Chapitre 3 Jeux de plage (suite et fin)
À mon réveil le lendemain, je constatais que mon épouse était déjà installée à la terrasse de la chambre. Nous avions la chance d’avoir une vue sur la mer et d’avoir le soleil sur la terrasse jusqu’au début d’après midi.
Vêtue d’un kimono léger entrouvert, je vis qu’elle était totalement nue en dessous. Je lui demandais son programme pour la journée
_ Je compte bronzer en intégrale sur la terrasse, personne ne peut nous voir, à midi je propose qu’on aille au restau de l’hôtel avec Laetitia qui nous a faits si bien jouir hier à la plage et si j’en crois la poubelle de la salle de bains, tu as encore fantasmé hier soir abondamment !
_ Oui, je n’ai pas voulu te réveiller, la vue de ton corps et le souvenir de la plage combinés, c’était trop fort ! Je me suis vidé sinon je n’aurais pas pu m’endormir.
_ Et ce matin, tu te sens en forme ?
_ Oui, je ferai aussi du bronzage à la terrasse ou à la plage.
_ Pourquoi à la plage ?
_ Pour te laisser en paix et voir s’il y a du « gibier » à la plage.
_ Comme tu veux mais ne ramène personne ici.
_ Bien entendu, rendez-vous à midi avec Laetitia au restaurant ! À midi on peut aller en décontracté j’aurai toujours un polo et un short.
_ Ça me va, embrasse-moi d’abord !
Je me penche pour l’embrasser sur la bouche mais,
_ Non pas là mais ici ! et elle me montre son bas-ventre. Elle ouvre son kimono et écarte ses jambes en dévoilant son minou. Sans hésiter je lui donne ce qu’elle demande en introduisant ma langue entre ses lèvres et fouille son clito. Je sens tout de suite ses mains dans mes cheveux et elle crie « encore ! ». J’adore ce jeu matinal et elle le sait très bien.
Je fouille avec ardeur avec ma langue goûtant le jus qui s’écoule entre ses jambes, les vibrations de son corps deviennent de plus en plus intenses. Finalement un long spasme sort de sa bouche, je continue mes caresses jusqu’au moment où elle me repousse en douceur accompagné d’un « merci, tu es un amour ! ». Je vois sur son visage qu’elle a atteint le nirvana et mon cerveau était en ébullition comme s’il avait joui. La bosse sur mon short était impressionnante, mais je ne voulais pas me calmer ou me laisser décharger sur ou dans elle, quel que soit l’orifice. Je voulais aller à la plage dans cet état pour chasser une main ou bouche secourable, j’adore partir en charge comme un lion en rut.
Je pris mon drap de plage, mon roman policier et mes lunettes solaires et descendis à la plage, prenant soin de cacher l’excroissance délicieuse de mon corps. À chaque pas le frottement augmentait encore mon exacerbation et je devais faire de gros efforts en pensant à autre chose sous peine de ne pas atteindre la plage. Je ne sais pas comment mais j’étais parvenu à destination sans éjaculer !
En faisant un tour d’horizon je notai que les individus sur la plage étaient peu nombreux et à mon désespoir les femmes étaient trop matures à mon goût. Je pris donc place sous un parasol pour me plonger dans la lecture de mon bouquin ce qui me détendait graduellement. Vers midi, je me rendis comme prévu au restaurant pour rejoindre ma femme en espérant que Laetitia serait présente.
Ce ne fut pas long pour les trouver, elles s’étaient installées dans un coin discret masqué en partie par des grandes fougères ce qui créait une certaine intimité dans cette grande salle. Les femmes avaient vraiment un effort pour être conforme au dressing code du restaurant au déjeuner. Elles portaient des chemisiers très colorés mais dont la transparence ne cachait quasi rien de leur buste. Les serveurs étaient en émoi visiblement mais ne désiraient pas faire de remarque sur leur tenue.
Je m’installais donc à leur table en faisant une accolade à la jeune femme qui me regardait avec des yeux étincelants de désir, annonçant un moment passionnant. Elles étaient passées par le buffet et étaient attablées devant des crudités et un peu de viande froide ; l’idéal pour respecter leur régime minceur. L’accolade de Laetitia n’était pas innocente : au lieu de me prendre aux épaules, elle avait placé ses mains sur mes hanches sur la partie laissée découverte de mon torse au-dessus de ma ceinture. Ce contact n’était pas anodin, il est vrai que mes mains supposées se trouver sur le haut de ses épaules étaient dans un contact nettement décalé touchant plutôt le haut de sa poitrine. Son regard était accrocheur et je suppose que ma tête devait montrer une certaine jouissance. Après une brève étreinte à ma compagne, je me rendis au buffet pour remplir une assiette et prendre une boisson. Crudités, viande froide et vin rouge me suffisaient également.
La conversation à table prit rapidement une orientation très intime, les filles parlaient de l’effet des attouchements aux seins, expliquant avec gestes à l’appui que cela leur donnait des vibrations sur tout le corps, que leurs tétons se dressaient et Laetitia insistait qu’elle avait l’impression que ses aréoles devenaient plus foncées lorsqu’elle était troublée par le désir. Et pour joindre le geste à la parole elle écarta discrètement les pans de son chemisier dévoilant ses seins dont les mamelons étaient encore plus impressionnants que la veille. Mon pénis se réveilla en sursaut, mes yeux devaient sauter en dehors des orbites sous le regard aguicheur de Laetitia ! Elle était bien consciente de son effet et insistait en gardant l’ouverture plus longtemps que nécessaire…
Ma femme s’étrangla de surprise avec la nourriture qu’elle mâchait et finalement ce fut un rire général autour de la table. Ma femme ne fut pas en reste et défit au moins 3 boutons du haut de son chemisier et scruta ses seins pour voir si les siens étaient aussi perturbés, puis elle me regarda en disant : « Tu vois, c’est pareil ! en plus j’ai une envie folle de sentir tes caresses. Je veux que tu me les tritures jusqu’à en jouir. Viens et toi aussi Laetitia allons dans la chambre, je ne tiens plus ! »
Sur ce on se levait tous les trois et nous prîmes l’ascenseur, on était seuls et ma femme embrassa Laetitia sur la bouche avec passion en lui serrant un sein avec la main droite pendant que la gauche coinçait la tête pour l’empêcher de rompre le baiser. Je regardais la passion évidente dans ce baiser et cela renforçait ma conviction que ma femme était hétéro mais avait des tendances lesbiennes évidentes. Le baiser ne fut interrompu que par le signal et l’ouverture des portes à notre étage. Notre chambre n’était qu’à deux pas et une fois la porte franchie je vis deux chemisiers voler à travers la pièce et Laetitia qui jetait sa bouche sur les seins de ma femme sans se préoccuper de ma présence. J’ai donc assisté à des ébats lesbiens intenses car très rapidement les shorts et petites culottes suivirent le même chemin que les chemisiers. Ce fut un concert de soupirs, de baisers dans le cou, sur le ventre et de grognements. Les deux femmes étaient couchées sur le lit pendant que moi, j’étais assis sur le divan. J’avais donc une vue totale sur la scène fort excitante et je ne résistais plus à ouvrir mon short et caresser mon pieu. Les mains passaient intensément sur les clitoris et les soupirs montaient en crescendo, comme elles m’ignoraient totalement, je me contentais de les regarder et de me masturber calmement. Je ne voulais pas monter prématurément dans les tours car je soupçonnais qu’à un moment ou un autre mon intervention serait requise.
Le spectacle devint encore plus intense lorsqu’elles se mirent en ciseaux et frottaient frénétiquement leurs chattes les unes contre les autres. En se contorsionnant elles parvenaient à s’agripper mutuellement les seins à pleines mains et monter et descendre leurs bassins. Les cris devenaient de plus en plus forts, on ne pouvait qu’espérer que l’isolation phonique des chambres était au top sinon tout l’hôtel allait participer aux ébats. Apparemment ce frottis ne devait pas être très efficace et rapidement les mains quittaient les seins pour entrer dans les intimités respectives, ce qui animait mieux leurs désirs. Régulièrement elles portaient leurs doigts dans leurs bouches pour goûter leurs sucs respectifs pour les replonger aussitôt dans leur intimité. Je ne devais plus attendre longtemps avant que les râles m’indiquaient qu’elles approchaient du climax. Puis ce fut l’explosion, les corps vibraient de concert, les seins étaient secoués de spasmes, leurs regards se voilaient un instant pour montrer un sourire sincère montrant qu’elles avaient atteint l’orgasme. Elles donnaient une image parfaite d’une satisfaction sexuelle atteinte, mais elles n’étaient pas de cet avis ! Leurs regards se portaient enfin sur ma personne et elles semblaient dépitées en me voyant avec ma verge en main assis sur le divan. De concert, elles me demandaient de m’approcher et de me déshabiller totalement. Aussitôt elles regardaient avec envie mon soldat dressé qui se trouvait à hauteur de leur bouche.
Toutes les deux bouches grandes ouvertes prenaient ma verge pour la caresser, lécher en passant leur langue sur la hampe, le frein et le gland. J’avais bien fait de ne pas me masturber énergiquement sinon je n’aurais pas tenu une minute sous cette action. C’était à celle qui parvenait à avaler le plus mon membre pour exercer des succions alternativement et pendant que l’une suçait l’autre caressait mes bourses avec délicatesse ou pinçait les seins de la concurrente. J’étais comblé, d’abord par le spectacle puis par les caresses qui faisaient vibrer mon corps de plus en plus.
Un moment elles suspendaient leurs actions pour discuter de la suite des évènements et sans me consulter décidèrent qu’elles continueraient la fellation, ma femme rassurant Laetitia que je récupérais vite et que je serais rapidement prêt pour d’autres jeux. Je me sentais un peu frustré sur le moment croyant naïvement qu’on allait échanger des chevauchements de ma verge par les deux femelles. Mais ma frustration se dissipait très vite sous l’action très efficace des deux bouches sur mon pic. La fellation était douce, sensuelle et je me demandais celle qui aurait le plaisir et la chance de recevoir mon sperme dans sa bouche. Sentant le jus monter, je les prévins que je n’allais pas tarder à jouir et de concert me caressaient ensemble leurs bouches étant de part et d’autre de mon gland. Cette vision devint irrésistible et je ne pouvais pas retenir mon cri de jouissance pendant qu’à tour de rôle elles recueillaient mon nectar. Elles léchaient les traces d’abord sur mon corps puis sur leurs visages autour de leur bouche où mon sperme avait atterri. Puis comblés nous nous couchâmes confortablement, moi au milieu entre les femmes. Leurs bras m’enserraient initialement mais leurs mains devenaient doucement baladeuses sur mon torse et mon bas-ventre et on s’endormit contents.
Je n’eus pas conscience de la durée de cette sieste bienfaisante mais mon corps s’éveilla sous de caresses lubriques et insistantes. Les deux femmes devisaient pour savoir celle qui en première pourrait me chevaucher. Ma compagne par galanterie offrit à Laetitia la primeur tout en continuant à durcir mon sexe. Puis lorsqu’elle estimait que j’étais prêt aida Laetitia à m’enjamber et présentait ma verge devant son intimité. Laetitia se laissa tomber brutalement enfonçant ainsi mon épée jusqu'à la garde, le tout accompagné de cri de jouissance et de désir. Le but était évidemment que chacune puisse jouir sans que je ne débande. Pendant que Laetitia montait et descendait en s’aidant de ses jambes ma femme lui caressait sa perle pour activer l’orgasme, qui ne tardait pas. Je sentis les vibrations puissantes qui emprisonnaient mon bâton. Puis ce fut un échange rapide de cavalière et les rôles furent inversés, mon épouse était en forme, ses cris étaient beaucoup moins discrets et aidé par Laetitia qui lui frottait son clitoris alternativement avec des pincettes violentes sur les seins elle eut un orgasme très violent me donnant ainsi le signal de me lâcher à mon tour. C’était fort, je voyais des éclairs dans les yeux et senti les deux femmes s’allonger dans la même position autour de mon corps. J’étais au nirvana de la jouissance !
Plusieurs heures plus tard Laetitia quittait notre chambre heureuse, en nous promettant de rester en contact car notre séjour se terminait le lendemain. Ce furent des vacances inoubliables !
Prochainement d’autres vacances lesbiennes !
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