Le coup de grâce
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Brassant l’air toujours sous les yeux médusés, l’artiste fini par sourire. Cette généreuse contraction des lèvres balaya, comme un raz-de-marrée, ce qui subsistait comme tumultes silencieux autour de sa pseudo-anorexie. Un sourire venu couronner la passionnante énergie que l’antilope mis dans le divertissement qu’elle exécuta à la pointe de ses pointes quelque peu déformées. Rejointe, pour la salve d’applaudissements, par le gars en collants, à la plastique musculaire parfaite.
N’est-ce pas pour la performance que la foule se déplace ? Le prix que chacun y est met est un choix.
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