Écoutez
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Silence l’homme, silence pour que s’attarde ici votre souffle éphémère. Silence pour que monte votre douleur par la sève qui l’achemine jusqu’à l’extrême pointe de vos feuilles. Écoutez le chant que murmure la tendresse végétale, si vous-même ou vos semblables vous vous détournez de leur bois et du profit qu’ils pourraient générer. Écoutez par votre peau, leur légèreté qui soulage.
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