Un blaser, qu’est-ce que je vais te mettre petite,

Un borsalino, petite et voilà je te mets ma bite,

Chaussures vernies, en profondeur, petite visite,

Pantalon au pli bien droit, et voilà un bon coïte.

Cheveux relevés en chignon, te voilà bite en main,

Robe aux dessous de dentelle sur hanches relevée,

Lèvres d’un rouge ardant sucent au lent va et vient,

Culotte fendue, blanc immaculé, parfum détrempé.

Cheveux gominés, raie de cotée, queue relevée,

Chemise au col amidonné, calotte bien armée,

Boutons de manchette d’or, ton bouton animé,

Cravate de soie pour fente de désirs tant désirée.

Paupières de noir charbonnées, de désir abandonné,

Joues tendrement fardées, couleur gland demandé,

Corset victorien armé comme un petit trou bien serré,

Poitrine aux seins rebondis, aux bouts affamés dégustés,

Bretelles aux six boutons d’un connaît la combinaison,

Chaussettes noires aux sons hurlants délices de ton con,

Ceinture noire rougie de fesses aux couleurs d’un fanion,

Mouchoir gris d’un G à l’intérieur d’un glissant mignon.

Oreilles bouclées d’or, d’avant en arrière viennent et vont,

Jarretelles bas de soie associés plissent et crissent en sons,

Bottines à boutons et talons virgule, pieds en contractions,

Doigts aux ongles peints, arrachent peau tout en passion.

En habits ou déshabillé, il est tendre et bon de s’effeuiller,

En désir et passion, excitation du vêtement abandonné,

Vers la peau nue se conduire, se donner, s’émoustiller,

Et dévorer chaque recoin de l’être tendrement aimer.

Queue en chatte, doigts en chatte, tout en dégustation,

Chatte sur queue, langue au clito, déchaîne l’excitation,

Plus vite, plus fort, sperme et flots, véritable inondation,

Baise, suce, pénètre, caresse, jouissons sans modération.