Annexe : (Sujet à modifications)

17 minutes de lecture

Pour ceux qui sont curieux des détails et n'ont aucune envie de perdre leur temps et leur patience sur wikipedia ;)

— Termes complexes/techniques :

Colonie sur vénus :

Vénus orbite autour du Soleil tous les 224,7 jours terrestres. Avec une période de rotation de 243 jours terrestres, il lui faut plus de temps pour tourner autour de son axe que toute autre planète du Système solaire. Comme Uranus, elle possède une rotation rétrograde et tourne dans le sens opposé à celui des autres planètes : le soleil s'y lève à l'ouest et se couche à l'est. Vénus possède l'orbite la plus circulaire des planètes du Système solaire avec une excentricité orbitale presque nulle et, du fait de sa lente rotation, est quasiment sphérique (aplatissement considéré comme nul). Elle ne possède pas de satellite naturel.

son champ magnétique est bien plus faible et elle possède une atmosphère beaucoup plus dense, composée de dioxyde de carbone à plus de 96 %. La pression atmosphérique à la surface de la planète est ainsi 92 fois supérieure à celle de la Terre, soit environ la pression ressentie, sur Terre, à 900 mètres sous l'eau. 

 La planète est enveloppée d'une couche opaque de nuages d'acide sulfurique, hautement réfléchissants pour la lumière visible

Cependant à 50 km d'altitude la température est comprise entre 0 et 50°, la pression 1 bar , la densité de dioxyde de carbone et d'acide est plus faible (mais j'avoue que cela pose quand même un problème de corrosion).

Alors bien sûr, vivre à cette altitude nécessite une tech qui n'existe pas encore : les ville stratosphérique.

Là où c'est intéressant c'est que le mélange diazote-dioxygene-argon que l'on respire est un gaz portant dans une atmosphère carbonique. Donc les gens peuvent vivre a l'intérieur des ballons, plus la quantité de gaz portant est élevé et plus la charge utile est exponentielle et comble de l'utilité, si jamais il y avait fuite la pression étant la même dehors et dedans, ce sera lent.

On peut ajouter la cela le fait que profiter d'une atmosphère contre le rayonnement ça paie pas de mine et qua cette hauteur on est juste au dessus d'une couche nuageuse a fort albedo, ce qui permet de pointer des panneaux photovoltaïque autant vers le haut que le bas.

Ensuite on a le problème du cycle jour-nuit, venus tourne dans le sens antihoraire en plus d'avoir des journee de 1 mois terrestre... mais les vent soufflant à 100/ms permettraient à une ville volante de n'avoir des jour et nuit de 48h ce qui est déjà mieux ( on peut imaginer un système qui alterne des cycle 24h factices pour combler ) tout cela signifie que lon a juste besoin de créer des cité flottantes pas d'évolution forcée pour s'adapter, les colons seraient strictement semblable à leurs homologues terrien.

Enfin vénus est la planète la plus proche, surtout si on tiens compte des orbite de Hohmann (j'en parle dans l'annexe) qui sont plus propice à un voyage.

— Subtriangulaire:

se dit d'une forme presque triangulaire.

— Coriolis:

Pseudo-force inertielle agissant perpendiculairement à la direction du mouvement d'un corps en déplacement dans un milieu (un référentiel) lui-même en rotation uniforme, tel que vu par un observateur partageant le même référentiel.

En réalité je devrais parler de force centrifuge :

La force centrifuge se manifeste lorsqu'un corps est en mouvement circulaire. Elle tend à éloigner le corps du centre de courbure de sa trajectoire. C'est une force fictive, qui n'a pas d'origines physiques. Pour un observateur extérieur, seule s'applique la force centripète, qui attire le corps vers le centre de sa trajectoire. En revanche, pour un observateur lui-même en rotation, la force centripète est équilibrée par une force centrifuge, qui le tire vers l'extérieur. Elle s'apparente à la force d'inertie, qui tend à prolonger la trajectoire en ligne droite.

C'est le phénomène qui se produit dans le tambour en marche d'une machine à laver.

— Rétrofusée:

Moteur de fusée utilisé pour fournir une poussée opposée au sens de mouvement d'un véhicule spatial, causant ainsi sa décélération. (généralement placée sur les côtés et la tête de l'appareil).

— Delta-V (Δ v):

Delta-v, noté Δ v \Delta {v} est en astronautique une mesure de changement (Delta ou Δ) de vitesse (vecteur de vitesse noté v →) d'un engin spatial. Exprimé en distance parcourue par unité de temps (mètre par seconde).

Le Delta-V est une quantité scalaire : les changements de direction sans changement de vitesse accroissent sa valeur.

En astronautique, le Delta-V est notamment utilisé pour estimer la quantité de propergol qui est nécessaire pour accomplir une manœuvre, un changement de trajectoire, pour décoller d'une planète, se placer en orbite d'un corps céleste en venant du sol ou de l'espace interplanétaire, pour échapper à l'attraction d'un corps.

Il existe plusieurs méthodes pour obtenir un changement de vitesse dans l'espace : les plus courants sont le moteur-fusée qui expulse de la matière à grande vitesse, l'assistance gravitationnelle qui utilise le champ gravitationnel d'une planète, l'aérofreinage qui utilise la traînée atmosphérique d'une planète et, pour modifier l'orientation, il y a comme possibilité, en plus de jets de matières, les systèmes jouant sur un transfert de moment cinétique (roues de réaction).

https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Mission-habitee-vers-Mars-page-3.html

https://i.stack.imgur.com/ab7fo.png

— Accélération de pesanteur G :

Le gg » étant l'initiale de « gravité ») est une unité d'accélération correspondant approximativement à l'accélération de la pesanteur à la surface de la Terre. Cette accélération est la somme des forces non gravitationnelles appliquées à un objet libre de mouvement et divisé par sa masse.

La force g dans une fusée est équivalente à la poussée par unité de masse.

Sa valeur est égale au rapport poussée sur poids multiplié par la valeur de g (9,806 65 m/s2), et à la variation Δ v \Delta v par unité de temps.

Plus la fusée accélère plus la gravité subie à bord augmente. Côté tolérance humaine, c'est très variable selon le contexte aussi je donnerais une valeur (très) arbitraire de 15 g tolérables dépendant autant du temps d'exposition que des facteurs interindividuels.

— Optogénétique:

Concrètement, l’optogénétique consiste à introduire dans une cellule un gène qui code pour une protéine photosensible, laquelle va s’activer lorsqu’on l’éclaire avec une lumière spécifique. Comme il est possible d’utiliser des faisceaux lumineux extrêmement fins ou beaucoup plus larges, la technique permet d’activer la protéine d’intérêt aussi bien dans une zone particulière d’une cellule que dans un organe tout entier. Par ailleurs, lorsque la lumière s’éteint, la protéine cesse presque immédiatement d’être active : ce système est d’une grande réactivité !

Développée depuis 2006, la technique est essentiellement utilisée pour des recherches fondamentales. Comme elle permet notamment d’activer ou d’inhiber des neurones, elle sert par exemple à des équipes qui étudient les circuits neuronaux impliqués dans des pathologies telles que la maladie de Parkinson ou les TOC. Mais depuis quelques années, des chercheurs développent son application en médecine. Et il faut bien avouer que c’est complexe : traiter un patient par optogénétique nécessite en premier lieu une étape de thérapie génique, pour introduire le gène de la protéine photosensible dans les cellules à traiter. Par ailleurs, elle ne peut aujourd’hui concerner que des maladies qui affectent des tissus que l’on peut illuminer « de l’extérieur ».

Malgré ces difficultés, un premier succès vient d’être obtenu : un homme a partiellement retrouvé la vue grâce à cette approche. Il souffrait d’une cécité liée à la dégénérescence des récepteurs à la lumière initialement présents dans sa rétine (rétinopathie pigmentaire à un stade avancé). Le gène d’une protéine sensible à la lumière « ambrée » a été introduit dans des cellules qui siègent au fond de son œil, les transformant en photorécepteurs fonctionnels. Le patient a en outre été équipé de lunettes qui convertissent ce qui est devant lui en images rouge orangé d’intensité lumineuse augmentée. Lorsqu’il les chausse, ses cellules rétiniennes modifiées sont activées par les signaux lumineux et transmettent l’information reçue au cortex visuel, comme de vrais photorécepteurs. À l’issue d’une période d’adaptation et d’apprentissage de plusieurs mois, ce dispositif lui permet désormais de discerner les contours des objets environnants, une prouesse !

la chimiogénétique du système nerveux central permet d’obtenir des états biologiques similaires à l’hibernation chez la souris en ciblant les neurones de l’aire préoptique de l’hypothalamus.

En bref, le principe de l'optogénétique c'est d'ajouter des gènes, qui sont transcrits puis traduit en protéines et ces protéines ne sont actives au sens biologique du terme que lorsqu'elles sont au contact d'une lumière spécifique. Pour cela on introduit une canule lumineuse dans la zone d'intéret de la souris (c'est un faiseau lumineux). Ces manips ont été faites en neuro, chez le rongeurs afin de ne toucher que certaines zones spécifiques du cerveau, ce que l'on ne peut pas faire par d'autre système d'induction conditionnelle classique (en utilisant des drogues qui affecteront tous les neurones)

Conus Amadis: [Cône d'amour en latin]

Petit mollusque appartenant à la famille des conidés, chassant par le biais d'une langue rétractable et venimeuse. A inspiré la forme du vaisseau.

— Synesthésie: [συναισθησία, syn aesthesis = union des sensations]

Phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés.

Par exemple la synesthésie dite « graphèmes-couleurs » (qui représenterait 65 % des synesthésies3) fait que les lettres de l'alphabet (ou des nombres) sont perçues comme colorées. Dans la synesthésie dite « synesthésie numérique », les nombres sont tous et systématiquement associés avec des positions dans l'espace. Dans d'autres types de synesthésie, la musique, d'autres sons ou les nombres, jours de la semaine et mois de l'année peuvent être perçus colorés.

Il existe en outre d'autres formes de synesthésies telles que la perception de l'écoulement du temps ou les expériences vécus lors de la consommation de psychédéliques, pouvant mener à une liaison temporaire de plusieurs lobes (pouvant mener à une unification des différentes zones du cerveau, phénomène responsable entre autres de l'osmose et la dissolution de l'égo) (l'effet neurotrope {substance qui se fixe sur le tissu nerveux.} de ces produits joue également un rôle dans ce phénomène).

Dans ce cas précis, la synesthésie peut devenir très prononcée. quelques exemples : perception du son sous forme physique, perception auditive des couleurs, déformations visuelles, perception du temps altérée, etc.

— Orbite de transfert de Hohmann et effet Oberth:

Une orbite de transfert, dans le domaine de l'astronautique, est l'orbite sur laquelle est placé temporairement un véhicule spatial entre une orbite initiale, ou la trajectoire de lancement, et une orbite visée.

Une trajectoire de Hohmann est une trajectoire qui permet de passer d'une orbite circulaire à une autre orbite circulaire située dans le même plan, en utilisant uniquement deux manœuvres impulsionnelles. En se limitant à deux manœuvres, cette trajectoire est celle consommant le moins d'énergie possible.

Une orbite de transfert de Hohmann idéale nécessite que les orbites de départ et d'arrivée soient circulaires, dans le même plan orbital et que la trajectoire parcoure 180° de l'orbite de transfert. Dans le monde réel, l'orbite cible peut ne pas être circulaire ni coplanaire et la trajectoire de l'engin spatial peut représenter moins de 180° de l'orbite de transfert ou au contraire plus de 180°. Si la trajectoire parcourt moins de 180° on parle de transfert de Hohmann de type I dans le cas contraire il s'agit d'un transfert de Hohmann de type II.

http://www.toutelaphysique.fr/mecanique/transfert%20de%20Hohmann.pdf

L'effet Oberth est un phénomène de mécanique gravitationnelle par lequel une fusée gagne de l'énergie lorsqu'elle tombe dans un puits gravitationnel ; en astronautique, il permet la manœuvre d'Oberth, une technique où la fusée se laisse tomber dans le puits et accélère lorsqu'elle atteint la vitesse maximale de sa chute.

La manœuvre produit de l'énergie cinétique plus efficacement que l'application de la même impulsion en dehors du champ gravitationnel. En pratique, il en découle que le moment le plus efficace en énergie pour allumer les moteurs d'un vaisseau spatial est au point le plus bas, la périapside, où sa vélocité orbitale (et donc son énergie cinétique) est la plus grande. Dans certains cas, il est même profitable de dépenser du propergol pour ralentir le vaisseau de façon à le faire tomber dans le puits gravitationnel et profiter de l'effet Oberth.

L'effet ne viole pas la loi de la conservation de l'énergie : l'effet Oberth survient parce que le propergol détient davantage d'énergie du fait de son énergie cinétique plus élevée, additionnée à son énergie potentielle chimique. Le véhicule peut utiliser cette énergie cinétique pour produire davantage de puissance mécanique.

— Holographique:

bon je vais pas vous prendre des cons, mais il faut qu'il apparaisse ici.

Contrairement à la photographie traditionnelle, qui ne contient qu'une information bidimensionnelle, un hologramme contient une information tridimensionnelle. Il consiste en une image d'interférence entre les ondes issues de l'objet photographié et d'une partie du même faisceau laser utilisée pour éclairer l'objet.

— Zooxanthelles: [ζώο ξανθός, Zoo Xanthos = jaune des animaux]

algue intracellulaire unicellulaire, pouvant vivre en symbiose avec le corail, mais aussi avec les bénitiers, ainsi qu'avec de nombreuses espèces de méduses.

Les zooxanthelles se développent en absorbant le dioxyde de carbone libéré par les coraux (ou un autre animal hôte) et fournissent en retour divers nutriments à leur hôte.

— Moteur chimique et Hypergol:

La propulsion chimique est le mode de propulsion utilisé principalement dans les moteurs-fusées. Elle ne fait aucun prélèvement de matière au milieu, mais consiste à éjecter une fraction de la masse propre du système.

Les carburants hypergoliques sont utilisés dans la propulsion spatiale, car ils n'ont pas besoin de dispositif d'allumage. Cela permet de concevoir des moteurs-fusées simples, pouvant être mis en marche et puis arrêtés à volonté, simplement en ouvrant et refermant l'alimentation en ergols dans la chambre de combustion. On peut de la sorte produire des poussées dosées avec précision, en limitant les débits et/ou la durée, pour manœuvrer des engins spatiaux.

(Je trouve un peu idiot qu'un vaisseau du 22eme siecle fonctionne encore avec une propulsion chimique aussi je le changerais sans doute en cours d'ecriture pour unn moteur a fusion par exemple).

— Triéthylaluminium:

Il s'agit d'un composé organométallique liquide, incolore, volatil, corrosif et très pyrophorique (inflammable au contact de l'air). La facilité avec laquelle il prend feu le rend particulièrement intéressant pour les applications d'allumage des moteurs-fusées.

— Triéthylborane:

se présente sous la forme d'un liquide incolore volatil très pyrophorique qui s'hydrolyse au contact de l'eau. En raison de ses propriétés pyrophoriques, le triéthylborane est utilisé comme ergol en astronautique, plus précisément pour l'allumage des moteurs-fusées.

— Peroxyde d'hydrogène :

De l'eau oxygénée (existe naturellement chez les êtres vivants sous forme de produit de la respiration cellulaire), il continue à être utilisé en astronautique comme ergol oxydant.

— Vol de gradient :

Technique de vol utilisée pour gagner de l'énergie en traversant de manière répétitive la limite entre deux masses d'air ayant des vitesses distinctes. De telles zones de gradient significatif de la vitesse de vent se trouvent soit près du sol ou dans une zone protégée par un obstacle comme à l'arrière d'une colline. Par conséquent cette technique est utilisée principalement par les oiseaux ou des planeurs radiocommandés.

Appliquons cela à l'espace maintenant :

Plusieurs structures du système solaire offrent des gradients de vent suffisamment importants pour permettre des manœuvres de ce type : le choc terminal (où le vent solaire passe du supersonique au subsonique), l’héliopause, le vent solaire lent et rapide (de 300 à 750 km/s) et la limite de la magnétosphère planétaire.

Le cas du vol de gradient au niveau du choc terminal, où les vitesses en amont et en aval sont supposées être de 650 km/s et 162 km/s : après 1,6 an d’accélération, l’engin spatial atteindrait une vitesse de 6 × 106 m/s, soit environ 2% de la vitesse de la lumière (et sans consommer d’ergols). En planant le long du vent solaire lent et rapide, l’accélération est encore plus impressionnante : 0,5% de la vitesse de la lumière en un mois seulement !

Pour réaliser ce vol, un concept d’« aile magnétohydrodynamique », une sorte d’aile génératrice de portance, mais sans structure physique (aucune masse de réaction embarquée n’est utilisée) a été proposée. Cette aile pourrait être réalisée via deux aimants à plasma placés le long d’une antenne sur plusieurs mètres de long. Le champ créé par les aimants pourrait interagir avec les flux de vent solaire dans différentes directions — tout comme les oiseaux utilisent la turbulence du vent pour créer une portance.

Dans ce concept, la portance est générée en extrayant de l’énergie dans une direction (dans la direction du milieu qui souffle sur l’engin spatial) et en accélérant le flux dans l’autre direction (perpendiculaire).

— Scopestésie :

La scopestésie ou effet de regard psychique est un phénomène dans lequel les humains détectent par des moyens extrasensoriels qu'ils sont observés. L'idée est explorée pour la première fois en 1898 par le psychologue Edward B. Titchener, après que des étudiants de ses classes de première année ont déclaré pouvoir "sentir" quand quelqu'un les regardait, même s'ils ne pouvaient pas voir cette personne. Titchener a effectué une série d'expériences en laboratoire qui ont toutes abouti à des résultats négatifs.

La scopesthésie est une illusion, notre cerveau anticipe toujours les risques, et donc la scopesthésie est peu etre un mécanisme hérité de nos ancêtres.

l’amygdale, une petite région du cerveau liée à nos émotions et à la détection des menaces extérieures, serait liée à la scopesthésie.

— Problème à N corps:

Le problème à N corps est un problème de mécanique céleste consistant à déterminer les trajectoires d'un ensemble de N corps s'attirant mutuellement ; plus précisément, il s'agit de résoudre les équations du mouvement de Newton pour N corps interagissant gravitationnellement, connaissant leurs masses ainsi que leurs positions et vitesses initiales.

Le cas N = 2 (problème à deux corps) a été résolu par Newton, mais dès N = 3 (problème à trois corps) apparaissent des solutions essentiellement impossibles à expliciter, car sensibles aux conditions initiales.

— Fibrocuprane:

supraconducteurs à haute température critique ( supraconducteur à température presque ambiante).

Un cuprate est un composé chimique dans lequel du cuivre forme un anion (ion ayant gagné plusieurs électrons) ou un complexe (structure de plusieurs atomes en interaction) dont la charge globale est négative.

— Conscience de Gestalt et intelligence collective:

un lien vers un dessins très explicite :

https://www.reddit.com/media?url=https%3A%2F%2Fi.redd.it%2Founvj9q0xct11.png

— Alternance Jour/Nuit:

Le rythme circadien est défini par l’alternance entre l’état de veille, qui correspond à la période de la journée pendant laquelle on est éveillé et le sommeil, période durant laquelle on dort. Contrôlant un ensemble de paramètres tels que la température corporelle, le comportement alimentaire, mais surtout la sécrétion de mélatonine (hormone synchronisant le cycle de l'alternance Jour/Nuit).

Un cycle circardien est une horloge biologique interne qui tourne sur une journée (terrestre). L'alternance veille/sommeil étant sa conséquence.

— Nécrobotique:

Récemment, une équipe de chercheurs de l'université Rice aux États-Unis ont réussi à transformer des arachnides en pinces pour attraper délicatement de petits objets et ont baptisé cette approche la « nécrobotique » dans un article publié dans la revue Advanced Science.

Les chercheurs ont utilisé une araignée-loup. Pour activer les pattes, ils ont inséré une aiguille dans le céphalothorax, et ont scellé le trou avec de la colle. Une légère pression sur une seringue suffit ensuite à faire déplier les pattes. Ils ont réussi à utiliser l'araignée morte pour soulever un petit poids.

— Xénobot:

Le xénobot est constitué de cellules de peau et de cellules cardiaques, des cellules souches récoltées à partir d'embryons de grenouilles Xenopus laevis. La sélection des cellules se fait via un algorithme, en fonction de leur capacité à créer des "cils", leur permettant de se mouvoir dans les fluides entourant les cellules.

Une fonction importante est de pouvoir enregistrer des informations, susceptibles de modifier le comportement et les actions du robot.

Une machine biologique de moins d'un millimètre de large, suffisamment petite pour voyager à l'intérieur du corps humain. Il peut « marcher » et nager, survivre pendant des semaines sans nourriture et travailler en groupe, guérir seul tout en continuant à travailler.

— Tronc cérébral:

Le tronc cérébral appartient au système nerveux central, et plus particulièrement à l'encéphale. Il est situé dans la fosse crânienne postérieure, sous le cerveau et en avant du cervelet. Il est structurellement continu avec la moelle épinière, qui commence à la première racine spinale.

Le tronc cérébral est responsable de plusieurs fonctions dont la régulation de la respiration et du rythme cardiaque, la localisation des sons, etc. C'est également un centre de passage des voies motrices et sensitives, ainsi qu'un centre de contrôle de la douleur. Au cours du sommeil paradoxal, le tronc cérébral paralyse le corps, ce qui empêche le sujet de se lever pour « vivre ses rêves ».

— Livre-ADN et concept de document génétique:

Le projet européen OligoArchive travaille à établir des preuves de concept pour le stockage de données sur de l’ADN synthétique. Un support en théorie inégalé en termes de densité d’information et de longévité, mais qui souffre encore de limitations techniques à surmonter.

« L’ADN a l’avantage d’être extrêmement compact et de résister au passage du temps. On parvient à séquencer de l’ADN de mammouths vieux de dizaines de milliers d’années, alors que les systèmes sur disque dur doivent être recopiés par sécurité tous les cinq ans, et ceux sur bande magnétique tous les vingt ans. »

L’ADN possède trois propriétés clés qui le rendent pertinent pour le stockage archivistique. Premièrement, il s’agit d’un support de stockage tridimensionnel extrêmement dense qui a la capacité théorique de stocker 455 exaoctets dans 1 gramme, en revanche, un disque dur de 3,5 pouces peut stocker 10 To et pèse aujourd’hui 600 grammes.

Deuxièmement, l’ADN peut durer plusieurs siècles, même dans des environnements de stockage difficiles ; le disque dur et la bande ont une durée de vie de cinq à trente ans. Troisièmement, il est très simple, rapide et peu coûteux de réaliser une réplication in vitro de l’ADN ; la bande et le disque dur ont des limitations de bande passante qui entraînent des heures ou des jours pour copier de grandes archives de taille EB.

(selon le site d'OligoArchive)

— Termes inventés/détournés :

— Symbiote:

L'organisme extracellulaire et cérébral en forme de tore, responsable du phénomène de conscience dans cette dystopie. Impliqué aussi dans le processus de subconscient.

…Concept encore en développement …

— Asymbio:

Absence de symbiote = absence/diminution de conscience

— Raison:

Nomination pour la réflexion organique, en référence aux concepts abstraits produits par un cerveau organique.

— Logique:

Nomination pour la réflexion mécanique, en référence aux concepts mathématiques (algorithme) à l'origine du fonctionnement d'une intelligence artificielle.

— MCN:

Masse Neurale Critique …. pas sûr de la definiton à donner à celui là. A revoir.

— Majordome:

Nom donné aux IA "conscientes" sous tutelle humaine.

— Chlorope: [χλωρός, khlôrós = vert] issue du terme chlorophylle (comme vous vous en doutez) qui est un pigment assimilateur de dioxyde de carbone, essentielle dans le processus de transformation de la lumière en énergie chimique (aka fission de l'eau en hydrogène et oxygène).

Est aussi le nom d'une mouche (Thaumatomyia sp) de l'ordre des diptères.

Désigne dans l'histoire, les individu cohabitant avec ces algues dans leurs cellules.

— Métavision: [μετά,meta = après, au-delà de, avec).]

La méta-vision est comme un œil au-dessus du terrain, cette compétence permet d'avoir une vision intégrale du jeu ; ce qui confère un esprit omniscient et lucide pour l'anticipation, la stratégie et la prise de décision.

Une télévision à la sauce Big Brother si vous préférez.

— Numistique:

Mélange de numéros et mystique.

— Cephaler:

Céphalopode issu du mélange de différentes espèces, ordinateur vivant chargé entre autres de tâches écologiques.

— Circuit neutronique:

Alors on ne va pas se mentir, mais un circuit fonctionnant avec une particule baryonique de charge neutre (le neutron) c'est débile, je n’ai jamais rien trouvé à ce sujet de sérieux, mais bon on est en SF alors voila voila XD

— Hypothèse de Ngwaren:

Je spoil pas, mais vous aurez compris que cette thèse est inventée de toute pièce.

— Scholarium: [Schola = école]

Ecole oui tout ca pour dire ca

— Fabricatorium:

Pareil que pour le mot au dessus, c'est une iumisation du mot fabrique (j’ai trop lu warhammer moi lol)

— Catasque: [κατασκευή, Kataskevi = construction] j'ai juste francisé ce mot grec.

Désigne les organismes Vyvant ( ouai j'insiste avec le Y) générés de toute pièce en laboratoire.

— Termibot:

Machine métamorphose de métal liquide.

Composition :

-Gallium (liquide sous 30°C).

- Pièces magnétiques de néodyme, fer et bore.

- étain (liquide au-dessus de 231°C)

Robot commandé à distance par une télécommande psychique dans un but militaire, capable de venir à bout de la plupart des défenses et appareils électriques. Peut se cloner en présence d'une source d'énergie conséquente comme une batterie de 150 Ma/24v. Nécessite une charge électrique supérieure et foudroyante et/ou une congélation en dessous de -40°C pour détruire l'engin.

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