Le rien qui bascule tout.
Silences et accélérations. Je n'y croyais pas, mais j'y suis de toute façon.
L'immense qui altère les actions. J'ouvre la portière, comme un garçon.
Un bout de route ensemble. Je te déposerai le cœur en sang.
Déboule et roule dans le centre, des boucles qui tournent dans le temps.
Double vie dans le cœur, coup de vice dans le dos.
Court plus vite encore, calme le tournevis dans le manteau.
Je refais un tour de piste, je me sens sot.
Senseï, dis moi comment je m'en sors.
J'ai vu la caisse de ton nouvel amant.
La piaule de tes nouveaux parents.
J'ai lu l'adresse de tes nouveaux patrons.
La vie est un cours d'eau qui passe entre les passions.
Un complot qui dérive entre les nations.
Une bombonne de gaz, devant des plastrons.
Sa beauté me dépasse, selon la loi de l'attraction.
Ça pourrait lui plaire, si je fais fondre ses glaçons.
Si je pouvais rouler jusqu'à Londres.
Même une poule aux œufs d'or ne fait que pondre.
Tu me fais signe de ralentir.
Je me dis que la nuit ne fait que mentir.
Après ça, je rentre chez moi.
Tout près de toi quel drôle d'état.
Après vous, je n'en reviens pas.
Et puis nous, on se préviendra.
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