L'on se demande souvent ce qui est bien, ce qui est bien par rapport à ce que l'on sait, par rapport à ce que l'on a appris. Ce qui est bien par rapport à notre culture, notre religion qui est parfois notre légion, notre savoir qui est parfois notre espoir.

L'on se demande souvent ce que les autres pensent de nous, ce que l'on pense des autres ou ce que les autres pensent des autres pour pouvoir penser quelque chose des autres, ce que l'on pense de soi aussi, à travers soi mais aussi à travers les autres, et les autres des autres. L'on pense même à ce que quelqu'un pourrait penser de nous, où ce que je pourrai penser de moi, où ce que les autres pensent de moi pour imaginer ce que je devrais penser de moi.

Ces dits pourtant, que l'ombre de la sagesse balaie de ses plis de vieillesse, devrait être inexistant car seulement ce que tu penses de toi est d'importance.