Orchestra
Suite pour orchestre n°3 de Jean-Sébastien Bach Ouverture - Je tourne, je tourne, je tourne, et je tourne encore, les yeux fermés, je tourne, je tourne, et je tourne encore. Je l'imagine, il me remplit d'amour. Je m'envole vers lui, mon coeur est en fête de le rêver. Je sens la liberté, la joie, l'envie de courir, de jouer, l'envie de vivre, de regarder. La vie semble un feu d'artifice.
Suite pour orchestre n°3 de Jean Sebastien Bach "Air sur la corde de soi". Le son des violons se répand lentement, délicatement, puis, leurs cris aigus s'élèvent telles une exploision de particules, me remplissent la tête, me remplissent les oreilles. C'est le son du noir aussi sombre que mon coeur qui devient lourd, le son du noir qui s'étend comme une droite à l'infini, sans commencement, sans fin, noir du vide comme le néant. C'est le son des gouttes, des traces mouillées sur les fenêtres et les baies, c'est le son de l'odeur chaude et brûlante qui remonte de la terre après la pluie sous le soleil tiède du soir.
J'aime écouter les sons, ils traduisent en émotion ce qui est autour de moi. Je ne sais pas si je l'ai bien dit, mais c'est ce que je ressens.
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