325.

J'ai une fascination pour Esther, l'héroïne biblique.

Cette façon qu'elle a de défendre son peuple, d'assumer sa position de reine et le courage d'affronter son mari malgré les risques qu'elle prend de le payer de sa vie. Félicitations.

En fait, les femmes, nous sommes tout à fait comme ça, et c'est plutôt bien que pour une fois, la Bible, qui demeure un ouvrage essentiellement masculin, sache le reconnaître.

C'est sûr que la Vierge (ou supposée telle) Marie à côté fait pâle figure quand même.

326.

Je suis très en colère contre les personnes qui auraient dû me protéger étant enfant et qui ne l'ont pas fait.

Nos institutions non plus ne nous protègent pas, en tant que personnel ou citoyen.

La sécurité devrait être le premier besoin primordial qui devrait être assuré à tout être humain.

327.

Serions-nous trop indulgents ? Trop indulgents envers ce que nous ne voulons pas, ce qui nous tire vers le bas et nous nuit. Et pas assez avec ce que nous voulons, ce qui nous fait vibrer et être heureux.

328.

Parfois, je vis la publicité dans la rue comme une invasion.
Mon voyage à Cuba avait été d'un reposant par rapport à ça.
Cette invitation à acheter, sans arrêt, c'est d'un pénible.
Lorsque j'ai besoin de quelque chose, je vais l'acheter, c'est tout, mais je n'ai pas besoin que des connards anticipent mes besoins, alimentent mes addictions et participent au détroussage de mon porte-monnaie.