Après le cour, trois sirènes identiques m'abordèrent. Elles avaient une beauté intimidante et froide, les cheveux noirs attachés en chignons par une perle. Leurs yeux était d'un gris glaciale et elles étaient parées de divers bijoux d'or et d'argent.

Je voulu me lever pour partir mais les trois sirènes se positionnèrent autours de moi de sorte à ce je sois prise au piège.

A tour de rôle elles dirent en jouant avec une mèche s'échappant de leur chignon:

- Bonjour fiancée du prince héritier. Je suis Lyssa.

-Bonjour fiancée du prince héritier. Je suis Maria.

-Bonjour fiancée du prince héritier. Je suis Ira.

-Nous sommes les trois sirènes héritières choisit par les dieux.

Je sentis mon coeur battre plus vite, cette situation me rendait mal à l'aise surtout que n'avais jamais entendu parlé d'une tel chose, mais mieux vallait ne rien dire .

Celle qui se nommée Lyssa s'approcha avec un sourire sans chaleur et caressa mes écailles:

- Les elfes içi sont rare, c'est surprenant.

Sentant une vive douleur je contracta mes muscles en me mordant la lèvre inférieur.

Elle avait tiré séchement et à la fois doucement un petit bout d'écaille laissant échapper une petite goûte de sang. Ce geste fût à la fois discret et clair. C'était une mise en garde.

Maniane s'avança à son tour pour caresser mes cheveux:

- Une elfe fiancée de la famille royal... amusant.

Elle retira sa main en arrachant doucement et lentement un cheveux en même temps me faisant serrer les poings.

Ira s'avanca et caressa ma joue:

- Un futur médecin royal.. interessant.

Sa main quitta ma joue la griffant légérement au passage.

Pour claure cette discution elles annoncèrent en choeur la main jouant avec une méche de cheveux:

-Notre avenir en médecine est tracé. Les dieux sont avec nous.

Et puis elles partirent en me frolant l'épaulece qui me fît jurer intérieurement.

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Odon et moi nagions vers la salle de médecine. Il mit ses deux mains sur mes épaules me tournant vers lui. En sentant ce contact impulsivement j'arrêta de penser bloquant ses bras et lui donnant un coup de pied dans les côtes avant de se rendre compte de mon erreur.

- Eh bien quel rudesse! Je voulais jute m'assurer vous alliez bien! Aïe Aïe ma côte...

Une main se colla devant ma bouche. J'étais choqué de mon impulsivité mais un petit sourir se dessina sur mes lèvres en le voyant gesticuler exagérement dans tout les sens inquiet pour sa vie . Voyant qu'il avait tout de même l'air de souffrir je lui demanda:

- Combient de temps reste t-il avant le cour?

- Un quart d'heure...Ma côte me fait atrocement souffire Aïe aidez moi!

Je ne pu s'empêcher de lever les yeux aux ciel le voyant dramatiser de manière assez comique, mais aillant tout de même un peu de pitier je l'amena derrière la statut de Aclépios qui était assez imposante pour nous cacher.

Je lui enleva sa toge révélant son torse blanc et brillant. Il y avait en effet un imposant bleu sur son flanc droit, je commença à le palper les yeux fermé pour mieux me concentrer comme ma mère m'avais appris autour du bleu pour déceler toute trace d'anormalité. Au bout d'un moment je décrerta que rien n'était cassé et j'ouvris mon sac pour trouver un petit pot de pommade et lui appliqua.

Odon était étonnament calme pendant tout le processus. Ce fût seulement à la fin qu'il dit en souriant:

- Vos mains sont très douces, merci... Dîtes moi qu'est ce qui a provoquer votre malaise?

Je m'assis à ses côté en soupirant et en croisant les bras autours de mes jambes:

- J'ai eu une vision très rapide mais très clair. Une sirène enfermée qui implorer Posèidon. Puis un éclair, un miroire en éclat et du sang.

Odon écoutait attentivement et demanda:

- Avez-vous déjà eu des visions avant?

Je hocha négativemenent la tête.

- Est-ce-que vous pourriez me décrire l'endroit où se trouvait la sirène? Je pourrais peut être la localiser, peut être qu'elle est en dangée?

Il paraissait si sérieux, il avait sentit aussi qu'il se passait quelque chose.

- Elle était sombre étroite et richement décorée. Il y avait des coffres partout et la sirène était assise sur un trône enchaînée.

Odon sembla réflechir quelques instants avant d'avouer:

-Je n'ai jamais vu une tel pièce. Elle doit se situer dans la partie maudite du château.

Le mot "maudite" raisona dans mes oreilles et piqua ma curiosité:

- La partie maudite?

Odon soupira en passant une main dans ses cheveux:

- Oui, je n'ai jamais pu y aller il doit y avoir tellement d'objet ancien et de vielles architectures...Enfin bref c'est la partie la plus ancienne du château. Mon grand père m'avait raconté que derrière chaque portes se trouvait un secret, seul la famille royal à le droit d'y accéder. Mais mon père me considère comme trop jeune. Celui ou celle qui s'y aventurerait sera executé sur le champs.

A la suite de ses paroles je fût tenté de lui poser les multiples questions qui brulaient mes lèvres.

Soudain une grande elfe fît son apparition un casque sur la tête.

- Mademoiselle en classe.

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