Recueil
Le silence absolu des espaces infinis de l'univers, berce nos douces nuits de sa sublime torpeur.
Les larmes de la cascade reposent sur les pierres, et quant à l'aurore, le soleil reviendra, elles iront s'éteindre dans les cieux.
La brume se lève sur le lac de mes pensées, de son épais manteau, elle engloutit le flot, rendant obscur cette nuit déjà si sombre.
Elle vit grâce à toi, mais te torture jusqu'à la mort.
La cire sera toujours la martyre.
L'araignée de nos souvenirs,
Tisse sa toile dans nos têtes.
Mais la phobie de cette bête,
Nous empêche de nous en nourrir.
Écoute comme brillent les étoiles,
Regarde le parfum de la forêt, et touche le bruit de la nature.
Dans cet infini obscur qui tisse sa toile,
Tu trouveras l'animal blanc gardien guidant gaiement ton cœur battant sans fracture.
L'obscurité s'en va,
L'oiseau bleu chante sous l'aurore,
Une plume entre tes doigts,
Te fait écrire de l'or.
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