XXIV
Moins d'une minute de lecture
Loin là-bas où les vagues se brisent sur les récifs, l’amour et l’amitié ne sont plus captifs. Les étoiles brillent à nouveau et l’horizon se pâme de ses plus belles couleurs ; le chant noir du désespoir n’est plus qu’une ombre lointaine, un murmure inaudible charrié par l’éternel souffleur. Dans les vertes plaines, s’érigent les remparts du bonheur brut ; dans les terres fertiles, s’élèvent les espoirs en volutes.
Annotations