Ils sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles, ils me font peur ces monstres.

Certaines fois, la nuit je les vois dans mes cauchemars. Ils rampent tout autour de moi. Ils arrivent, visqueux, sans pattes, se tortillant dans tout les sens. Je les fuis ces immondices. Je les fuis mais ils sont toujours là ; en sur-nombre.

Ils sont verts, vert dégoût, une nuance que l'on préfèrerait oublier. Ils sont mous mais pas gélatineux. Vous ai-je parlé de leur peau ? Elle est verte, vert ténèbres. Elle est rêche et granuleuse. Ils n'ont ni tête, ni fin. Ils sont juste là ; monstrueux.

Ils me font peur ces monstres alors je les pique, les pique, et les repique, pour qu'ils meurent ces sales crevures. Je les tranche, les retranche, pour les réduire en bouillie. Mais ils veulent toujours pas partir ces saletés. Alors je crie, je crie aussi fort que je peux. Je me débat, je bat des pied, je secoue les bras dans le vide.

Rien à faire ils sont toujours là ces ordure.

- Léo ! Arrête ton caprice et mange tes légumes ! cri mon père.

Moi, Léo, courgetto-phobe.

Ils sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles, ils me font peur ces monstres.

Certaines fois, la nuit, je les vois dans mes cauchemars. Ils rampent tout autour de moi. Ils arrivent, visqueux, sans pattes, se tortillant dans tous les sens. Je les fuis ces immondices. Je les fuis mais sont toujours là ; en sur-nombre.

Ils sont verts, vert dégoût, une nuance que l'on préfèrerait oublier. Ils sont mous mais pas gélatineux. Vous ai-je parlé de leur peau ? Elle est verte, vert ténèbres. Elle est rêche et granuleuse. Ils n'ont ni tête, ni fin. Ils sont juste là ; monstrueux.

Ils me font peur ces monstres alors je les pique, les pique, et les repique, pour qu'ils meurent ces sales crevures. Je les tranche, les retranche, pour les réduire en bouillie. Mais veulent toujours pas partir ces saletés. Alors je crie, je crie aussi fort que je peux. Je me débat, je bat des pied, je secoue les bras dans le vide.

Rien à faire elles sont toujours là ces ordures.

- Léo ! Arrête ton caprice et mange tes légumes ! mon père.

Moi, Léo, courgetto-phobe.

Ils sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles, ils me font peur cIls sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles, ils

Certaines fois, la nuit je les vois dans mes cauchemars. Ils rampent tout autour de moi. Ils arrivent, visqueux, sans pattes, se tortillant dans tout les sens. Je les fuis ces immondices. Je les fuis mais ils sont

Ils sont verts, vert dégoût, une nuance que l'on préfèrerait oublier. Ils sont mous mais pas gélatineux. Vous ai-je parlé de leur peau ? Elle est verte, vert ténèbres. Elle est rêche et granuleuse. Ils n'ont ni tête, ni fin. Ils

Ils me font peur ces monstres alors je les pique, les pique, et les repique, pour qu'ils meurent ces sales crevures. Je les tranche, les retranche, pour les réduire en bouillie. Mais ils veulent toujours pas partir ces saletés. Alors je crie, je crie aussi fort que je peux. Je me débat, je bat des pied, je secoue

Rien à faire ils

- Léo ! Arrête ton caprice et mange tes légumes ! cri mon père.

Moi, Léo, courge Ils sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles, ils

Ils sont immondes ces monstres. Plus qu'immonde, ils sont horribles,

Ils sont verts, vert dégoût, une nuance que l'on préfèrerait oublier. Ils sont mous mais pas gélatineux. Vous ai-je parlé de leur peau ? Elle est verte, vert ténèbres. Elle est rêche et granuleuse. Ils n'ont ni tête, ni fin.