Une voiture blanche arriva dans l'allée voisine et sans nous en rendre compte nos regard se croisa. Un regard qui pourtant était promis à de l'innocence semblait remplit de regret.

En cet instant précis tout ce que je voulais c'était la sérrer contre moi, la sentir et sentir son coeur battant sur le miens.

C'est égoïste, n'est ce pas ? Oui, je sais !

Sa petite robe fleurit lui tombait sur les hanche elle lui allait à ravir.

Paul, élancé, s'avançais d'un pas décidé tout en étant sur son telephone.

Je me mordais les lèvres. La méritait il ? Etait il bon avec elle ?

Je décida de rentrer me morfondre dans mon canapé.

Une heures plus tard, j'entendit ma mère qui discutait joyeusement à l'extérieur. À peine avais-je sortis la tête dehors qu'elle me souriait déjà.

C'était elle, Lenna. Les joue rose et la peau mâte, comme dans mes souvenir.

Elle s'approcha pour me saluer et il y avait une certaine gêne entre nous. Nos lèvres se frolla sans que nous ne le cherchions. On ne s'attarda pas sur ce detail, je la fît entrer.

Un parfum délicat de rose émanait de sa nuque. Je resistait tant bien que mal à la toucher.