Peu de temps après la venue de Harry, je recevais un hibou tout droit venu de Poudlard, avec ma lettre d'admission. je pensqispensais de nouveau rêver mais non. La liste était complète.

Pour l'uniforme :

- trois robes de travail noir, modèle normal

- un chapeau pointu noir

- une paire de gants de protection, en cuir de dragon ou matièerematière similaire

- une cape d'hiver, noir avec des attaches en argent.

Pour les ouvrages et Manuels :

- Livre des sorts et enchantements, niveau 1 ( par Miranda Fauconette)

- Histoire de la magie (par Bathilda Tourdesac )

- Magie théorique ( par Adalbert Lasornette)

- Manuel de métamorphose à l'usage des débutants ( par Emeric G. Changé)

- Milles herbes et champignons magiques ( par Phyllida Augirolle)

- Potions magiques ( par Arsenius Beaulitron )

-Vie et habitat des animaux fantastiques (par Quentin Jentremble)

- Forces obscures : comment s'en protéger (par Quentin Jentremble )

Autres fournitures :

- Une baguette Magique

- un chaudron, modèle Standart en étain, taille 2

- une boiteboîte de fioles en verre ou en cristal

- une téléscope

- une balance en cuivre

en bas, deux petites notes sont inscrites:

1- les élèves peuvent également emporter un hibou, un chat ou un crapeau

2- il est rappelé aux parent aue les élèves de première année ne sont pas autorisés à posséder leurs propre balai.

C'était donc officiel, je venais de recevoir ma lettre d'admission à Poudlard.

Comme toute personne normal, je me suis un court instant demandé où on allait bien pouvoir trouver toutes ces fournitures. Puis, tel un éclair de génie; je me suis souvenu qu'il n'y avait qu'un seul endroit ouoù je pourrais trouver ces articles. Le chemin de traverse.

Je descendais donc les marches quatre à quatre pour prévenir mon père et ma grand-mère de la récéption de cett lettre qui faisait battre mon cœur à une vitesse qu'il n'avait jamais atteint. Ils étaient fière de moi, cela se lisait dans leurs regards, mais je distinguait également de l'angoisse. Ils savaient pourquoi le ministère de la magie avait rappeller les jeunes sorciers.

- Ne vous en faite pas, leurs dis je calmement. si Harry Potter à su combattre Voldemort, nous serons capable de combattre Grindelwald. et puis, je suis quand même le petit fils de la plus brillante sorcière de Poudlard depuis presque 100 ans. je sais que je pourrais toujours compter sur toi pour m'aider dans les sortilèges et les potions. enfin, peut être pas le Polinectar, mais bon, je ne pense pas que j'en aurais besoin.

Hermine se mit aussitot à rire. Elle se souvenais pourquoi je lui disait cela. Mon père ne compris pas vraiment, mais cela n'avait pas l'air de le perturber.

Pendant les quelques jours qui suivis la récéption de ma lettre d'admission, j'eut beaucoup de mal à dormir, je pensais énormément au chemin de traverse et de comment ma grands mère me l'avait décrit; puis je repensais au désastre causé par Voldemort. Ils avaient sûrement du tout reconstruire, les magasins devaient donc être totalement différents maintenant.

Ce n'est que vers la mi Août que mes parents m'ont enfin emmené dans ce lieu plus que magique : Le chemin de traverse. En arrivant, je vis directement la banque Gringotts. telle que mamy me l'avait décrite; Grande, imposante, et majestueuse. Je vis aussi le magasin de baguette magique; qui portais toujours le nom de Ollivander sur la devanture. je m'impatientais de recevoir ma baguette quand mon père m'arreta et me dis

-non non, la baguette, ce sera en dernier.

La pression montait. et mes yeux ne savaient plus ou regarder. Barjot et Beurk, Fleury et Bott, je n'en revenais pas de voir tout cela. puis, ma grand Mére se stoppa nette devant un grand magasin: Weasley, farces pour sorciers facétieux. C'était le magasin de mon grand Père. Celui que Fred et George avait créer et que Ron avait repris avec George après le décès de Fred. Je ne savais pas quoi dire. j'avais envie d'entrer et en même temps, je ne savais pas si cela était une bonne idée. Mamy avait l'air tellement triste devant ce commerce.

Puis, d'un ton sur, elle me regarda et me dit :

- Ton grand-père à tenu ce magasin avec son frère pendant des années avant de prendre sa retraite. Il n'était pas vraiment trés bon en sortilège ou en potion, mais il à été un très bon gérant de commerce, sache le. Des milliers de gens venaient se fournir ici, aussi bien des professeurs de Poudlard que des élèves. Je dois avouer qu'il y a quand même eu plus d'élèves que de professeurs. Puis, elle fit une longue pause, pris sa respiration et me dit à nouveau : cela te dit d'entrer visiter?

D'un ton enjoyeux, je lui dit que oui, comme si on demandais à un enfant si il voulait une glace. Et c'est mon père qui passa devant. Il sortit de sa poche un gros trousseau de clés, ouvrit la porte et les lumière, tourna la pancarte ou était écris fermer, laissant donc la place aux sorciers et sorcière pour faire leurs achat;

- Non mais attends, comment se fait il que tu ait la clé, lui demandais je d'un ton plus que surpris.

- Comment crois tu que cet endroit est rester à flot, me dit il. bienvenue dans le magasin de ton Père.

Le magasin de ton père; Ces mots résonnèrent dans me tête pendant quelques minutes avant que je ne réalise vraiment. Mon père ne travaillais pas dans le monde moldus. Il tenait un magasin de farce et attrape dans le chemin de traverse. Mes yeux s'écarquillèrent comme un jeune enfant dans un grand parc d'attraction. Je ne savais plus où donner du regard. Je voulais tout essayer, tout toucher.

Puis, ma grand mère me regarda et me dit :

- Je crois qu'il est temps que nous allions faire les courses pour notre jeune sorcier, tu ne crois pas?

Avec un air plus que joyeux; je lui acquiesça sa demande. on commença donc par les chaudrons et les livres. tout était parfait, j'entendais les gens autour de moi parler de sorcellerie, comme on parle de beau temps dans le monde moldus, il faudra que je m'y fasse.

Une fois les livres, le chaudrons et les uniformes achetés, on se dirige donc vers le magasin Weasley afin de déposer tout dans la reserve. Pour la baguette, j'aurais besoin de mes deux mains, m'avais informer Mamy.

on se dirigea donc vers chez Ollivander quand elle s'arretas'arrêta pour parler avec un de ses ancien camarade de classe Seamus Finnigan. si je me rappelle bien de ce qu'elle m'avait raconter dans les histoires, ce sorcier faisait exploser tout ce qu'il entreprenait.

- Seamus, je te présente Will, mon petit fils.

- Bonjour Monsieur, j'ai entendu parler de vous dans les histoires que mamy me racontais

- Ah oui, elle t'as parler de moi?

- En vrai Monsieur, elle m'a surtout raconter vos péripéties en matière de magie, qui sont en fin de compte assez drôle.

- Les fameuse explosions, me dit il d'un ton joyeux. Je te rassure, je ne fais plus rien exploser maintenant, enfin, presque. Puis il se mit à rire avec ma grand mère, parlant de tout et de rien.

Pendant qu'ils discutaient, je m'éloignait et regardais les boutiques se trouvant aux alentours. Bonbon par ici, Balais par la, tout était merveilleux. Puis, mon regard fis attraper par le vol magnifique et majestueux d'un hibou. les yeux d'un bleu ocean, les plumes noir finissant sur une couleur brune le rendait tellement magnifique, que je ne pus décrocher mon regard de cet oiseau.

- il est superbe hein, me dis une vois à côté de moi. Je me retournais donc et vis un jeune garcon, du même âge que moi. je lui répondis que oui, que la prestance de cet oiseau faisait tout son charme.

Puis d'un ton comme si on se connaissait, il se présenta à moi :

- Je m'appelle Hugo, je suis le petit fils de Luna Lovegood. et toi, de qui es tu le petit fils?

- Je suis Will Weasley, le petit fils de Ronald Weasley et Hermione Granger.

Aussitot, il me regarda avec des yeux comme si je venais de lui annoncer que j'étais le fils de Potter.

- Tu es le petit fils des Wealsey? Tu connais donc Harry Potter?!

- A vrai dire, je ne l'ai vu qu'une seule fois mais puisque mes parents et grand parents le connaisse, on peut dire que je le connais aussi, en quelque sorte.

Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi émerveillé de cette annonce. Je ne savais pas quoi dire de plus et commençais un peu à être mal à l'aise. Puis mamy arriva et nous nous rendions dans le magasin d'animaux; pour que je puisse choisir le mien.

- Je t' ai vu regarder le hibou noir dehors, me dit elle. Est ce que cela te dirai de le recevoir pour ton anniversaire?

Mon coeur se remis à battre la chamade dans ma poitrine. mon regard était tellement expressif que je n'ai pas eu besoin de dire quoi que ce soit pour me faire comprendre. Aussitot, ma grand mère se dirigea vers le vendeur pour lui acheter ce magnifique oiseau, qui sera le mien dans quelques instants. Puis, elle se retourna vers moi et me dit :

- va dans la boutique en face, c'est Ollivander. c'est la que tu trouvera la baguette magique qui te conviendra. je t'y rejoins.

Je sortis donc de la boutique et me rendis immédiatement dans celle d'en face. juste quelques petites lumière feutrée illuminait la boutique. personne à l'accueil, ni dans les rangées du magasin.

- Il y a quelqu'un? criais je d'un petite voix.

Aussitot, quelqu'un sortit de nul pqrt arrivait sur le présentoir d'accueil de la boutique.

- Monsieur Weasley, me dit cet homme. avec les derniers temps, je ne pensais pas vous voir franchir la porte de mon magasin, mais je suis bien content que vous le fassier.

Je ne connaissais cet homme que par les récit que ma grand mère m'en a fait, comment pouvait il me connaitre?

- Est ce qu'on se connait? lui demandais je?

- Pas vraiment, me dit il. j'ai vendu des centaine de millier de baguette magique au cours de ma carrière et je me rappelle de chacune de mes vente. je me rappelle notamment que votre grand père, Ronald Weasley, ne savais pas grader une baguette magique intacte plus d'une année scolaire. J'espère que vous en prendrait soin plus que celui ci, me dit il en me tendant une boite.

Je l'ouvrit et découvrit une baguette magique. Et je ne rêvait pas

- Et bien, me dit il. si vous voulez savoir si cette baguette vous a choisis, il vous faudra la prendre et faire le geste mon enfant.

Je pris donc la baguette et fis comme si je lancaislançais un sortilége. Mais rien ne se passait.

- Ce n'est pas la bonne me dit il. Il allait donc en chercher une autre qu'il me tendis.

Je pris donc la baguette en main, quand celle ci me donna une décharge dans la main.

-Ce n'est pas celle ci non plus, lui rétorqua aussitot.

Il pris une troisième boite, une quatrième et une cinquième. ce n'est qu'à la sixième que celle ci répondis positivement.

- Bois de cypres, 12,5 CM, légèrement flexible, avec du ventricule de dragon à l'intérieur. la baguette choisis son sorcier, et celle ci vous à choisis. prenez en soin Weasley, Prenez en soin, me dit il en disparaissant dans ses boites.