Les ruines du châtelain
Caen chaque matin, le soleil s'était levé sur les hêtres et les massifs de rhododendrons du domaine appartenant au châtelain Constantin-Édouard Chicoygneau de Lavette, une accoutumance du propriétaire débutait.
La fréquentation des 16,42 m2 de la bibliothèque où siègeaient plusieurs livres très coquins. En effet, le châtelain Constantin-Édouard Chicoygneau de Lavette prisait plus les histoires de jupons et autres guêpières d'antan que les hollandaises tenues de ces ancêtres féminines, enfermées dans la grande et vieille armoire patrimoniale du IIe étages, de styles renaissance.
La restauration de sa jeunesse communiquait avec les ouvrages érotiques qu'ils dévoraient d'une langue assoiffée. Son épouse Philomène se contentait d'une simple lecture effarouchable d'haïkus japonais du XVIIIe siècles et de l'approvisionnement d'une petite gâterie, chaque matin à Constantin-Édouard, afin de maintenir la baguette de maîtresse de maison.
Or ce jour-là, le châtelain Chicoygneau de Lavette était endeuillé par l'attitude inhabituelle de sa femme Philomène.
- Phallus t'il que vous me fellationnasse aussi rapidement? Il eut phallus que vous flânochatiez ses bourses plus longtemps afin que ma Vergelesse sa dégoulinere!
- C'est parce que vous m'avez mal grammaticalisé l'haïku. Votre bibliothèque est explicitée pourtant. L'haïku ne doit jamais être more mais mortel. Or, vous me laver défiscalisé à l'argent sale depuis fort longtemps, Constantin-Édouard.
Sans rien dire, le châtelain était partit déambuler les 7000 m2 du parc arboré, sur sa jument "Gertrude de la Hulinière". Philomène s'était retrouvée seule. À vrai dire, pas vraiment. Son majordome atitré Guillaume venait d'être sonnaillé par madame.
- Guillaume, déchoyez vos occupations. J'aimerais que vous feuilletonnassiez de votre langue, mes petites lèvres gourmandes et ma foi, leurs tirer la babichette jusqu'à l'atteinte d'une octave polyphonique.
- Hum...ce sera selon vos désirs, madame.
Et c'était ainsi que les pièces et dépendance du château tintinnabulaient les jouissances de Philomène. Et ces phénomènes se répétaient inlassablement.
- Bien, maintenant folklorisez mon clitoris, puis ouvrez ce pot de vaseline posé sur la commode et fiscalisez mon Anubis.
Dame Philomène était telle une chef d'orchestre: un rythme soutenu, des envolées de soupirs et peu de pauses. La clé de sol qui tournesol, quoi.
- Gymnastiquassez mon clitoris plus vite
Le majodorme ne savait plus où donner de la tête.
- Froufroutassez ma fente et queue l'haïku soit!
Ainsi il en fut pour le malodorme, Guillaume.
- Faites la Fox-trotteuse, montrez-moi la minute de Mr Cyclopède.
C'était une friandise personnelle que Guillaume lui prodiguait à la châtelaine.
- Allez qu'on en finisse. Soyez comme un chien de Baskerville. Fossoyez mes entrailles et que le roi Queues II bénisse les boules!
Dix minutes plus tard, Philomène congédiait son majodorme à rejoindre ses occupations. Madame aurait faim dans une heure, mais le protocole des remerciements prenait part.
- Inspecteur Gadget, queue nous nous soyons galipotassés ainsi aujourd'hui, restera dans les anales patrimoniales. Et vous m'avez remarquablement fessassée. Merci.
Et dame Philomène avait écrit sur son livre d'or:
L'haïku en trois queues
Une verge qui plonge
Le bruit de l'eau
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