Ma première rencontre avec Bernard Werber eu lieu, l'année qui suivi, alors que Jenny et moi, étions en contact depuis un bout de temps. Je travaillais alors sur l'article wikipédia des fourmis, et de son dernier ouvrage en date: la voix de la terre . Après quelques semaines de travail, j'arrivais au bout du challenge.

C'est alors, que nous atteignons la partie la plus pernicieuse avec Jenny. Je me trouvais alors devant mon ordinateur, sur les abords de Lunel, entrain de pianoter frénétiquement, pour modifier l'article wikipédia de la voix de la terre, j'étais abordé par la police, et quasiment plus batterie au téléphone. C'est ce moment là, que Jenny choisi de m'appeler, pépouze, pour me demander de lui envoyer une de mes photographie, bien entendu, la veille du 22 octobre...

Elle jure alors devant son fils, que je fais bien partie de sa famille, mais qu'il lui fallait ma photo à tout prix.

Comme un con, je ne fais pas le rapprochement, je prend alors ma voiture, je vais au restaurant du coin, un quick à l'époque, pour prendre ma photo avec le téléphone d'un autre, et lui envoyer.

Le lendemain. Oh, surprise, Bernard Werber me reconnait au premier coup d'oeil en m'appellant par mon pseudonyme. Comme par hasard, alors que nous nous étions, jamais vu auparavant !

Comme un bonheur n'arrive jamais seul, il était entouré des forces de l'ordre, et bonus, cerise sur le gâteau, si je puis dire, comme j'étais venu en transport en commun, et que Soler, se trouvait à plus de 5 kilomètres de Perpignan, via l'autoroute, j'ai du marché pendant de longues heures, ou j'ai fais la rencontre, de nos amis les sangliers, en pleine cambrousse. Ah, les plaisirs du plein air.