Martin n’a rien dit en voyant tout cela, sachant que son amie est bien assez grande pour se défendre ou refuser… Et si elle est allée dans cette chambre avec ce bel étalon, c’est qu’elle avait envie de s’amuser. Il rassemble les cadeaux, un peu frustré, va pour jeter le colis qui contenait l’amulette, mais s’étonne que celle-ci ne soit pas avec les autres bijoux qui ont été offerts…

Qu’importe se dit-il, il est tant pour lui d’aller profiter un peu plus de cette journée et de toutes ces jolies étudiantes en bikini ! Mais il n’a pas le temps d’observer pour chercher vers laquelle il essaiera de se rapprocher que déjà deux petites brunes arrivent pour lui prendre le bras.

“Alors bogoss, tu vas pas te baigner ?”

Il sent sur ses bras l’humidité des corps trempés de ces demoiselles qui viennent de sortir de l’eau.

“Si si, faut juste que je me mette en maillot… Il est dans mon sac…”

“On va t’accompagner, maintenant qu’on te tient, que t’es pas collé à ta Justine, on va pas prendre le risque de te perdre !”

Elles rient tout en accompagnant Martin qui va chercher son sac pour aller dans la buanderie pour se changer. Les deux nanas ne le quittent pas, jusque dans la buanderie dans laquelle elles s’enferment avec lui.

“Aller mon beau, à poil !”

Et sans qu’il puisse dire quoi que ce soit, l’une d’elles lui retire son t-shirt, alors que l’autre fait glisser son index sur les pectoraux du jeune homme.

“Mmmh, c’est du beau matos !”

Martin rougit, gêné, mais aussi de plus en plus excité, il prend sa respiration et réplique :

“Merci ! Mais le problème, c’est que vous voyez mon matos, mais que je ne vois pas le vôtre !”

“C’est vrai ça ! Pas vrai ?”

Elle regarde en souriant son amie qui se défait déjà de son haut de bikini, exhibant sa grosse poitrine bien lourde, suivie de près par sa copine, arborant une paire de seins moins opulente, mais tout aussi savoureuse…

Martin n’en croit pas ses yeux, et sans réfléchir, il appose une main sur chacune d’elles, commençant à pétrir ces deux poitrines douces et encore fraîches de l’eau de la piscine.

Elles n’attendent pas pour défaire le short de l’étudiant et en extraire sa verge déjà dressée et d’une belle taille. Il sait déjà que la baignade ne sera pas pour tout de suite, alors que sa bouche est prise en otage par la bouche de l’une d’elles…

Dans une synchronisation parfaite, Martin ressent un délice puissant l’envahir au moment où la langue de l’une vient chercher sa langue dans un baiser fougueux, et que la langue de l’autre s’enroule avec délicatesse autour de son gland décalotté et gonflé de désir.

S'ensuit une fellation savoureuse, rythmée, ses couilles et son cul musclé bien pris en main par l’experte à genoux devant lui. Il ne peut s'empêcher de gémir tout en continuant de goûter à la bouche de la seconde, lui pétrissant un sein et une fesse, tentant même d’insinuer un doigt plus bas, dans la culotte de la coquine. Rien ne retient sa main curieuse, bien au contraire, la belle l’aide à faire glisser cette culotte pour lui laisser libre accès à sa petite chatte dont la toison taillée court est déjà bien humide. Il y insère un doigt, rapidement rejoint par un second en voyant l‘accueil chaleureux fait par cet orifice étroit. Elle gémit dans sa bouche pendant que lui-même gémit, prenant un plaisir dingue à cette fellation goulue.

Après quelques instants, il se retire de ces jeunes femmes avec un sourire qui en dit long de la joie qu’il éprouve avec ces deux conquêtes inespérées :

“Putain, vous êtes trop douées !”

“Et encore t’a rien vu de nos talents !”

Et à ces mots, les deux se rapprochent pour s’embrasser, la seconde culotte quittant le postérieur cambré de l’étudiante, offrant un spectacle des plus excitant au jeune homme.

Il n’ose pas se branler en regardant les deux nanas se gouiner face à lui, il voit les langues jouer ensemble, les seins se frotter de manière sensuelle, les mains et les doigts glisser sur ces corps superbes… Il ne veut pas trop s’activer pour garder un peu de résistance pour la suite qu’il espère profonde, intense, chaude et humide…

Les deux filles chacune à leur tour se penchent avec une cambrure exquise pour venir goûter les abricots déjà bien juteux de l’autre. Martin écarquille les yeux, bouche bée de ce qu’il voit, s’approche, la bite en main pour venir embrasser et peloter ses partenaires, ne ratant rien du spectacle offert sans pour autant encore réussir à y trouver sa place…

“Wahou… je… putain vous voulez pas qu’on… enfin... je… aller…”

Il ne trouve pas les mots, son coeur bat à toute allure, il sent une main s’activer sur sa queue veinée, ne voulant qu’une chose, culbuter ces deux croupes. Elles se redressent, les yeux pétillants de malice, et sans un mot, les deux se penchent contre le congélateur, offrant en même temps leurs petites fentes gonflées d’envie.

Il regarde ça comme une offrande dans un paradis interdit, et sans se poser de question s’approche pour venir s’enfoncer dans la première, laissant échapper un gémissement en sentant sa verge enveloppée par les parois douces et brûlantes de sa partenaire qui sous le coup de cette pénétration, se cambre, ferme les yeux pour gémir à son tour, bougeant le bassin pour motiver son amant à bouger en elle. Le duo commence alors une ondulation savoureuse sous l’oeil impatient de la deuxième étudiante, excitée comme jamais.

Voyant cela, Martin quitte la première pour venir goûter à cette seconde croupe, différente, mais tout aussi bouillante, il n’attend pas longtemps pour coulisser avec rythme dans cette jolie étudiante.

Il continue ainsi de longues minutes, passant de l’une à l’autre, glissant dans ces fentes trempées, provoquant des hordes de gémissements, prenant un plaisir incroyable…

Mais tout homme a ses limites, et celles de Martin arrivent malgré lui, se retirant pour jouir de belles salves de sperme sur les dos creusés de ses deux partenaires.

“Désolé les filles, j’ai pas pu vous finir… À deux, vous êtes insatiables !”

“Oh, mais t’en fait pas, on a encore de quoi faire pour avoir de bons orgasmes !”

Et sous les yeux incrédules de Martin, l’une vient dans un premier temps lécher le sperme qui coule sur les fesses de l’autre, venant ensuite s’agenouiller derrière elle pour glisser sa langue dans la fente béante de son amie, lui faisant lâcher un soupir d’aise et de plaisir.

Au début positionnée à genoux et penchée, elle finit par s’allonger les cuisses ouvertes, obligeant son amante à s’agenouiller devant et dos à elle. Elle peut ainsi, en relevant les fesses, et en écartant les cuisses offrir aussi son petit abricot à Martin. Il n’attend pas longtemps pour y glisser sa langue. Le trio ainsi formé se déchaîne, chaque langue s’active, lèche, lape, s’enfonce, titille, encercle, coulisse, mais surtout ne s'arrête jamais, pour qu’en quelques minutes, les deux nymphes finissent par jouir, se crispant de spasmes de plaisir.

Essoufflées, elles se redressent, des étoiles dans les yeux, venant offrir chacune un baiser fiévreux à leur amant du jour, qui ne cesse de sentir son coeur battre, et sa verge palpiter…

Lorsqu’une fois revêtues de leur bikini elles quittent la buanderie, Martin leur dit tout simplement :

“Merci les filles, et c’est quand et où vous voulez pour recommencer !”