sa poitrine et son ventre. Je vis que régulièrement il glissait ses doigts entre ses cuisses. Amina gémissait de plaisir chaque fois qu’il descendait sa main sur son intimité. La peau d’Amina était belle et avait des reflets irisés sous l’application de l’huile. Il remonta pour masser ses épaules, après un moment elle demanda de lui masser les seins. Il glissa entre ses seins sans toucher ses tétons. Je vis clairement dans les yeux d’Amina qu’elle désirait un contact plus direct. J’abandonnais son chibre pour assister Pierre dans le massage du torse d’Amina.

Je soufflais sur ses tétons puis entrepris de les sucer. Je crois que j’étais aussi excitée que ma sœur. La cyprine coulait entre mes jambes, Amina glissa quelques doigts dans ma fente.

– Ninah, continue, je sens mon désir grimper.

– Oui, tu auras ta récompense murmura Pierre.

– Pierre, donne-moi ton bâton, enfonce le profondément.

Pierre comprit le message, il prit les jambes de ma sœur pour les mettre sur ses épaules, dévoilant ainsi son bijou. Il enfonça comme demandé son chibre bien profondément. Je voulais participer au jeu et je glissai ma main sur ses bourses et finis avec un doigt dans son anus.

Pierre grogna sous l’assaut de mon doigt et intensifia ses allers-retours jusqu’à ce qu’Amina criât son plaisir. Pierre n’était pas encore prêt de conclure mais se retira de l’antre de ma sœur. Je trouvai l’occasion favorable et je me glissai sous le corps de mon patron chéri pour qu’il puisse me pénétrer.

Sa lance était bien grosse à l’introduction et j’eus du mal à maîtriser les vibrations de mon ventre. Pierre en voulait plus. Il me souleva comme une plume et me mit sur son corps puis serra mes seins entre ses mains pendant que je dansais sur sa lance. Il me ramona longuement déclenchant plusieurs vagues de plaisir. Je fus sur le point de lui demander de modérer son mouvement alors qu’il éjacula en grognant comme un lion qui prend sa femelle. Je sentis le jet puissant s’infiltrer entre mes cuisses. C’était trop bon, il ralentit son assaut mais ne lâcha pas sa prise. Quelques secondes plus tard je subis une nouvelle giclée qui ne resta pas dans mon vagin. Je me laissais aller contre son corps écoutant nos cœurs battre à un rythme fou.

Amina avait suivi nos ébats et vint se blottir entre nos bras.

– Pierre, quelle puissance ! dit-elle, j’avais l’impression d’être dans le fond de la jungle en entendant vos cris. Ninah, c’est la première fois que j’entends des cris de fauve de vous deux.

– J’ai crié ?

– Oh oui, si tu n’as pas souvenir d’avoir crié, c’est que vraiment tu as été submergée par le plaisir.

– Oui, j’ai eu mon compte, Pierre ton pieu est toujours dans mon vagin, tu en veux encore ? Je propose qu’Amina et moi on finisse à la main et avec notre bouche. Demain je réduis ta dose de stimulant. Je suis certaine que lorsque tu auras satisfait Brigitte, Amina et moi, je n’aurai pas de solution si tu bandes encore.

– Ninah, oui sois gentille, arrête de me stimuler pendant quelques jours. Je préfère avoir une panne durant nos rapports. Je dois pouvoir me calmer.

– D’accord patron, je te laisse revenir au calme. Mais tu devras quand même nous satisfaire. Moi, je veux profiter de nos vacances. Je vais te sucer pour te calmer alors puisque c’est de ma faute que tu ne parviens pas à conclure.

Je me soulevai pour libérer Pierre et je le masturbais sans relâche jusqu’à ce que Pierre n’ait plus une goutte de sperme. Chaque fois je recueillis son jus dans ma bouche, Amina réclama sa part à de multiples reprises. Les éjaculations s’espacèrent et la dernière fut vraiment longue à venir.

Pierre fut étonné de sa capacité et sa dernière jouissance fut quasi à sec. Je n’en pouvais plus, Amina avait introduit ses doigts dans ma fente pour recueillir ma cyprine. Pierre l’imita et introduisit sa langue en conclusion dans mon vagin pour calmer mon désir pendant qu’Amina me caressait les tétons. Mon orgasme m’aveugla pendant de longs moments. Ce fut Amina qui finit par me ramener à la réalité en m’embrassant les seins.

Je m’assoupis épuisée et ce fut Pierre qui me réveilla en enduisant mes seins et mon ventre de karité, puis il me souleva pour me coucher sur Amina. Nos seins se collèrent ensemble. Il m’incitait à faire un massage nuru à ma sœur. Je glissais mes seins sur toute la longueur de son corps. Pierre m’aida dans mon mouvement en glissant sa main entre mes fesses, pour atterrir sur le minou d’Amina. Je remontai mon corps jusqu’à ce que mes seins fussent devant sa bouche. Amina en profita pour happer mes tétons, je ne pus maîtriser mes frissons de désir.

Du coin de l’œil je vis que le sexe de Pierre était passé du stade érigé mais un peu mou à l’état dur en quelques minutes. Non, je ne voulus plus le toucher. Et Amina se contenta de mon massage.

Brigitte finit par revenir dans la chambre, son corps tout chaud d’avoir profité du soleil. Voyant l’épée de Pierre dégainée, elle crut lui rendre service en le massant.

– Brigitte, tu es gentille mon amie, mais mes deux femmes sont passées par là et je n’ai plus de jus à t’offrir.

– Oh, à ce point Pierre ? mais tu as encore des mains et une bouche et puis même si ta lance ne sait plus jouir, elle est suffisamment raide pour me pénétrer et m’emporter au Nirvana.

Il se leva du lit où je continuai mon massage. Il retourna Brigitte pour qu’elle se penche en avant et il la pénétra d’un coup sec, ce qui fit rire Brigitte.

– Ah j’adore quand tu joues l’homme des cavernes ! cria Brigitte.

– Oui, mais c’est uniquement pour te donner du plaisir ! Si mon bâton reste raide, tu apprécieras le résultat du dopage causé par Ninah toujours insatisfaite.

Pierre ramona sa copine sans faiblir et Brigitte gémit longuement sous l’assaut de Pierre. Il se retira avec un baiser sur son épaule.

– Merci Pierre, j’aurais aimé que tu jouisses mais je suis déjà reconnaissante à Ninah qui t’a bourré de vitamines ! Comment vas-tu faire pour débander ?

– Il n’y a qu’un seul remède, dis-je, Il faut masser doucement son engin pour évacuer le sang. D’expérience c’est long, mais avec de la patience on obtient un résultat passable.

Brigitte suivit mes instructions et parvint à calmer Pierre après une longue séance de massage doux alterné avec une caresse buccale pas trop appuyée.

***

### Pierre ###

La location toucha à sa fin. Demain Brigitte retournait à Paris, mais avant ça les filles eurent encore une longue séance de bisous et de caresses. Amina et Ninah voulurent le faire en ma présence, pour que par la suite je puisse la ramoner avec efficacité. Ninah m’expliqua :

– Oui, Pierre depuis une semaine, je ne t’ai rien administré comme stimulant pour que ta verge se repose. J’ai constaté cependant que ton érection restait bien active dès qu’on t’embrassait, ou mieux si on se promenait ou nageait sans vêtements. Alors comme Brigitte s’en va demain, nous ce soir on lui donnera notre cadeau et puis on vous laissera ensemble pour la nuit. Ça te convient ?

– Oui, ma gazelle, je suppose que vous resterez ensemble cette nuit ?

– Oui patron, comme demain tu partiras tôt avec elle, nous, on restera au lit jusqu’à ton retour de l’aéroport. Dans l’après-midi on fera nos bagages.

– Oui, je te demande juste Amina, que tu cherches un hôtel pour s’arrêter aux environs de Sauternes pour scinder le trajet vers la Bretagne où nous avons réservé une semaine dans un hôtel près de Billiers. Tu utiliseras ma carte de crédit pour réserver.

– Oui, dit Brigitte à Sauternes vous trouverez un bon hôtel : Le château d’Arche. Vous pourrez loger et profiter pour déguster le délicieux vin de la propriété. Je connais car sur nos avions il y avait une vidéo de publicité qui a été diffusée pendant quelques années.

Les trois filles recherchèrent le site avec mon laptop et firent la réservation pour deux chambres. Pendant ce temps, Ninah défit la blouse de Brigitte et caressa ses seins. Lorsque Amina eut terminé les modalités de la réservation, elle rejoignit sa sœur pour entamer une partie de lèches des seins de l’hôtesse.

J’étais assis dans le divan en ayant que mon kimono comme seul vêtement. Le spectacle était magnifique. Brigitte était coincée entre mes deux femmes, une caressant et titillant ses seins avec la bouche, l’autre léchant son bijou. Brigitte pouvait elle, accéder aux deux corps selon ses désirs. De temps à autre Ninah leva la tête pour me regarder et dut voir que ma lance pointait comme un piquet de tente sous le tissu de mon vêtement.

Brigitte gémit plusieurs fois dans des orgasmes délicieux sous les attouchements des déesses d’ébène. Puis m’invitèrent à les rejoindre, les trois femmes à tout de rôle caressaient mes attributs sans forcer la dose. Au bout d’un moment les deux sœurs se séparèrent de Brigitte pour continuer à deux. Je vis clairement leur cyprine couler sur leurs cuisses, qu’elles s’empressèrent de sucer et terminèrent dans plusieurs orgasmes.

Brigitte m’accueillit entre ses jambes.

– Oui, Pierre tes femmes m’ont déjà bien excité, je suis prête. Viens maintenant, profite de moi, je veux goûter ton gros cigare dans mon vagin, après je le prendrai dans ma bouche si tu n’as pas encore joui.

Les tétons de Brigitte resplendissaient sous la lumière du jour descendant. Pendant que je m’enfonçais doucement dans son corps, elle empaumait ses seins pour les présenter devant ma bouche. Je savais d’expérience que je pouvais lui donner un orgasme rien qu’en caressant ses seins. D’autant plus que les deux femmes l’avaient déjà fait jouir plusieurs fois.

Il ne me fallut pas longtemps pour l’amener au sommet, je sus que j’atteignis le plafond de sa jouissance lorsque je sentis ses muscles du périnée se contracter autour de ma verge. Son ventre se contracta à plusieurs reprises.

– Oh, oui, Pierre, tu es génial, continue encore, mais freine ta verge, je veux que tu éjacules dans ma bouche après mon orgasme ! Oh, c’est bon, encore, suce encore mes seins, tu sens mon plaisir ?

– Oui, ma douce, je sens tout ton corps qui vibre. Je sens tes contractions autour de ma verge. Il y a bien longtemps que je n’ai plus réussi à te faire jouir ainsi.

– Pierre, tu es le seul à réussir cette performance. Tes femmes malgré toute leur expérience n’ont jamais réussi sans toucher à mon clito. Viens dans ma bouche maintenant. Je veux goûter ta verge encore nappée de ma sauce.

Plusieurs fois elle me fit entrer et sortir de sa bouche, me donnant ainsi l’occasion de modérer ma progression me stoppant juste avant l’orgasme. À chaque fois elle put goûter les quelques gouttes qui suintaient de mon méat en les recueillant délicatement.

– Laisse-moi jouir maintenant Brigitte, je ne sais plus me retenir.

– Encore un peu Pierre, je devrais certainement attendre la fin de ton voyage pour te revoir.

– On pourra organiser une entrevue avant de retourner à Kinshasa, mais maintenant achève-moi !

J’eus une décharge dans sa bouche, même si Ninah m’avait sevré depuis quelques jours ma jouissance fut encore puissante.

– Pierre, tu as encore de la vigueur, viens secouer ton cocotier dans mon vagin, tu pourras encore me faire jouir et me donner mon cadeau.

Brigitte me coucha sur le dos et s’empala sur mon « cocotier », effectivement il était encore bien raide et Brigitte sur sa lancée eut encore deux orgasmes avant que je rendis les armes. Nos cris de plaisir attirèrent mes Congolaises. Nous reçûmes encore leurs caresses avant de s’endormir épuisés.

NDA : Il était temps de se séparer, sous peine de perdre Pierre.

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