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Claire attend tranquillement le vendeur, Nicolas, de chez Sony. Cela fait un mois qu’elle a pris possession de Valentin. Nicolas doit lui rendre visite. Une visite de courtoisie a-t-il dit au téléphone.
Une visite de courtoisie ! Claire se demande où il situe la courtoisie. Elle en sourit.
Elle s’est bien fait avoir. Elle l’a bien mérité.
Et elle a aimé la situation très jouissive qu'elle a vécue le jour de la prise de possession de Valentin... et par Valentin.
Mais elle n’apprécie que moyennement de s’être laissée griser au point de perdre le contrôle de la situation.
Cela ne lui ressemble pas.
Enfin, à priori Sony n’a plus rien à lui vendre… dans l’immédiat.
Valentin repasse pendant que Claire regarde la télé, un verre de whisky à la main.
Un couple moderne !
Il n’est pas drôle.
Il n’est pas charismatique.
Il n’est pas romantique.
Il n’aime pas les animaux.
L’homme parfait existe-t-il ?
« Valentin, fait la vaisselle »
« Valentin, repasse »
« Valentin, baise-moi »
« Valentin, encule-moi »
Et il s’exécute !
Claire ne peut râler, tout est toujours parfait !
A son arrivée, Nicolas commence par observer Valentin dans son activité, il demande à Claire de le faire accélérer, ralentir, arrêter, repartir…
Tout va bien. Il est manifestement très satisfait de l’investissement qu’il a fait réaliser à Claire et par la même occasion, de sa bonne affaire… et de sa bonne fortune !
Après ce tour d’horizon très professionnel, c’est tout naturellement que Claire et Nicolas se retrouvent ensemble dans le canapé.
Et Nicolas n’a pas besoin de recevoir un ordre pour commencer ses investigations.
Ses mains sont curieuses et vont tout de suite à l’essentiel.
Très rapidement Claire se retrouve …
Allongée sur le tapis,
La jupe retroussée,
La culotte envolée,
Les jambes écartées…
Alouette, gentille alouette pense Nicolas
Tu ne me plumeras point pense Claire
Nicolas, pantalon baissé, s’active avec générosité.
« Je voudrais que tu m’encules » lui glisse Claire à l’oreille.
Nicolas, à cet instant, a complètement oublié qu’il est un représentant.
Au diable le chiffre d’affaires, au diable la commission…
Claire, à quatre pattes lui présente sa croupe et doucement la bite à Nicolas investit son anus…
...Au diable le rendement
« Oh oui, encule-moi ! » crie Claire.
Et, à l’autre bout de la pièce, le robot, obéissant, pose le fer à repasser…
Nicolas, tout à son affaire, n’entend ni ne voit Valentin s’approcher...
…Valentin, dont les capteurs ne repèrent qu’une rondelle…
…La poussée a été soudaine.
Nicolas pousse un cri de douleur.
Claire pousse un cri de plaisir. Elle s’y attendait.
Vengeance ! Chacun son tour !
Et quand Nicolas, qui a fini par prendre du plaisir, se déverse en elle en jouissant, Claire a l’impression de recevoir également la semence de Valentin !!
La vengeance est un plat qui se mange froid, mais en l'occurence ce sont ses reins qui sont chauds et ce n'est pas pour lui déplaire.
….
Il paraît que depuis, Nicolas, mis en appétit, est bisexuel…
Et Claire attend avec gourmandise la prochaine visite de courtoisie.
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