XXVIII. La faille
Moins d'une minute de lecture
La faille
Blanche rupture du futur
Me laisseras-tu revenir
Étanche pièce sans murs
Le présent me laisse croupir
Mieux vaut pourrir que mourir
Cadavre ambulant je marche
Vers les couloirs de l’avenir
La terre défaites des arches
Ici se trouvent toutes sortes
De monstres tordus temporels
Attendant que s’ouvre une porte
Sur la réalité sans rêves
Où le temps n’est pas éternel
J’y dévore la mort sans trêve
Annotations
Versions