A elle qui depuis notre naissance,

Nous a aimé sans préférences,

Vous qui pendant notre enfance,

Habitiez notre Provence.

A elle qui nous a toujours appris,

Qu’il faut aimer même ses ennemis,

Elle qui toujours nous a souri,

Même après la mort de son mari.

C’est notre très chère grand-mère,

Qui aux jeux jamais ne perd,

La mère de nos tantes, oncles, mère et pères,

Elle qui maintenant n’est plus sur Terre.

Elle qui a aimé plus dans une vie,

Que toute notre famille réunie,

Elle qui nous a toujours enrichis,

De son amour infini.