Maudit sois-tu, Fils béni d'archange! Toi et tes yeux sombres à faire rougir un café noir. Tu caches sous tes plumes des délices ô combien convoités, tu le fais avec tant d'adresse que tu arrives toi-même à te berner, Ferme donc les yeux tu y verras mieux! Bourreau insatiable de mon cœur et de tant d'autre, vole à mon secours par tes ailes décharnés ou mieux encore ! Laisse moi mourir et esclaffe toi à gorge déployée ! Brise les nuages et déride les montagnes que je puisse te hair avant de rendre l'âme. Si ce n'est une torture alors qu'est-ce donc ? Un petit jeu cruel d'un bourreau à la mine de garçon ? Une simple boutade, une amourette timide ? Une morne Cavalcade pour combler le vide ? La foi que tu implores exigerait un cœur d'or. Et le sel a taillé dans l'organe des crevasses au goût de ''bien-assez''.
Tu arrives bien tard ô mon belial, le cygne est enroué à force de chanter le mélodrame redondant de mon cœur aux amours arachés.