Azalée, solidement entravée,

Ne pouvait que gémir et se tortiller,

Sous l'impulsion d'une clémente fessée,

Sur sa touffe administrée.

Au comble de l'excitation,

Elle réclamait sans façon,

Un traitement un peu plus profond.

Qu'à cela ne tienne,

Éléonore ne ménagea pas sa peine,

Tant et si bien insistant,

Que trois doigts étaient déjà dedans,

Remuant allègrement.

Azalée, des hanches, aidait au mouvement.

La seconde main rejoignit la première,

Trois doigts de plus pénétrèrent,

Les lieux surchauffés,

Étirant de gauche et de droite,

La fente gonflée et bien moite,

Tandis que les hommes observaient ;

Les paris étant ouverts,

Quand à la suite de l'affaire.

Éléonore, s'extirpa lentement,

Et ayant ajouté un bon supplément de lubrifiant,

Elle offrit un massage, doux et expert assurément,

Pour apaiser les courbatures du sévère traitement,

Dont la gourmande Azalée était encore gémissant.

La suite, chacun l'imaginait,

Et tous se masturbaient,

Frottant leurs queues enfiévrées,

Sur son visage par le supplice empourpré.

Il me sembla à cet instant,

Que son petit trou brûlant,

Accepterait sans gêne leurs glands.