Capharnaüm
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Il y a méprise sur le récit.
Le marronage n'est jamais fini.
je regarde pas les années filer.
C'est charmant, tout laisse à désirer.
Au fond je préfére l'ignorance à Sheldon.
Il y a pas de coupable à trouver, rien à demander à Shenron.
Toriyama, Miura inspireront encore mes pas.
Dans le même tas sans finir dans le même cas.
Que de rêves pour un simple mortel.
Que d'extrêmes pour une pause, un cocktail.
Ni préface, ni interface, je préfère ne pas répondre à la glaçe.
Elle avait tout perdu, donc j'avais pas ma place.
Ça repart comme c'est venu, dans une vanne.
Ça m'a tracassé le coeur donc ça m'a fracassé le crâne.
Si j'arrache le poison à la racine je ne pourrai pas voir ses pétales.
Au moins pour plus de foi tout m'est égal.
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