Les SySis (Syndiqués du Signalement) :
Ceux qui signalent.

Sous-espèce dodelinant la tête et très proche des Il-est-pas-bien-dans-sa-tête-lui, le SySi a la gachette sensible. C'est le Clint Eastwood du mécontentement. Mais pour d'autres raisons qu'une perverse manipulation. Il veut se rapprocher de la modération dans de faux airs d'indignation, faire copain-copine et s'attirer la faveur du staff. Pas besoin d'être psychologue pour comprendre le vide sidéral qui tapisse son esprit au point qu'il doive aller chercher ici et là sur Internet des victimes sur qui vomir son dégoût de la vie*.

 " Je constate que vous me visez directement dans votre récit. Le personnage principal a, comme par hasard, mon quatrième prénom du côté de ma grand-mère maternelle et, si j'en crois la ville dans laquelle il évolue (Bourges), vous semblez bien renseigné sur moi. C'est la ville que j'ai fréquenté en 1982 lors d'un concours intercommunal de cri de cochon. C'est inadmissible ! "

Ps. :
Votre serviteur a vécu une telle mésaventure sur une autre plateforme d'écriture. Laissez-moi vous raconter :
Une folle (je mesure mes propos mais c'est la seule définition que j'ai pu trouver après de nombreuses tentatives d'explications voire de négociation) me harcelait au moindre de mes mouvements littéraires. Un sniper d'élite plein de mépris qui croyait, la pauvre, que je me cachais sous deux identités pour mieux lui faire du mal. Elle trouvait dans chacun de mes textes même les plus courts et les plus stupides, une attaque personnelle dont elle notifiait la modération. D'abord insensible, je me voyais rapidement engagé dans un véritable combat pour justifier ma bonne foi. En vain. J'ai subi la censure d'un staff manipulé, crédule et, après délibération avec moi-même, je décidai de quitter les amoureux des mots. Dommage pour ceux avec qui j'avais noué de petits liens littéraires. Snif.

* Si vous vous sentez visé, ce qui n'était pas le but recherché, appelez tout de même le 12 et dites trois fois " J'aime la vie ! "