Mission matinale

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Le réveil sonne. Quelle heure est-il ?
Il est bien trop tôt, même si ma femme est déjà partie travailler.
Ce n'est pas le réveil. Quatre appels ? Que se passe-t-il ?
Ma voisine demande en urgence de venir l'aider.

Heureusement que j'ai sa clef.
Je peux à tout moment y aller.
Tout comme elle peut venir chez moi
En cas de besoin, pendant les vacances, arroser les plantes, s'occuper du chat,...

Je cherche le trousseau avec le double.
Où est-il caché, d'ardeur à le chercher je redouble.
Ca y est, je l'ai trouvé. Je peux me précipiter, courir.
Trouver cette porte fermée, et très rapidement l'ouvrir.

Après être entré, dans cette maison avoir pénétré
J'appelle à tue-tête "Où es-tu ?" après ma voisine.
De là-haut j'entends une voix m'appeler,
La salle de bain, en voici l'origine.

Je monte quatre à quatre, au risque de tomber,
Pour la trouver nue, dans la baignoire allongée.
Elle n'a réussi qu'à attraper son portable
Pour appeler au secours et trouver une âme charitable.

Me voici donc, chevalier devant ma voisine dénudée
En caleçon, torse nu, pas réveillé, pour une mission bien débutée.
Commencer par la porter, dans mes bras la soulever,
Pour essayer de la réchauffer, de la sécher.

Dire que la trouver ainsi m'a laissé de marbre serait un doux euphémisme
Pour la première fois que je la vois nue, elle ne fait pas dans l'exhibitionnisme.
A-t-elle aperçu mon caleçon formant ce chapiteau ?
Ou mon émoi pourrait-il rester incognito ?

Je l'aide à s'asseoir dans la douche, commence à la frictionner
Avec la première serviette que j'ai pu attraper.
Mes mains parcourent son corps mouillé
En douceur, avec lenteur, pour ne pas la blesser.

Elle me raconte que dans la baignoire elle a glissé
En voulant en sortir après s'être lavée.
Qu'elle ne fut pas ma surprise, quand, arrivant près de son intimité,
Je découvris sa chatte et son anus bien occupés !

Ne rien dire à propos de ce plug, ce n'est pas le moment.
La sécher, la réchauffer est pour l'instant plus important.
La porter dans sa chambre, pour pouvoir l'ausculter,
Pour appeler les secours, s'il faut aux urgences la soigner.

En arrivant dans sa chambre, je l'allonge sur le lit,
Ecarte les draps, pour pouvoir m'occuper d'elle,
Quand soudain tombe avec fracas,
Quelques jouets, perdus dans les draps.

Voici donc que ma belle sainte-nitouche de voisine
S'avère être une vrai et belle petite coquine.
"Ne dis rien à mon mari, je t'en prie, il ne comprend pas.
Que j'aime me masturber, me faire jouir, surtout quand il n'est pas là."

"Mais que dira-t-il quand il saura que je t'ai trouvée nue,
Que je t'ai, sans aucune réaction naturelle, séchée, portée, aidée, secourue ?"
Elle me regarde, un peu perdue, les larmes aux bords des yeux.
De douleur ? Ou d'avoir été prise avec ces jouets scandaleux ?

Instinctivement, j'admire, des pieds à la tête, ce corps ainsi offert
Qui voulait recevoir tant de plaisir, dans ce moment de solitude, où tout va de travers.
Devant mon regard intense, elle rougit, mais quelle est belle
Cette princesse, qui voudrait être rebelle, mais n'a jamais été infidèle.

Je m'assois sur le lit, auprès d'elle, pour la réconforter, la réchauffer, discuter.
Comment allons-nous procéder, avant d'appeler les pompiers ?
Peut-être devrions-nous retirer de ses orifices ces petits jouets ?
Les nettoyer, les ranger, comme si de rien n'étais ?

Sa jambe bloquée, son bras abîmé, tous les deux dans la chute sur le côté,
Elle n'a pas le choix, un grand service elle doit me demander,
D'oser poser les mains sur elle pour la débarrasser
De ces armes du crime, preuves de sa perversité.

J'approche ma main de son ventre, la pose sur cette peau de velours.
Un frisson m'électrise, quand je la vois à contre-jour
Sur le lit allongé, à mes envies ainsi offerte, dois-je partir à la découverte ?
Elle est là, inerte, dans ce grand lit, nous deux, seuls au monde, sur cette île déserte.

Le contact de sa peau chaude avec ma main froide la fait frissonner.
Je vois ses deux aréoles se dessiner, ses tétons soudainement pointer.
L'effet sur mon sexe est immédiat, qui sous mon caleçon commencer à remuer.
Elle l'a forcément bien vu, puisqu'il est sous son nez.

Arrive le moment fatidique de prendre en main le vibrateur fiché dans son intimité.
Quand je le touche, elle se met à gémir, à frissonner.
Elle me dit qu'elle était sur le point de non-retour quand tout a basculé
Les jambes raidies par le plaisir des vibrations et de l'eau chaude quand elle a glissé.

Son vagin est tellement contracté que quand sur l'appareil je me mets à tirer
Impossible de le faire venir, plus j'essaye de l'ôter, plus il est comme aspiré.
Et ma voisine de gémir, de tressauter, de tendre les jambes de crier.
De délectation, de bonheur, je ne saurais le dire, tellement tout s'est entremêlé

Soudain je sens sa main sur mon caleçon, attraper le chapiteau
Le caresser, le masser, faire gonfler mon asticot, qui est pourtant déjà si gros,
Puis elle part à la découverte de son contact, directement sur la peau,
Le prend en main, et rythme de haut en bas, de bas en haut, donnant le tempo.

"Continue, fais-moi jouir, je n'en peux plus, il faut aller au bout, en finir.
Cela fait des heures qu'il est logé à l'intérieur, tu n'as pas le choix pour le libérer.
Je n'en peux plus, libère-moi de cette torture, fais-moi venir,
Branle moi, masturbe moi, touche moi, baise moi, il faut m'aider !"

Elle se jette alors sur mon membre, ouvre la bouche, l'englouti, bouche affamée,
Pour libérer mes pensées de toutes ses contraintes, sa retenue, sa dignité,
Par des mots crus, des demandes obscènes, se soumettre, enflammer ma primalité,
Dans le but unique et inavoué d'atteindre la jouissance comme finalité.

De la main gauche, j'attrape son sein, que je vais pouvoir caresser, malaxer, pincer.
De la droite, j'attrape la télécommande du jouet pour pouvoir l'allumer.
Je le mets à vibrer, elle entre en transe, veut enfoncer mon mât au fond de sa panse
Mes doigts attrapent son clitoris, le touche, le masse, en guise de récompense.

Elle hurle, crie, gémit, se débat, ses yeux se révulsent, ses jambes tremblent.
Jamais je n'avais vu femme si belle, quand sur mon vit d'elle-même elle s'étrangle
Soudain, ses mains sur mes fesses, elle ne bouge plus, ne respire plus,
Elle me dit "je viens de jouir, maintenant il faut s'occuper de mon cul".

Alors qu'elle se rallonge et difficilement écarte les cuisses,
Son intimité souffre, et libère le vibrateur, ce beau complice.
"Viens entre mes jambes, mets deux doigts dans la chatte pour que tu puisses
Masser mon anus, le pousser de l'intérieur, et sonner la fin du supplice"

Aussitôt je m'exécute, m'introduit dans sa grotte, tourne et retourne
Trouve la masse métallique, qui dès que je la pousse de nouveau s'enfourne.
Je tire de l'extérieur, pour de l'intérieur, peine perdue, tant elle est tendue.
Je dois la surprendre, lui faire une surprise, quelque chose d'inattendu.

Je la retourne sur le ventre, le bassin au bord du lit, les genoux au sol,
Je remets deux doigts dans la chatte et de ma main libre ses fesses je cajole,
Quand soudain, une fois, deux fois, trois fois, je lui donne une fessée.
De surprise, de plaisir, le tout entremêlé, elle se met à hurler.

"Oh oui, c'est bon ce que tu fais, mon mari, lui, n'a jamais osé !
Oui, punis-moi, moi qui me donne au voisin sans retenue, je suis une trainée"
Son vagin serré au maximum sur mes doigts, est arrivé le moment de la libérer.
A l'instant pour elle de venir, après l'avoir bien lubrifié, d'un coup sec sur le plug j'ai tiré.

Aussitôt, un long cri déchire la pièce, une plainte comme jamais elle n'en avait poussé.
Sous mes doigts, un liquide se met à couler, elle est en train de pisser.
Je vois son anus s'ouvrir, se fermer, sous mes yeux palpiter
"Oh oui ! Tu m'as fait jouir, vient prend moi, défonce-moi, vient m'enculer"

Devant cette scène, ses demandes ont raison de ma volonté.
Le membre dressé, mon gland se présente devant l'entrée distendue
Je pousse sans aucune difficulté, tellement cette gourgandine est excitée
Et m'enfonce jusqu'à la garde, pour admirer ce cul ainsi pourfendu.

"Qu'elle est grosse, vas-y, fort, vient me pilonner, dans mes entrailles te vider"
Crie la donzelle, ma voisine, que je ne reconnais plus tellement elle est déchainée.
Tout en claquant ses fesses de mes mains, je commence à me laisser aller.
Il ne me faudra pas longtemps pour sentir arriver le moment libérateur de pouvoir tout évacuer.

"Excuse-moi pour cette mise en scène, j'ai un secret à t'avouer.
J'étais en manque, cela fait des semaines que mon mari ne m'a pas touché
Et chaque soir, je vous entends baiser, je sens comment tu sais si bien la démonter
Quand sous tes assauts répétés, je l'entends gémir, crier, rugir, couiner.

Ce matin, je n'arrivais pas à jouir, j'ai vu que ta femme au travail s'en est allée
Alors, j'ai pris mes jouets, et dans le lit je les ai semés avant de commencer à me masturber.
Puis je me les suis introduits, pour arriver au paroxysme, et avant le moment ultime tout stopper,
T'appeler, pour que tu puisses dans cet état me trouver.

Ta femme n'avait pas menti, quand elle disait à toutes ses amies que tu étais bien membré
Que tu sais la faire jouir, de mille façons, que tu as beaucoup d'imagination, d'inventivité.
Depuis je fantasme sur toi, j'ai envie de toi, elle n'aurait pas dû ainsi se vanter.
S'il te plait, pardonne-moi, je voudrais tant pouvoir avec toi encore et encore recommencer."

Voilà donc dans quel dilemme est notre chevalier.
Doit-il continuer à aider sa charmante voisine, si belle et si coquine ?
Mais il a fait une promesse, il est marié, il a juré fidélité.
Et vous, cher lecteur, chère lectrice, qu'en pensez-vous ? Venez en commentaire mettre vos idées.

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