Le savant ne regardera pas en arrière.

Sa nation, funeste souvenir, est oubliée.

Son esprit se ferme. Il ne veut plus voir.

Ses pensées embrassent un univers composé de morts.

Déluge de cris inaudibles.

Le présent explose en bruits incompréhensibles.

Autour de lui, les êtres disparaissent, plèbe crasseuse !

Seul, trônant sur un paradis de cadavres, il regarde au loin,

Et contemple son Oeuvre divin.

Le savoir ne regardera pas en arrière.

Sa nationalité, funeste soviet, est oubliée.

Son esquif se ferme. Il ne veut plus voir.

Ses pensionnaires embrassent un Universel composé de mortaiseuses .

Dém de cribles inaudibles.

Le présentoir explose en brûlés incompréhensibles.

Autour de lui, les étrésillons disparaissent, pléiade crasseuse !

Seul, trônant, sur un parafe de cadenassants, il regarde au loin,

Et contemple son Offenseur divin.

Le sauveteur ne regardera pas en arrière.

Sa nasse, funeste soutier, est oubliée.

Son espionnage se ferme. Il ne veut plus voir.

Ses penn-ti embrassent un unitaire composé de morphosyntaxes .

Delphinium de crèves inaudibles.

Le prescrit explose en brugnons incompréhensibles.

Autour de lui, les étranglés disparaissent, plâtrière crasseuse !

Seul, trônant sur un parachutisme de cactus, il regarde au loin,

Et contemple son Oestrogène divin.