Chapitre 9 Passades lesbiennes - Réflexions de Rita
(Épilogue de vacances lesbiennes mais pas la fin de l’histoire) -
NDA : Dans cet épisode Rita se demande qui est Marc - et Carmen flashe sur les rousses Mais Sylvie oublie sa rancune et se rapproche de Thérèse qui n’est finalement une victime.
### Rita ###
Je n’en revenais pas ! Marc était un salaud, je savais qu’il négligeait sa femme car il préférait coucher avec moi, mais en y réfléchissant comment était notre relation ?
Avant la fameuse semaine où il était parti de chez lui en inventant un séminaire de son entreprise, ce n’étaient que des passages furtifs : une après-midi par-ci par-là ou il m’envoyait un texto pour qu’on se retrouve dans un hôtel bon marché qui louait des chambres à l’heure. Le rituel était toujours le même : Il m’arrachait littéralement mes vêtements, me couchait à quatre pattes sur le lit et me prenait sans préambule.
J’avais une chance c’est qu’à partir du moment où il m’envoyait son message, je fantasmais et je mouillais avant même qu’il m’ait touchée. Et donc sa pénétration initiale se faisait sans douleur car mon vagin était prêt à le subir. C’était un animal ! La lubrification naturelle de mon vagin me permit de profiter de ses assauts sans me blesser. Souvent je parvenais péniblement à tourner ma tête pour voir sa figure traversée par un rictus bestial !
Oui, j’aimais sa violence…
Sa première éjaculation était violente, pendant qu’il me labourait, il s’agrippait à mes seins pour se donner un appui et triturait les mamelons. Ma tête s’enfonçait dans le matelas et c’est à peine si je pouvais respirer. À chaque fois, lorsqu’il arrivait à sa satisfaction, il grognait comme un possédé au moment de son éjaculation et se retirait aussitôt.
Ce rapport me laissait toujours insatisfaite et je n’avais pas d’autre solution que de me masturber pour atteindre un orgasme.
Au début de notre relation, je me calmais dans la salle de bains, jusqu’au jour où ayant crié trop fort pendant ma jouissance, il ouvrit la salle de bains me prenant sur le fait avec trois doigts dans mon vagin et pliée en deux par la jouissance. Depuis, il me demandait de faire ma masturbation devant lui et il me regardait faire en se caressant son engin.
Ses yeux étaient lubriques et son désir montait au fur et à mesure que ma jouissance grimpait. Sa verge prenait des dimensions extraordinaires et la vue de son engin me faisait enfin éclater de jouissance. Parfois il éjaculait dans les secondes qui suivirent mais parfois malgré ses mouvements énergiques il ne parvenait pas à conclure. Il en pleurait de rage ; jusqu’au jour où je pris son mandrin en bouche et que je lui donnais des caresses buccales.
Au début, il refusait la fellation et il voulait se masturber seul. Voyant qu’il n’y arrivait pas je repris contre sa volonté sa bite en bouche et je l’obligeais à me baiser dans la bouche jusqu’au moment où dans un râle sauvage il éjaculait et se libérait de sa tension. Je ne comprenais pas ses fantasmes !
Par la suite le rituel s’installa, il me possédait en levrette, puis je lui faisais face pour me masturber longuement en le regardant droit dans les yeux. Au fur et à mesure que j’approchais du sommet de ma jouissance, mes gestes et mes gémissements lui rendaient son érection et aussitôt après mon orgasme je me mettais à genoux devant lui pour le masturber avec ma bouche tout en serrant mes seins.
La vue qu’il avait sur ma poitrine lui donna envie de me faire une cravate de notaire et là je vis vraiment la violence de son désir dans ses yeux.
Je compris plus tard qu’il était pareil avec ma sœur Thérèse et je suspectais qu’il n’était pas satisfait de ses rapports avec sa femme ni avec moi ?
Durant la semaine de son soi-disant séminaire, la fréquence de nos rapports étant plus grande qu’auparavant, il se fit un peu moins violent, il peinait à conclure avec une éjaculation et de ce fait je parvenais enfin à jouir de sa verge dans mon corps.
N’étant pas satisfait de sa jouissance il me proposait (non, il me prit d’autorité dans l’anus) des rapports anaux, heureusement en se mettant une bonne dose de lubrifiant. Au début je n’y trouvais pas beaucoup de plaisir, mais la fréquence venant et en me caressant le clitoris pendant qu’il labourait mon derrière, je parvenais à y trouver une certaine jouissance.
Nous en étions là dans notre relation, toujours heurtée et violente lorsque je reçus l’appel de ma sœur Thérèse cherchant Marc. !
Je n’en revenais pas ! Ainsi donc il avait mis ma sœur enceinte au bureau ! Marc avait beau nier et rejeter la faute sur Thérèse, je finissais par me demander qui était Marc, un assoiffé de sexe ou carrément un malade !
Après l’appel de ma sœur, je voulais en avoir le cœur net avant de lui répondre. Je regardais Marc avec des yeux interrogateurs et il lui fallut un long moment avant qu’il ouvre la bouche !
– Oui bon, j’ai fantasmé sur ta sœur à cause de votre ressemblance, pas uniquement la couleur des cheveux, mais le reste aussi !
– C’est quoi le reste aussi ?
– Ben, le corps, les seins, les fesses. Quand je vous vois, j’ai des pensées salaces de possession, j’ai envie d’enfoncer mon pieu dans vos chairs ! Puis vous êtes très semblables, vous aimez qu’on vous encule !
J’ouvris les yeux d’effroi, Marc était un malade et je pensais sérieusement à rompre ma relation avec lui. Elle ne me rapportait pas grand-chose à part du sexe violent.
Je finis par plaindre ma sœur, qui s’était fait violer (oui ne nous voilons pas la face !).
Je repris donc contact avec ma sœur pour demander un rendez-vous. Marc me regardait d’un air bizarre, en disant :
– Tu ne vas quand même pas croire cette salope ?
En disant cela, je réalisais que je pouvais être classée dans la même catégorie et ceci fermait mentalement la porte de notre relation !
– Marc, tu te tais, et on écoute ce que ma sœur va raconter !
***
Le lieu du rendez-vous était un café bar assez discret, en entrant je vis ma sœur et une autre femme assises dans un coin discret. Aux dires de Marc, ce n’était pas sa femme qui accompagnait Thérèse.
L’entrevue fut assez sèche et brève, les deux femmes avaient bien préparé leur plan : elles voulaient du fric ! De l’argent pour Thérèse soit pour avorter soit une pension pour le gosse si elle le gardait et elles annoncèrent que Sylvie, la femme de Marc ,réclamait une pension alimentaire. Le montant me paraissait énorme mais la femme qui était assise à côté de Sylvie et qui s’appelait Carmen connaissait bien la procédure. Un avocat rédigerait les deux actes d’accord et le tout serait confirmé par une saisie judiciaire sur les revenus de Marc !
Marc était furieux, il ne voulait pas plier. Pendant qu’il s’égosillait contre Thérèse, je constatais que Carmen me regardait avec insistance et passa plusieurs fois sa langue sur ses lèvres avec un regard sensuel sur mes cheveux roux et ma poitrine.
L’attitude de Carmen était bizarre, ses attouchements vis-à-vis de Thérèse montraient clairement qu’elle était lesbienne et maintenant, ce regard, les yeux dans les yeux avec moi montrait bien qu’il y avait autre chose que le différend financier avec Marc. J’en eus des frissons, mais n’ayant jamais eu de relations sexuelles avec une femme, je fus profondément troublée.
Au moment de partir, Carmen me donna la main en gardant un doigt à l’intérieur de sa paume comme pour faire connaître son désir.
De retour à l’appartement, je voulais quand même tirer les choses au clair avec Marc :
– Que comptes-tu faire Marc ?
– Je n’en sais rien, Thérèse, Sylvie et cette Carmen ne vont pas gagner, je ne payerai rien !
– Bon, tu as une semaine pour réfléchir ! Et je te signale que tu as intérêt à te trouver un logement car, je ne veux plus être mêlée à tes affaires. De plus tu vas devoir réduire ton train de vie et je ne suis pas d’accord que tu vives à mes crochets pendant que tu payeras pour ton gosse et ton ex-femme !
– Quoi ? tu me chasses ?
– Oui, demain tu dégages ! Je ne tiens plus à côtoyer un désaxé sexuel.
***
### Sylvie ###
Carmen étant partie résoudre son divorce, je restais donc seule avec Thérèse. Je repris avec elle en détail l’entretien avec Marc.
– Alors comment ça s’est passé ?
– Franchement dit, je n’en sais vraiment rien déclara Thérèse. Marc ne veut rien entendre et donc demain matin, Carmen envoie à l’avocat la proposition qu’on a présentée avec les chiffres. Il prendra contact téléphoniquement avec Marc pour la lui communiquer.
– Pourquoi par téléphone ? demandais-je
– Parce que Marc n’a plus de domicile officiel, par la procédure de divorce il n’est plus domicilié chez toi ! Et de plus mon petit doigt me dit que Rita va le virer ! répondit Thérèse.
J’ai vu l’attitude de ma sœur pendant que Marc tempêtait, elle n’approuva absolument pas l’attitude de Marc et vénale comme elle est, si Marc doit payer les pensions alimentaires pour mon enfant et toi, elle ne va pas le laisser vivre à ses crochets !
– C’est bien possible opinai-je, Thérèse, on va laisser la situation se décanter. Si comme tu prévois que Rita va virer Marc, d’ici la fin de la semaine prochaine Marc doit répondre à notre avocat et je pense qu’il serait opportun que tu te réconcilies avec ta sœur. Elle pourra témoigner contre Marc si on doit aller en pénal.
– Bien, je vais rentrer chez moi déclara Thérèse, on reste en contact !
– Tu es certaine Thérèse ? Tu ne veux pas rester avec moi ce soir ? déclarai-je. Oui, ce ne serait pas raisonnable de rester seule ce soir, reste avec moi. De plus j’ai préparé un repas pour ce soir, on pourra parler calmement en soirée.
– Oui, en finale, je reste !
Après le repas, Je proposais à Thérèse de dormir dans la deuxième chambre mais elle me demanda :
– Sylvie, je peux dormir avec toi, j’ai été trop secouée aujourd’hui, je ne pourrai pas dormir !
– C’est d’accord ! J’espère que tu ne ronfles pas !
N’ayant pas de vêtements, je lui donnai un large t-shirt, mais qui laissait quand même ses tétons très apparents dans le tissu ! À la vue de ses seins, je sentais l’humidité dans ma culotte. Depuis mes rapports avec Carmen, je regardais les autres femmes de façon totalement différente… Et puis Thérèse n’était finalement qu’une victime de Marc et je ne devais pas lui en vouloir !
Une fois couchée, je me maintenais à distance de Thérèse, mais au bout de plusieurs minutes de soupirs et de sanglots étouffés, j’eus pitié de cette femme et je la pris dans mes bras.
Son toucher me donna des frissons et je perçus que c’était pareil pour elle ! J’osais tendre une main vers ses seins et j’entendis :
– Oh oui Sylvie, caresse-moi, depuis que je suis enceinte, mes seins sont plus sensibles et me font mal parfois. Tes caresses sont apaisantes !
– Thérèse je t’envie, ta maternité me fait jalouser ! Même si Marc est un véritable cochon, j’avais initialement envie d’un enfant, ce n’est que plus tard que je compris que c’était une bonne chose de ne pas en avoir ! Tu as envie de garder ce gosse ?
– Oui, au départ je refusais ma grossesse mais depuis quelques jours j’ai changé d’avis. Je changerai vraisemblablement de boulot mais avec une pension payée par Marc je vois l’avenir un peu plus sereinement !
– Tu aimes les caresses que je te donne ?
– Oh oui ! déjà j’ai joui lorsque Carmen et toi vous vous êtes acharnées sur moi pour me faire pleurer, mais maintenant je trouve tes caresses apaisantes !
– Ton ventre s’arrondit déjà ?
– Oui un peu et mes seins aussi changent !
– Laisse-toi faire ce soir, je vais te faire jouir mieux que le rapport avec un homme et spécialement mieux que Marc. J’ai passé mes dernières vacances avec Carmen entre femmes et j’ai découvert le plaisir du sexe que je n’avais jamais connu avec Marc ! Carmen m’a fait jouir à de multiples reprises, alors que Marc ne faisait que se satisfaire et ne m’a jamais fait plaisir !
Je glissai mes doigts dans son vagin et au bout de quelques minutes de caresses bien appliquées, j’entendis les gémissements de Thérèse, elle mouillait abondamment et je pris donc le vibromasseur et là, ce furent des cris de jouissance décuplés qui sortirent de sa bouche. Je sentis son corps entier qui vibrait et j’eus même l’impression que ses seins laissaient perler quelques gouttes de liquide, je ne pouvais pas croire que c’était déjà du lait ? Je goûtai à ses seins mais cela n’avait pas de goût. Thérèse avant de s’endormir épuisée me confirmait que ses seins se préparaient à la lactation, c’était hormonal.
Je résolus donc de me satisfaire en solitaire avec le vibro tout en la tenant dans mes bras et en caressant gentiment ses seins… La montée du désir fut lente mais en finale l’orgasme vint. Et même si mon corps vibrait intensément Thérèse ne se réveillât pas.
NDA : Je reviendrai bientôt avec un nouvel épisode ! Marc rejeté par tous et acculé financièrement. Réconciliations des deux sœurs grâce à la diplomatie et le doigté de Carmen !
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