-14-

13 minutes de lecture

Derreck est dissimulé dans une allée sombre de Bleaucastel, derrière une pile de caisses en bois. Il trépigne d’impatience, surveillant une avenue attenante. Il est tard, il n’y a presque plus un bruit dans la ville de montagne. La lune éclaire sinistrement les méandres des rues pavées. Un frisson parcourt le jeune homme qui se frictionne le torse pour combattre le froid. Une fois de plus il vérifie qu’il a bien la clé du temple accroché autour du cou, ainsi que les tiques au fond d’une bourse. Il inspire à fond pour essayer de se calmer, de se rassurer. Il se remémore le plan qu’il a concocté avec Daria.

Un peu plus tôt, alors qu’ils arpentaient la cité, la magicienne s’était proposée de leurrer un homme pour que Derreck utilise les tiques sur lui. Le Grand Dépravé n’aimait pas cette idée, mais Daria l’avait convaincu de lui faire confiance. Elle allait servir de distraction pour qu’il puisse approcher une bestiole de la cible. Ils avaient convenu du point de rendez-vous, il devait maintenant attendre puis attaquer leur victime dès que l’occasion se présenterait.

Mais l’heure avance et Derreck s’inquiète de plus en plus. Même si Daria s’est protégée avec des sortilèges, une part de lui est terrifiée. Il tend l’oreille, rien. C’en est trop, il décide de partir à la recherche de la magicienne. Alors qu’il se redresse, des voix au loin le font sursauter. Son cœur s’emballe, il s’accroupit, inspire à fond pour réduire son souffle. La commotion semble approcher, lorsqu’il parvient à en distinguer l’origine, il manque de s’étrangler. Daria est là, les joues rouges, mais au lieu d’être accompagnée par un homme, c’est un groupe de cinq individus qu’elle entraine dans la ruelle sombre ! Il pose la main sur le pommeau de son épée courte, prêt à se jeter sur eux pour sauver sa compagne. Mais lorsque celle-ci rit doucement, il réalise qu’elle a toujours la situation en main. Il essaye de se calmer, mais n’y parvient pas quand il perçoit un couinement. Entendre ainsi la femme qu’il aime prendre du plaisir avec d’autres que lui… Un sentiment de jalousie mortifiant lui étreint la poitrine. Il regarde par-dessus les caisses, pour la découvrir coincée entre deux hommes qui l’embrassent dans le cou en dénudant sa poitrine. Il y a des soupirs d’admiration lorsque ses tétons roses pointus sont révélés à la lumière de la lune : « Oh…

-Qu’elle est jolie… » Daria est morte de honte, ce qui l’excite encore plus, la faisant haleter en fermant les yeux. Derreck est complètement déboussolé, tiraillé entre un sentiment de fierté et de trahison. Il ne comprend pas pourquoi, mais il est excité, à tel point qu’il en oublie sa mission. La robe de la magicienne est défaite pour tomber au sol, la laissant simplement en culotte. Lorsqu’elle tente de se cacher, les hommes saisissent ses poignets pour l’admirer. L’un d’entre eux se recule, retire ses chausses et trébuche. Il tombe sur ses fesses douloureusement, le groupe le regarde en se moquant, avant de se intéressé de nouveau à Daria. Le bougre ne parvient pas à se relever, il a l’air complètement ivre. Derreck revient à lui, il en profite pour s’approcher, saisit une tique, l’approche de l’homme… La petite créature se réveille en tendant ses tentacules vers la chair de l’individu. Avec horreur, le Grand Dépravé voit la bestiole mordre le gaillard qui pousse un petit hoquet plaintif avant de devenir complètement amorphe. Un peu paniqué, le jeune homme le traine dans l’obscurité pour observer le phénomène d’endoctrinement, ce qui suit le surprend.

Avant le début du processus, l’homme est maigre, les cheveux crasseux et ébouriffés, les dents gâtées, le nez tordu, la peau grêlée. Mais rapidement, la tique s’enfonce dans sa chair, la poche de liquide se vide, dans un gargouillis étouffé l’individu se met à convulser violement. Derreck se recule, il a peur que le bruit n’attire le reste du groupe, mais les bougres sont complètement fascinés par Daria qui se tortille et remue entre eux alors qu’ils ont l’air de caresser son intimité en la couvrant de d’injures obscènes. Derreck revient à sa victime pour le voir se transformer, gonfler, déchirer ses vêtements. Il perd ses cheveux, ses dents, sa peau se fend pour finir par se décrocher dans des lambeaux abominables. Tel un papillon sortit d’une chrysalide de chair, il devient un genre de colosse, un éphèbe sublime à la peau imberbe lisse, au corps musclé, aux traits nobles. Il est… parfait. Lorsqu’il se redresse, Derreck lui fait signe de ne pas faire de bruit. Le géant fait presque une tête de plus que le Grand Dépravé, il enlève les lambeaux de tissu de son corps, révélant une silhouette divine ainsi qu’un sexe au repos très… imposant. Le jeune homme en est presque jaloux, mais les couinements de Daria le ramènent à la réalité, il fait signe au colosse de se cacher, ce dernier s’accroupit sans un bruit. Derreck réalise que ça y est. Le gaillard est à ses ordres, la conversion est donc si simple ? Il hésite puis il inspire à fond avant de souffler : « Hâte ! » Le temps ralentit autour de lui, il sort de sa cachette en marchant, avance vers le groupe, saisit les quatre tiques restantes, les pose sur la peau des derniers membres du groupe, puis se recule. Le flot du temps reprend son cours, les agresseurs de Daria s’écroulent mollement au sol avant de convulser. La magicienne bafouille : « Qu’est-ce que… ? » Elle se rhabille en s’écartant puis va vers Derreck, honteuse. Il lui caresse la joue :

-Quoi ? Tu aurais préféré que je les laisse continuer ? » Elle détourne le regard, ses yeux dérivent sur les corps du groupe d’hommes alors qu’ils se transforment à leur tour. Quand ils finissent de se changer en véritables colosses, elle les admire avec envie :

-Wouah… ils sont… » Elle se mordille la lèvre en lorgnant sur leur verge. Derreck lui ébouriffe le sommet du crâne :

-Concentre-toi ma belle. » Après quoi il se tourne vers les géants : « Ramassez vos affaires et suivez-nous. » En gardant un silence presque inquiétant, les cinq colosses obéissent. Une fois qu’ils sont prêts, Derreck ouvre un accès au temple à l’aide d’une porte de remise au fond de la ruelle. Il ordonne aux hommes d’entrer puis leur emboîte le pas, à son arrivée les gaillards l’attendent. Daria s’approche de l’un d’eux en minaudant : « J’ai hâte de voir ce dont ils sont capables… » Derreck l’attrape un peu brusquement pour la séparer de son vis-à-vis puis grogne :

-Tu es trop imprudente… » Elle sursaute, le regarde avec inquiétude. Il soupire : « Désolé je… » Il pouffe de rire en regardant l’entrejambe des cinq colosses : « Je crois que je suis un peu jaloux… » Daria vient l’embrasser en l’enlaçant :

-Tu n’as rien à craindre… » Il lui rend son baiser, Dokkrus les rejoint, il approche prudemment du groupe en demandant :

-Que… Que s’est-il passé ? » Derreck lui explique leur aventure ainsi que la transformation des cinq hommes. Le vieillard admire les géants en soufflant :

-Impressionnant. Que savent-ils faire ? » Le Grand Dépravé hausse les épaules :

-C’est bien là le problème. Je l’ignore. Nous devrions les enfermer dans une cave en attendant d’en savoir plus. » Dokkrus approuve :

-Tu as raison. » Il s’adresse aux cinq mâles : « Venez avec moi. » Puis il va vers la cave. Derreck voit les gaillards rester sur place et ignorer l’ancêtre. Daria leur demande :

-Vous n’avez pas entendu ? Suivez-le. » À ce moment là ils obéissent. Derreck leur crie :

-Attendez ! » Ils s’arrêtent. Le trio les regarde intrigué, Le Grand Dépravé demande : « Que se passe-t-il ? Pourquoi vous n’obéissez pas à Dokkrus ? » Les colosses le regardent muettement. Daria les interroge :

-Quels sont vos noms ? » Ils tournent leur tête vers elle, mais ne répondent pas davantage. Dokkrus hasarde :

-Ils sont muets ? » Cette fois les géants restent fixés sur Daria. Derreck s’étonne :

-Ils t’ignorent ? Pourquoi ? » Le vieil homme réessaye de se faire entendre, les gaillards ne font pas attention à lui. À force de leur parler ils comprennent rapidement que les cinq mâles n’obéissent qu’à Derreck et Daria, mais aussi que les ordres du Grand Dépravé supplantent toujours ceux de la magicienne. Sans identifier pour quelles raisons les géants agissent ainsi, ils les font descendre dans une cave après les avoir menés au puits sans fond où ils jettent leurs anciennes peaux et affaires. Derreck les fait s’installer dans une pièce sombre, leur ordonne de ne pas bouger puis verrouille la porte. Il est pensif, des tonnes de questions se bousculent dans sa tête, il se tourne vers Daria et Dokkrus en les formulant. L’ancêtre et la magicienne sont aussi perdus que lui, le grand Dépravé hoche la tête avant d’annoncer qu’ils en restent là pour ce soir. Il conserve la clé de la cave sur sa personne, le trio remonte jusqu’aux chambres pour se coucher, Derreck voit bien que Daria aimerait partager sa couche, mais l’embargo sur la fornication est toujours en cours. Le jeune homme s’enferme donc dans sa chambre puis va se coucher, heureux que son torse soit revenu à la normale, mais intrigué par ces colosses.

Le lendemain matin, il se lève paisiblement. Aucune gêne, aucune douleur, il se sent bien. Il descend à la cantine pour y découvrir quelques unes des filles en train de manger. À son arrivée, elles se lèvent, effectuent une révérence en le saluant. Il les remercie, leur indique de continuer leur repas. Il s’installe à table, deux d’entre elles viennent immédiatement à ses côtés, elles sont aux petits soins, lui prépare ce dont il a besoin. Il leur avoue : « Je sais que vous faites ça pour vous glisser dans mes chausses. Mais j’apprécie tout de même le geste… » Il les sent venir le caresser, il ajoute à l’aide du Verbe : « Cependant. Pas de câlins avec moi. » À ces mots, deux filles installées sur le banc en face de lui s’embrassent avant de glisser leurs main entre les cuisses de l’autre. Derreck soupire : « Et pas de câlins avant d’avoir accompli vos tâches de la journée. » Il y a des protestations, mais le Grand Dépravé n’en tient pas rigueur : « Retenez-vous un peu… La jouissance n’en sera que meilleure. » Il voit des mines déçues, aussi annonce-t-il : « Si vous êtes sages, il y aura peut-être une surprise pour vous ce soir… » Il est bombardé de questions, mais ne révèle rien : « Si je vous dis ce que c’est, ce ne sera plus une surprise. Mais faites-moi confiance : Vous allez adorer. » Une idée soudaine lui vient : « Et celles qui auront le mieux travaillé aujourd’hui seront les premières à y avoir droit. » Après un temps d’hésitation, les filles se dispersent pour aller s’occuper du jardin, de la lessive, du ménage ou de la prière, plus motivée que jamais.

Plus tard, Derreck regroupe Dokkrus, Daria et Rose pour aller étudier les colosses dans la cave. Il bloque l’accès au souterrain pour qu’aucune fille ne vienne les déranger, puis il entre dans la cellule des géants. Les cinq hommes n’ont pas bougé, ils se tournent vers le Grand Dépravé quand il entre. Rose les découvre pour la première fois, elle laisse échapper un soupir d’admiration et ses yeux se rivent sur les membres imposants des mâles. Derreck réalise qu’ils sont identiques : « Ils… Ils ont le même visage, non ? » Daria approuve. Rose s’approche avec du pain et de l’eau. Elle leur demande gentiment :

-Vous avez faim ? Soif ? » Ils ne réagissent pas. Dokkrus hasarde :

-Ils se nourrissent autrement ? Avec l’énergie du temple ? Ou peut-être le plaisir des Filles de Yag ? » Derreck hausse les épaules :

-Nous leur proposerons à manger et à boire tous les jours. Nous verrons bien s’ils changent d’avis. » Daria demande :

-Il faut peut-être les contraindre ? » Derreck affiche une moue dubitative, il se tourne vers un colosse, pointe du doigt le pain et ordonne :

-Mange. » Le gaillard avance, mais au lieu d’attraper la miche, il enlace Rose et commence à l’embrasser dans le cou. Surprise, la brune laisse échapper un soupir d’aise :

-Ouh… » Avant de rire. Derreck clame :

-Stop ! » Le mâle s’arrête, se tourne vers lui. Le Grand Dépravé précise : « Mange le pain. » Le géant se tourne vers la nourriture, mais n’y touche pas. Daria marmonne :

-Ils obéissent au doigt et à l’œil, mais pas à tout le monde et… » Ses yeux descendent vers les verges des colosses, elle déglutit : « … Ils refusent ou sont incapables de répondre à certains ordres. » Derreck soupire :

-Rose, peux-tu aller chercher cinq serviettes dans la salle de bain ? Qu’ils se couvrent un peu… » Elle murmure :

-Oh quel dommage… » Avant de quitter la pièce. Dokkrus s’approche de Derreck :

-Ils font d’impressionnants soldats » Le jeune homme lui répond :

-Encore faut-il qu’ils puissent se battre… » Il hésite un instant, avant de tendre sa paume vers le colosse le plus proche : « Frappe-moi. » Le géant ne bouge pas. Daria émet l’hypothèse :

-Ils ne peuvent pas faire de mal à leur maître ? » Pour éprouver cette théorie, Derreck ordonne en pointant la magicienne du doigt :

-Gifle-la. » Daria se recroqueville, mais l’éphèbe ne fait rien. Le Grand Dépravé se tourne vers Dokkrus, puis réitère sa demande. Le géant s’approche puis frappe le vieil homme au visage qui tombe au sol en couinant de douleur. Stop ! Est-ce que ça va ?! » Derreck se jette à genoux pour vérifier l’état du vieillard, Rose arrive à ce moment-là, elle se rue aussi à son secours. Le Grand Dépravé réalise en soufflant : « Tu n’es plus un membre du Culte… » Dokkrus a les larmes aux yeux, il redresse la tête, la joue rouge. Daria incante un sort de soins mineurs tandis que l’ancien reste bouche bée. Derreck explique : « Les cinq colosses ne t’obéissent pas. Ils s’attaquent à toi si on le leur ordonne… Ils doivent considérer que tu es un intrus… » Daria termine son sort, puis, tous ensemble, ils aident Dokkrus à se relever. Le Grand Dépravé l’approche : « Pardon mon vieil ami. Est-ce que ça va ? » L’ancêtre hoche la tête, un peu bougon :

-Oui oui… Ne t’en fais pas. » Derreck réfléchit encore un instant avant de prévenir les filles :

-Je vais lui donner un nouvel ordre. Essayez de l’arrêter, d’accord ? » La magicienne et la brune hochent la tête. Il se tourne vers le géant : « Caresse Rose. » Sans lui désigner l’ancienne serveuse, le malabar va vers elle. Malgré ses ordres ou ceux de Daria, il ne s’arrête pas. Derreck lui commande de se stopper. Le géant obéit. Après quelques essais de ce genre, le groupe comprend que les colosses obéissent à la hiérarchie du Culte et qu’ils connaissent chacun de ses membres, probablement grâce aux pactes passés avec Yag. Mais personne en dehors du Culte ne peut interagir avec eux.

Derreck fait les cent pas durant un moment. Rose et Daria ont ordonné aux cinq mâles de se couvrir, ce qu’ils ont fait en s’enroulant des serviettes autour de la taille. Le Grand Dépravé voit bien comment les filles regardent ces apollons aux corps de rêve. Il sent une jalousie le tirailler, une crainte nait dans son cœur, il interroge un des géants : « Es-tu capable d’utiliser les Dons de Yag ? » Pas de réponse. Il ordonne : « Use du Souffle. » Rien. Frustré Derreck lui crache : « Éjacule. » Le malabar reste planté là. Rose s’approche de lui en minaudant :

-Il faut peut-être l’aider… » Agacé, Derreck est sur le point de refuser. Il se retourne, en se mordillant le pouce. Il y a un silence dans la cave avant que la brune ne lui demande : « Quelque chose ne va pas ? » Il râle :

-Je n’aime pas ça. » Se retourne en coassant, sa gorge nouée : « Je n’aime pas l’idée de laisser les Filles de Yag… » Il ne parvient pas à terminer sa phrase. Il a honte de se comporter ainsi, il sursaute lorsque Dokkrus vient l’apaiser en mettant une main réconfortante sur son épaule. Il lui dit :

-Tu as souhaité de l’aide pour satisfaire les Filles de Yag, n’est-ce pas ? » Derreck ne lui répond pas. Il a les larmes aux yeux et une boule au fond de la gorge. Le vieillard poursuit : « Dans ce cas, pourquoi n’a-t-il pas envoyé un autre Grand Dépravé ? » Derreck répond :

-Il ne peut y en avoir qu’un seul ? » Son vieil ami lui sourit :

-Précisément. » Il se tourne vers les cinq géants : « Je pense que tu t’inquiètes trop. Ce sont des cadeaux de notre Seigneur. Utilise-les à ta guise. » Il se retourne vers Derreck : « Ou bien gardes-les enfermés ici… » Il hausse les épaules : « Tu es le maître de ces lieux. C’est à toi de décider du sort de ces… Fils de Yag. » Derreck pouffe à la mention de ce nom. Mais il l’aime bien. Il sèche ses yeux, Daria et Rose s’approchent pour déposer un baiser sur chacune de ses joues. Elles lui soufflent à l’oreille :

-Je t’aime et je t’aimerai toujours.

-Tu es, et tu resteras mon maître, Derreck. » Il passe son bras autour de leurs épaules. Inspire à fond, puis descend ses mains sur leurs culs pour y claquer une petite fessée. Il leur dit : « Allez donc me traire celui-là. Qu’on voit ce qui en sort : Élixir ou foutre ? »

Avec des sourires lubriques, les deux filles s’approchent du colosse. Daria caresse son torse musclé, embrasse ses côtes. Rose glisse sa main sous la serviette, lui empoigne la verge avant de le dénuder. À mesure qu’elle le flatte, son sexe grossit, se gorge de désir pour finir par se dresser fièrement. Derreck déglutit, il réalise à quel point il ne fait pas le poids. Les deux demoiselles s’extasient devant cette queue imposante, rapidement Daria l’empoigne elle aussi pour aider Rose à la branler. Elles y vont de leurs petits encouragements sussurés aux oreilles du géant. Elles s’appliquent tant et si bien qu’à force, le colosse grogne légèrement avant de laisser échapper de puissants jets de semence. L’équivalent d’une choppe de sperme est répandue devant lui pour le plus grand plaisir de ces dames qui arborent de beaux sourires amusés. Derreck ne voit qu’une couleur blanche légèrement transparente, pas d’Élixir en vue. Pour autant, le gaillard ne semble pas fatigué, son sexe est encore tendu. Le Grand Dépravé sourit en regardant les filles : « Il va falloir faire mieux que ça, notre ami en demande encore… »

Annotations

Vous aimez lire Le "LeLombric" Lubrique ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0