Je pose ici un petit One Shot que j'ai écrit aujourd'hui. Entre autre pour débuter réelement mon aventure sur ce site qui a bien voulu m'accueillir. ^^ J'espère qu'il vous plaira.

Pour ce petit OS, je vous propose d'ailleurs une petite musique venant de l'anime l'Attaque des Titans : https://www.youtube.com/watch?v=_GodPP6LimY

Sur ce Bonne lecture,

Deux Anges, un seul amour.

Bon alors, je ne sais pas exactement par ou commencer. Je suis un jeune de 18 ans, je suis rentré en Terminale il y a déjà plusieurs mois et je m’appelle Ethan. C’est tout ce que vous avez à savoir pour comprendre ce que je m’apprête à vous dire. Déjà : Est-ce que vous êtes déjà tombés amoureux ?

Quand je dis amoureux, je ne parle pas de petite amourette de collège ou d’école primaire, mais du véritable amour fort et puissant celui qui vous prends aux tripes, qui vous empoigne le cœur pour ne plus jamais le lâcher. Celui dont vous savez qu’il restera ancré en vous à jamais. Cet amour si puissant qu’il est en réalité indéfinissable, cet amour qui vous fait vous demandez pourquoi lui pourquoi elle.

Eh bien ! Vous devez vous en douter mais moi je l’ai connu cet amour si fort, si puissant que je ne m’en remets toujours pas. D’autant plus que cet amour n’est pas pour une fille, comme peut l’envisager l’orientation classique des individus masculins mais bien pour un autre garçon. Oui un garçon, aussi beau qu’un ange aussi irrésistible qu’un démon. Comment le décrire des cheveux aussi blonds que les champs de blés, des yeux d’un vert bleu gris indéfinissable dans lesquels se perdre est tout bonnement magique, le tout sur un visage parsemé de quelques taches de rousseur qui lui donne un côté encore plus craquant. Et sur un corps des plus satisfaisant à regarder de fins abdos pas non plus trop développés juste ce qu’il faut pour être pleinement désiré. Je pense que cette description de lui montre au combien je l’aime, lui d’ailleurs c’est Alvin. Et je rêverais de lui dire encore une fois mais… je m’en souviens…

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Le réveille sonne dans ma chambre d’internat, je regarde à côté de moi et je vois mon bel ange dormir encore profondément, je m’approche de lui délicatement et le secoue légèrement pour le réveiller tout en douceur en disant :

- Allez debout la marmotte !!! Tu ne vas pas non plus dormir éternellement on a cours dans une heure je te rappelle.

Je le vois ouvrir légèrement les yeux et bailler, ce qu’il peut être beau, il s’étire un instant et plonge ses magnifiques yeux dans les miens en disant :

- Ah !! C’est toi Ethan ?

- Tu veux que ça soit qui d’autre!!! Bon allez lève toi rapidement moi je vais à la douche.

Pendant que je prends mes affaires de douche dans mon armoire, je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil dans sa direction et découvre son corps si sublime se mouvoir en dehors du lit avec une érection matinale qui déforme son boxer blanc, mettant bien en avant toute les formes de celle-ci. Il faut vraiment que j’aille rapidement à la douche moi. Je m’empresse de sortir de notre chambre essayant tant bien que mal de cacher toute l’ampleur de mon érection. C’est alors que j’entends sa voix derrière moi qui me dit :

-Ethan, tu peux te retourner quelques instants ?

Je me retourne ultra gêné cachant de mes mains mon érection, il plonge son regard dans le miens, se rapproche tout en douceur attrape mon bras et le retire tout en gardant son regard perçant dans mes yeux, je sens tout mon visage rougir de plus en plus. Il me sourit et dit :

-Ethan ?

-Oui dit-je complétement gêné…

- Tu sais que t’es trop mignon quand t’es gênés et super excitant quand tu bandes comme ça.

- Oui… mais euh… On n’a pas le temps Alvin.

- On a toujours le temps mon cœur.

Tout en disant cela il joint ses lèvres aux miennes et me prends dans ses bras pour me diriger vers son lit, me pousse doucement et se place à califourchon au-dessus de moi dominant pleinement la situation mais aussi toute notre relation, Alvin c’est mon petit copain et je l’adore, je sais que lui aussi. Même si il ne me le dit pas souvent, il sait me le faire savoir autrement. Il descend ses mains sur tout mon corps ne lâchant pas mes lèvres qu’ils dévorent à la fois avec délicatesse et sauvagerie avec envie et retenue, voulant profiter de chaque instant. Il approche sa main de l’objet de ses délires les plus fous et le prend en main pardessus mon boxer, ce qui me fait frémir et gémir légèrement.

Puis il lâche avec regret ses lèvres alors qu’il a déjà insérer sa main à l’intérieur du tissu pour descendre vers mon érection plus que naissante la retirer de sa prison et la couvrir de baiser ainsi que de délicat coup de langue extrêmement bien placé, pour ensuite l’insérer au fond de sa gorge, il s’applique à me procurer toute sorte de sensation pendant plusieurs minutes avant de sortir ma colonne de chair de sa prison buccale, et lécher cet organe de haut en bas pour finalement continuer sa course jusqu’à mon intimité insérant sa langue et titillant ce bout de chair qui ne demande que ça. Pendant qu’il s’applique à lubrifier mon fondement il cherche dans le tiroir de sa table de nuit, la boîte de préservatif que nous avons achetée pour ce genre d’occasion. Il arrête la dégustation de mon intimité pour retirer son boxer d’une manière des plus sensuel et enfiler le bout de latex sur son érection tellement magnifique, j’écarte les jambes le laisse se placer et rentrer délicatement à l’intérieur de moi, il s’y insère sans grande difficulté entamant rapidement de léger et splendide vas et viens alors que je l’enserre de mes bras et mes jambes, il me mordille dans le coup puis légèrement le lobe dans l’oreille avant de me susurrer :

- Je peux y aller à fond, mon ptit Ethan.

Je lui réponds par un simple « oui » et me serre encore plus contre lui alors que je sens toute l’immensité de son érection me prendre avec amour de plus en plus rapidement, le bonheur est tellement intense que j’en viens presque à planter mes ongles dans son dos, j’attrape ses lèvres et y insère ma langue pour empêcher mon bonheur de s’exprimer pleinement avec des milliers de gémissement qui en réveillerais tout l’internat. Je sens son sexe frotter contre les parois de mon fond intérieur, je sens le miens frotter contre ses abdos, ces sensations, ce bonheur durent pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que comme un seul et même être fusionné par l’amour que nous nous portons il éjacule en moi et j’éjacule entre nos corps collé l’un à l’autre. Il m’embrasse une dernière fois. Je le regarde, il me regarde et je lui dis tout doucement :

- Alvin, je t’aime vraiment de tout mon cœur.

- Moi aussi Ethan , moi aussi répond-il tout en serrant mon corps contre le siens.

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Cette fois, c’était la dernière, l’ultime et dernière fois où nous avons partagé tout ce bonheur. Toute la journée c’était passé au mieux nous avons profité de la douce chaleur du printemps en faisant une balade main dans la main dans notre belle ville. Mais ce soir alors que j’étais entrain de manger en regardant les informations chez mes parents, étant donné que nous sommes Vendredi :

-FLASH SPECIAL Nous venons d’être mis au courant d’un tragique accident sur le pont neuf, survenue il y a quelques heures, mettant fin à la vie d’un homme de 40 ans, sa femme de 38 ans ainsi que de leur fils âgé de seulement 18 ans. Suite à un chauffeur de poids lourds qui aurait semble-t-il conduit alcoolisé et les auraient percuter ce qui aurait propulsé la voiture familial par-dessus la rambarde et l’aurait envoyer sur l’autoroute passant en contre bas.

Je commence à paniquer, la description correspond à l’âge des parents de mon Alvin, mais rien ne signifie que ce soit bien eux, bien sa famille ??? si ????

Mais lorsque je vois à la télévision l’image de la voiture, je reconnais immédiatement la voiture de mon amoureux mais des Peugeot 206 blanches il y en a beaucoup d’autres non ???

Tout s’effondre finalement autour de moi lorsque je vois les images des victimes de l’accident et que je vois le visage de mon ange tout blond avec un immense sourire… Je me lève de table ma mère essaye de me retenir, mais mon père lui dit de me laisser tranquille. Je vois dans leur regard, alors que je commence à me diriger vers la sortie qu’ils sont très inquiets pour moi. Mais je marche machinalement vers la sortie n’y prétend pas grande attention, mes larmes coulent à flots, je revois tous les moments passés avec lui, tout l’amour que nous nous portions. Je continue de marcher machinalement déambulant dans les rues de ma ville, de notre ville je repasse devant ce parc où nous nous sommes embrassés pour la première fois, devant notre lycée et notre internat dans lesquels nous avons pleinement exprimés tout notre amour. J’arrive sans vraiment le vouloir sur le pont neuf surplombant l’autoroute je vois encore la voiture de mon amour et des pompiers qui s’affolent tout autour, je ne sais pas si son corps est encore là mais je m’en fou, lui n’est plus là… Je vois finalement la voiture de mes parents arriver derrière moi, ma mère me serre dans ses bras, je sens ses pleures couler sur mon épaule… Mon père arrive aussi et me convainc de rentrer avec eux. Je les suis à contre cœur…

Les jours passent sans aucune saveur, sans aucune couleur tout est noir autour de moi, sans sa lumière qui éclairer ma vie, sans sa présence qui me réconforte. Viens le jour J celui de l’enterrement de la famille d’Alvin son enterrement à lui, celui où nous étions au début de ce récit… après le discours de leurs proches, et du curé nous marchons doucement suivant les corbillards. Lorsque je vois ce cercueil dans lequel se trouve mon amoureux, je craque complétement et lorsque je le vois descendre dans la terre, je n’en peux plus…. Je pars en courant bousculant les personnes venu assister à ce tragique évènement… je m’en fou de les gêner… je pleures… je cours encore et encore les larmes coulent sur mes joues, encore plus que la dernière fois réalisant que c’est vraiment la fin… la fin de cet amour véritable qui nous arrivent qu’une seule fois.

Je me retrouve une nouvelle fois sur ce pont qui a vu partir mon précieux petit ange, je cours vers la rambarde en enlevant ma veste et ma cravate noire ou plutôt en les arrachant…puis je me place au-dessus de cette rambarde. Le soleil entame la fin de sa course, je regarde en bas l’autoroute sur laquelle défilent une multitude de voiture… l’autoroute sur laquelle j’ai perdue l’amour de ma vie… Je ne supporte plus son absence, je ne supporte pas de continuer de vivre sans lui, je monte sur la rambarde, les deux pieds face au vide. Je regarde un instant le ciel, en espérant l’y retrouver, puis dans un ultime effort je déploie mes ailes pour le rejoindre là où il se trouve et ce pour l’éternité…

FIN