La théorie de la courbe temporelle est une théorie que je commences à discerner et j'ai observé recemment. La vie est une courbe, précaire et éphémère, et ce principe s'applique sur tous les corps, les corps d'énergie, les substances et les matières, même les concepts les plus précis, mathématiquement et philosophiquement, des pensées les plus concrètes aux plus abstraites, des motifs et des fondement dans le tissu de l'existance qui se forment et qui s'annéantit, répétitivement, dans une durée, un moment, qui s'efface mais ne s'efface pas.

L'énergie vient, et l'énergie part, avec la succession des évenements qui ne se succèdent pas, et l'illusion qui se piège, les contradictions qui se contredisent. Tout fait du sens mais rien n'en fait de plus, démunie de compréhension psychologique et neurologique, perception de notre psychologie et notre psychologie est la vision d'elle même, et la signification similaire des émotions, des réactions, de la douleur et du plaisir. La courbe est comme tout ce qui la compose, elle vient et elle part, tout comme l'énergie et les matières.

La compréhension ne peut être aperçue que par son propre sujet, de justification de son contraire, ne peut être incomprise que par sa base elle-même, or le contraite est son inverse. Cela va de même pour les axiomes de vérité et de mensonge; ce qui est vrai ne l'est pas, et ce qui ne l'est pas le devient, créant une boucle de principes indéfinis, turbulence de vie et mort.

Devant ce mystère irréprochablement enchevetré, de confusion et d'obscurité imprécise, je laisse réflexion à ceux qui veulent.