La vieille voiture de Baba

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Nous sommes fin octobre 1990, Cela fait désormais six mois que je suis avec Baba, nous ne nous voyons pas aussi souvent qu’on le souhaite depuis la rentrée, en effet, je suis interne dans un lycée à plus de deux heures de chez nous, le samedi je suis presque toujours au sport. Donc en général, on ne se voit que le dimanche après-midi, soit chez ses parents, soit chez les miens, autant dire que c’est compliqué pour les câlins. On a fait l’amour peu de fois depuis l’été, toujours discrètement, il y a toujours des oreilles pas loin.
Depuis peu, Baba a acheté une vieille voiture, elle souhaite passer son permis d’ici l’été.
Elle est stockée dans le garage de ses parents.
Un dimanche que je suis allé la voir, elle m’a accueilli dans sa jupe trapèze écossaise, elle ne portait pas de collant, un petit pull en laine noire, elle est très sexy comme ça. Après avoir pris un café avec ses parents, elle me dit de venir dans sa voiture, car elle a un problème avec son auto-radio. Bien évidemment, j’accepte, ses parents allant devant la télé, on sera aussi bien ailleurs.
Je rentre dans le garage, me dirige vers sa voiture côté passager, Baba ferme la porte du garage et me rejoint côté conducteur.Je regarde l’auto radio, le déclipse pour le retirer, c’est rien. Son frère l'a remplacé la semaine d’avant mais il a oublié de brancher l’antenne. Une fois tout remis en place, on peut écouter de la musique, Baba se tourne vers moi et me roule une pelle mémorable, tout en me remerciant d’avoir réparé le poste. Je réponds à son baiser, on se serre, on se touche, elle me caresse par-dessus mon jean, bien sûr, je bande. Je ne suis pas à l’aise, car ses parents peuvent rentrer dans le garage à tout moment. La voiture est garée en marche avant, donc au moins, si quelqu’un rentre, il n’aura pas une vue directe sur ce qui se passe à l’intérieur. Ses caresses deviennent plus intenses, elle me déboutonne et me dézippe, rentre sa main dans mon pantalon et s’invite directement sous mon boxer. Elle me branle de plus en plus vite, Je savoure, même si j’ai un peu peur. Je passe une main sur ses fesses, je les caresse fort, je passe devant, elle m’aide bien en écartant un peu ses jambes. nous sommes maintenant tous les deux, mains dans les culottes en train de nous stimuler. Mes doigts titillent son petit bouton. Elle respire de plus en plus fort. Elle ouvre en grand mon pantalon pour bien ressortir mon matériel, elle me prend les testicules, puis, elle se penche, doucement. Sa tête se dirige vers mon gland. Je sens un bisou dessus, puis un autre. Elle m’embrasse sur toute la longueur. A un moment je sens le bout de sa langue jouer avec mon méat, je suis sur le point de craquer, personne ne m’a jamais proposé ce genre de baiser. Puis, je sens une chaleur humide sur mon gland, elle vient de me prendre en bouche.
Elle commence un lent va et vient. elle gémit, deux de mes doigts sont maintenant bien au chaud dans sa fente complètement inondée. Je bouge sur son rythme, ou alors c’est elle qui s’est calée sur le mien. Je n’en peux plus, le lui dit, elle retire sa bouche et je jouis immédiatement sur sa main et sur mon ventre souillant mon tee-shirt. A la vue de mon éjaculation, Baba se crispe et geint, mon orgasme a entraîné le sien. Elle se relève, on s’embrasse, et puis après quelques minutes, on éclate de rire en voyant dans l’état que je suis, mon tee-shirt couvert de sperme. Heureusement, Marcel à un gros rouleau d’essuie tout sur l’établi.
Après m’avoir bien essuyé, Baba se recolle à moi, m’embrasse de nouveau; Et oui, je repars bientôt pour ma semaine d’internat; on veut profiter au maximum. Mon amoureuse vient à califourchon sur moi. Il ne m’en faut pas plus pour récupérer une rigidité qu’elle a tout de suite repéré. Elle se frotte sur moi, me dit qu’elle a très envie de me sentir en elle, elle me prend dans sa main, fait quelques va et vient, écarte son slip et me dirige à l’entrée de son vagin. Elle se laisse glisser sur mon pieu. elle mouille tellement que ça rentre tout seul. Elle se bloque pour bien savourer mon membre dans ses tréfonds. Elle commence un lent va et vient, puis accélère progressivement. Elle gémit de plus en plus,je ne l’avais jamais entendu se laisser aller si fort. Là, personne ne peut nous entendre. Elle s'arrête, tourne la poignée du siège pour le mettre en position allongée, puis cette tâche réussie, elle reprend son rythme encore plus vite. Dans cette position, mes mains peuvent s’emparer de sa poitrine pour bien la stimuler. Elle gémit de plus en plus fort, à un rythme de plus en plus soutenue, elle jouit fort, ses spasmes contractant mon penis, elle s’affale sur moi et après quelques instant, elle me dit qu’elle n’en peut plus, moi, je suis toujours bien tendu au fond d’elle. Je me retire. On se tourne comme on peut sur le siège, je me mets en position, ses jambes me gênent, il n’y a pas beaucoup de place dans cette voiture, je les mets sur mes épaules, elle est complètement offerte. Je rentre d’un coup, elle pousse un petit ouf de surprise mais semble adorer cette nouvelle prise. Je commence à aller de plus en plus vite, nous sommes comme des bêtes, on geint, on ahanne, je sens qu’elle va arrivée de nouveaux à son plaisir, Je veux que ma Babeth jouisse encore de moi. Je maintiens la cadence, Baba se lâche dans une longue complainte de bonheur, je pousse un râle rauque et dans un dernier effort, je me vide en elle.
Nous sommes comblés d’amour. Ma queue toute gluante mais ramollie sort d’elle, du sperme s’écoule de sa moule. Nous savourons cet instant mais il est tard. Baba ôte sa culotte et s’essuie avec. On se rhabille correctement. On ouvre les fenêtres de la voiture pour l'aérer, ça empeste le cul à l'intérieur. Nous retournons à la maison, je salue ses parents, Baba me raccompagne à la porte et m’offre sa culotte trempée de nos sucs, c’est pour bien penser à elle dans la semaine me dit-elle.
Nous nous embrassons et nous quittons, heureux d’avoir trouvé un terrain de jeu discret.

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