Lune de Miel (Partie 12)
Le film que le couple Maze regardait venait de se terminer. Zack retira alors son bras d’en-dessous la tête de sa femme et se leva du lit. Il prit par la suite la direction de la salle de bain et alla uriner un bon coup. Depuis la fin de leurs ébats, le jeune homme se retenait. Pendant ce temps, Frida quitta également la tendre surface recouverte de drap, attrapa sa robe de nuit ressemblant un peu à un peignoir, puis se dirigea vers le balcon. Elle regarda alors le paysage. La jeune femme avait notamment les yeux rivés vers le bas en direction des gens qui s’amusaient dans l’immense piscine de l’hôtel. En les voyant, la demoiselle eut des idées extrêmement torrides qui lui traversèrent la tête.
Frida était perdue dans ses pensées lorsque son mari vint la retrouver. Quand il mit ses mains autour d’elle, la jeune femme sursauta légèrement, ce qui fit rire Zack.
- Qu’est-ce qu’il y a ma belle ? Ce n’est que moi, lui dit-il lorsqu’elle se retourna.
- Non, non. J’étais juste perdue dans mes pensées, lui répondit-elle.
Curieux, monsieur Maze lui demanda ce à quoi elle avait bien pu penser. Sa femme lui dit alors qu’elle le saura le soir aux alentours de 20 heures. Intrigué, le jeune homme ne pouvait qu’attendre l’heure indiquée par Frida pour connaitre ce qu’elle mijotait.
- Sinon, tu n’aurais pas une petite faim ? questionna la demoiselle.
- Maintenant que tu le dis, c’est vrai que mon estomac commence à réclamer de la nourriture, rétorqua-t-il.
La jeune femme abandonna temporairement son mari et se dirigea vers le téléphone fixe de leur chambre. Elle composa par le suite le numéro du restaurant et commanda leurs nouveaux plats.
- Tu sais bébé, on aurait pu tout simplement y aller, lui dit Zack.
Frida mit sa main sur l’appareil pour que son correspondant n’entende pas ce qu’elle s’apprêtait à dire à son mari.
- Aujourd’hui je n’ai pas envie de sortir. Je veux juste passer toute la journée ici avec toi, déclara-t-elle avant de reprendre sa conversation avec son correspondant.
Zack trouvait ce que venait de lui dire sa femme très mignon. Donc, pendant qu’elle donnait la liste de ce qu’elle voulait manger, le jeune homme s’approcha de lui et plaça délicatement ses bras autour de sa taille. Il lui donna ensuite de tendres baisers dans le cou. Monsieur Maze se mit alors la caresser tout doucement, faisant glissant une de ses mains dans son peignoir.
- Attends ! s’exclama la jeune femme.
- Non. Je n’ai pas envie, rétorqua le mari entre deux baisers.
Zack se mit à malaxer le sein gauche de son épouse tandis que son autre main se trouvait au niveau de son entrejambe. Ce fut avec une très grande délicatesse que monsieur Maze commença à frotter sa partie intime. Frida avait de plus en plus de mal à se concentrer sur cela qu’elle disait.
- Madame, pouvez-vous répéter ? demanda soudainement l’employé au bout du fil.
A cause du comportement de Zack et de l’endroit où il venait d’insérer un de ses doigts, la jeune femme avait laissé échapper un drôle de bruit. N’ayant donc pas bien entendu ce qu’elle avait dit, le correspondant avec qui elle discutait par téléphone voulut par conséquent qu’elle se répète. Après avoir réitéré ses propos, madame Maze demanda à son homme ce qu’il désirait manger. Ce dernier lui répondit alors qu’il prendrait la même chose qu’elle. En vérité, il était beaucoup trop occupé à jouer avec le corps de son épouse qu’à regarder la menu posé à côté du téléphone.
Une fois qu’elle raccrocha, Frida plaça sa main gauche sur la nuque de son mari et commença à le caresser. Pendant ce temps, ce dernier continuait de faire des mouvements de va-et-vient avec ses doigts tout en pinçant légèrement ses tétons. Les minutes passèrent et la jeune femme était de plus en plus excitée. Zack la retourna alors et les deux s’embrassèrent de nouveau pendant quelques instants. Le jeune homme fléchit ensuite les genoux pour se retrouver littéralement en face du bassin de sa femme. Monsieur Maze écarta légèrement les jambes de cette dernière puis approcha son visage de son entrejambe.
Zack Maze commença à lécher et sucer le clitoris de son épouse. Il plaça également ses mains sur ses seins et les caressa avec la plus grande des ferveurs. C’était tellement bon et excitant que Frida posa à son tour ses mains sur sa tête et se mit à jouer avec ses cheveux tout en faisant des mouvements avec son bassin. Les minutes passèrent et la jeune femme commençait à ressentir les bienfaits de la bouche, plus précisément de la langue de son mari. Ce ne fut donc pas très étonnant si elle eut de nouveau envie de lui quelques instants plus tard. Malheureusement pour elle, quelqu’un vint frapper à la porte de leur chambre, ce qui poussa le couple à arrêter ce qu’il faisait.
Monsieur Maze se releva, enfila vite fait un short, et alors ouvrit. Pendant ce temps, Frida, qui respirait très vite et avait le visage rouge, remit son peignoir en place. L’employé de l’hôtel pénétra dans la chambre du couple avec un charriot sur lequel se trouvaient les plats qu’ils avaient commandés. Il s’agissait du jeune homme qui était précédemment venu leur livrer leurs petits-déjeuners. Ce dernier jeta alors un coup d’œil rapide en direction de madame Maze et constata le léger changement sur son visage.
- Madame, vous portez-vous bien ? lui demanda-t-il.
- Oui. Ne vous inquiétez pas pour moi. Je vais très bien, lui répondit-elle.
Lorsque Zack l’entendit poser cette question, il ne put s’empêcher de lâcher un rire. La jeune femme regarda alors son époux avec consternation. Elle n’arriva pas à croire qu’il rigolait dans une situation aussi gênante.
L’employé regarda le mari de Frida et les vêtements que les deux portaient. Il ne lui fallut pas longtemps pour une certaine appréhension de ce qui s’était passé entre la jeune femme et son conjoint. Il ne posa donc plus de question et se contenta de faire ce pour quoi il avait été convoqué. Il déposa les plateaux repas sur la table et se dirigea vers la sortie où monsieur Maze l’attendait avec son pourboire.
- Merci monsieur. Je vous dis donc à dans une heure, rétorqua l’employa en acceptant l’argent du mari.
Monsieur Maze le remercia à nouveau pour le service rendu et referma la porte derrière lui. Se retrouvant désormais seuls, Zack s’avança vers les plateaux et retira le couvercle de l’une des assiettes pour dévoiler leur nourriture.
- Je me demande quel gout cela a. Bon, vu que nous sommes dans un hôtel cinq étoiles, cela doit forcément être pas mal, dit le jeune homme.
- Je n’arrive pas à croire que tu aies ri, rétorqua subitement Frida.
- Tu dis ?
Lorsque Zack posa ses yeux sur sa femme, il constata que cette dernière le fixait d’une drôle de manière. Ce n’était pas de la colère qu’il y avait dans son regard mais plutôt de la contrariété.
- Qu’est-ce qui ne va pas mon amour ? questionna-t-il.
Monsieur Maze s’approcha de son épouse et essaya de la prendre dans ses bras, mais cette dernière refusa de se laisser faire en reculant de quelques pas.
- Tu as rigolé et c’est pas sympa, lui répondit-elle.
Zack n’en croyait ni ses yeux ni ses oreilles. Sa femme était littéralement en train de bouder. Bon, il fallait dire qu’il était responsable de l’état dans lequel elle s’était retrouvée lorsque le jeune employé rentra dans leur chambre. Afin de se faire pardonner, le mari décida de poser un genou à terre.
- Qu’est-ce que tu fais ? lui demanda Frida, très étonnée par son geste.
- Un homme doit savoir reconnaitre lorsqu’il est en tort. Je pose donc ce genou à terre et incline ma tête pour te prouver à quel point je suis désolé pour mon récent comportement. Je te le demande alors, Frida Maze, acceptes-tu de me pardonner ?
Devant le grand numéro exécuté par son conjoint et la main qu’il lui tendait, la jeune homme n’eut d’autre chose que d’oublier cette petite affaire. En plus, cela faisait très longtemps qu’elle ne l’avait pas vu dans cette position, la dernière fois étant lorsqu’il lui avait demandé de l’épouser.
- Tu n’as pas à faire tout ce numéro. Tu savais déjà très bien que j’allais te pardonner, rétorqua-t-elle.
- Oh ma très chère épouse ! Si tel est bien le cas, me feriez-vous l’honneur de partager avec moi un repas de réconciliation ? demanda de nouveau le jeune mari.
Voyant qu’il était complètement lancé dans son rôle, Frida se mit en tête de jouer avec lui.
- Mon cher et tendre mari, rien ne me ferait plus plaisir, répondit-elle en attrapant sa main.
Zack se releva par la suite, la regarda dans les yeux pendant quelques instants, puis la conduisit à table tel un prince charmant.
A suivre !!!
Annotations
Versions