La rue dans les montagnes
Ma rue est comme un serpent ou des vagues. Elle ondule de gauche à droite et est parfaite pour s'entrainer à faire d'excellents virages. Je tourne, mais ne change pas de rue, cela reste la même. Ce chemin d'asfalte chevauche la montagne et contourne le lac qui fait la beauté de la ville. Il serait dommage que la route ne soit qu'un vulgaire pont venant gâcher le paysage. Vous ne pensez pas ?
La rue n'est pas seulement dirigé par ce qui la compose, mais également par la forêt qui l'entoure. On ne peut pas décider de s'aventurer en dehors des sentiers battus sous peine de : se manger un esti gros arbre !
La rue n'est pas sans fin. Elle a un début et une fin. On peut y arriver par le début, mais pas par la fin. La seule façon d'y arriver est de s'aventurer dans la forêt sans utiliser la machine à quatre roues. Le sentier protégé du soleil par les arbres et, une fois sortie de ce dernier, nous sommes face à un point d'asphalte : la tête du serpent. Un panneau proposant un concepte de maison et la demeure est comparable à une villa. Cette dernière serait la toute dernière de la rue. Elle serait construite sur la tête du serpent. Plus rien à part cette maison peut être construite sur cette route, car l'environnement y est protégé pour sa beauté. Cette rue est une attraction. En t'y balladant tu peux tomber sur divers animaux, renard, raton, oiseaux. À ce moment ouvre ta fenêtre, entends la nature chanter et dis : « cette avenue est belle en maudit ! »
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