Quatorze heures du matin. J'ouvre un œil en même temps que je lâche un pet tonitruant à en soulever la couette.

Je traverse l'appartement en slip, il me rentre à moitié dans les fesses. Hier, le miroir me renvoyait l'image d'un panda sous Xanax. Ce matin, j'ai la tête d'un porc-épic qui collectionne les mauvais jours.

Quatre janvier, je me résous à arrêter de boire. Mon téléphone sonne :

 " Hé, vieux, Juju veut payer son coup ce soir. T'en es ? "