Chapitre 30   – Confinement (1)

5 minutes de lecture

NDA : Je tiens à remercier mes lectrices et lecteurs fidèles et les milliers d’anonymes pour leur assiduité à lire ce modeste assemblage d’épisodes érotiques. Les prochains épisodes seront plus courts, une saynète à la fois. Ce sera plus simple à gérer.

Tout arrive ! Après une longue hibernation, le confinement va reporter le mariage et certains ne respecteront pas l’isolement !

### Sarah ###

Cela faisait des mois que je n’avais plus vu quelqu’un ! Mon patron m’avait confinée au télétravail depuis le début de la crise ! Et tous mes contacts professionnels se limitaient à gérer mes mails, envoyer des projets de conventions de consultance et attendre patiemment des réponses.

Sur le plan sexe, à part des masturbations en regardant des vidéos anciennes de Marc et moi, c’était le calme plat !

Marc n’était pas là, le confinement l’obligeait à se déplacer sur toute la France avec son sauf-conduit. Au téléphone il se plaignait d’avoir trop de travail et espérait un allègement des restrictions et de sa charge de travail pour venir me voir.

Thérèse, était souvent alitée en repos était chez elle, Il était prévu qu’elle resterait chez moi, mais le confinement avait saboté nos plans. Marc venait la voir de temps à autre pour faire ses courses. Il ne disait rien d’autre. Est-ce qu’il la baisait encore ? Ou est-ce que sa grossesse faisait déjà obstacle.

Je pris mon portable, pour lui envoyer un SMS.

« Marc, tu es le seul à pouvoir te déplacer pour raison professionnelle, veux-tu bien avoir la gentillesse de me donner de tes nouvelles ? C’est urgent ! »

À ma surprise, il me répondit dans les cinq minutes :

« Je suis à quelques minutes de chez toi, tu veux une pizza ou un repas à emporter ? »

« Une pizza quatre saisons me plairait, merci »

« ok, à toute »

Je me regardai dans mon grand miroir, tant pis si je ne paraissais pas sexy ! Mais il avait intérêt à avoir un moment de libre pour moi.

Un quart d’heure plus tard, ma sonnette retentit et à travers l’œilleton, je vis Marc avec une grande boîte de pizzas.

Je lui ouvris et pris la nourriture de ses mains.

– Bonjour Marc, merci, mets-toi à ton aise !

Je déposai la pizza dans le four pour la garder au chaud et pris Marc à revers, pour l’embrasser dans le cou.

– Marc, j’espère que tu as un peu de temps ! J’en ai marre de ce confinement ! Je veux que tu me baises, avant ou après la bouffe ?

– Oh, ton invite ne se refuse pas ! avant et après ! comme cela, j’aurais le temps de récupérer !

Joignant le geste à la parole, il défit quelques boutons de mon top et embrassa goulûment mes seins, libres de tout obstacle.

Je ne résistai pas et mon ventre papillonna aussitôt. Je pris ses fesses dans mes mains pour pousser son corps contre le mien et sentis immédiatement son sexe dressé.

– Marc, ne prend pas la peine des prémisses, fais-moi jouir ! Tire ma culotte et soulève ma jupe ! Maintenant !

Il défit sa braguette et avant que j’eusse terminé ma phrase, il me souleva pour enfoncer son gourdin entre mes jambes. Ah ! C’était divin ! Marc, était brutal ! me pilonnant sans retenue ! Je m’accrochai à ses épaules, mes jambes entourant ses flancs et mes pieds poussant contre son fessier.

Cela ne dura pas longtemps ! Mon orgasme explosa et je perdis pendant quelques secondes la notion du lieu puis Marc éjacula avec force, puis me libéra.

– P***** cria-t-il quelle explosion ! Sarah, je te remercie. Je n’avais plus joui ainsi depuis des lunes !

– Marc, je suis heureuse de retrouver ta vigueur ! Tu n’avais plus fait l’amour depuis longtemps ?

– Non, je vois Thérèse régulièrement, elle me demande de la calmer, mais son ventre l’empêche de se mettre à califourchon et je la prends par-derrière couchée contre moi. La gynéco demande de ne pas la brusquer et donc je dois la masturber en douceur pendant que je me décharge beaucoup trop vite !

– Comment va-t-elle ? demandai-je. Je n’ai pas beaucoup de ses nouvelles, je n’ose l’appeler de peur de déranger son repos.

– Sarah, Thérèse va bien, elle est heureuse ! Son garçon sera un footballeur ! Il lui donne beaucoup de coups de pied et l’empêche de se reposer !

– Elle doit être belle dans sa grossesse, j’ai envie de la caresser ! Crois-tu qu’elle aimerait me revoir ?

– J’en suis certain, nous parlons souvent de toi ! Elle se rappelle des caresses relaxantes que tu lui prodiguais ! Elle n’habite pas loin et dans les limites du confinement ! Tu pourrais lui rendre visite avec un justificatif d’assistance à une femme seule et enceinte ! Appelle-la, je suis certain que cela lui fera plaisir !

Je n’hésitai pas, sur l’insistance de Marc je l’appelai séance tenante. Thérèse répondit à la première sonnerie, prouvant ainsi qu’elle était éveillée et recherchait du contact. Elle me supplia de venir immédiatement car elle voulait être rassurée, le bébé étant très agité ! J’acceptai de venir dans une dizaine de minutes mais que je serai accompagnée de Marc.

En cours de route, nous fûmes arrêtés par un contrôle routier, heureusement nos documents étaient en règle et nous nous pûmes continuer sans incident.

Marc, ouvrit la porte de Thérèse expliquant que depuis quelque temps, elle avait confié un jeu de clés à Marc pour lui faciliter l’entrée avec les provisions.

Thérèse m’embrassa sur la bouche et inséra sa langue entre mes lèvres. Elle aspira littéralement ma langue ce qui me donna des frissons de désir.

– Thérèse, que tu es belle ! parvins-je à lui dire après un baiser interminable.

– Sarah, que je suis contente de te revoir, caresse mon bébé et détends-moi !

Je défis son peignoir pour découvrir ses seins qui me paraissaient un peu plus gros. Ses tétons érigés demandaient à être caressés. Je suggérai à Marc de les sucer pendant que mes mains descendaient sur son ventre et sur son intimité. Ses lèvres vaginales étaient gonflées et son clitoris fut très sensible au toucher.

Il ne fallut pas longtemps pour que l’action combinée de Marc et mes caresses fassent leur effet et Thérèse laissa monter son orgasme qui arriva en douceur.

Marc était en pleine érection et voulut aller dans la salle de bains pour se masturber mais Thérèse l’arrêta et me demanda de le calmer !

– Couchez-vous à côté de moi, tous les deux ! J’aurai le plaisir de vous voir jouir, Je trouverai peut-être l’occasion d’avoir un autre orgasme. Mon bébé s’est calmé !

Marc défit mes vêtements pendant que Thérèse descendit le pantalon de Marc. Il me pénétra en force. Thérèse ne resta pas inactive, pendant que Marc me défonça, elle présenta ses seins à la bouche de Marc et cria de plaisir sous les succions. Marc fut très violent me rappelant une séance de baise mémorable, il éjacula en grinçant puis finit avec sa bouche sur mon vagin. Il ne dut pas faire beaucoup d’efforts car j’éclatai dans un orgasme mémorable.

– Marc, à mon tour maintenant ! dit Thérèse.

Je vis Marc se pencher sur l’intimité de Thérèse où la cyprine suintait entre les lèvres. Je m’étais relevée pour caresser ses seins et son ventre.

– Oh ouiiii cria-t-elle sous l’orgasme.

Un peu plus tard nous étions toujours étendus dans le lit lorsque Thérèse murmura :

– Restez ici cette nuit, le couvre-feu va bientôt commencer ! Venez tous les deux sous la douche avec moi ! Ce sera plaisant après cette jouissance !

NDA : Voilà, je reprends du service en espérant que les nombreuses lectrices et les lecteurs anonymes feront sauter les compteurs. N’hésitez pas à commenter (je ne mords pas !) et surtout à cliquer sur « j’aime ».

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