Délires romantiques I.
Moins d'une minute de lecture
Encore faudrait-il que tout s'éveille, brûlant, et que dans ce feu, l'oubli, nous prenant par le cœur, assassine ce qui resterait de nous, noyant les rêves et l'espoir sur le bûcher de l'orgasme, révélant au solitaire le miroir d'une solitude plus grande encore, remplie de cette multitude joueuse qui ne cesse de danser les notes d'une insaisissable prison d'or.
Annotations
Versions