Bas
Alors que tu montes en haut,
Je descends en alors en bas,
A reculons tu descends en haut,
Pendant que je monte en bas !
Il existe beaucoup de bas,
Pendant, nous faisons débat,
N’engage pas le combat,
Car bien-sûr, tu succombas.
Ainsi dit la femme tout bas,
Tout en regardant là-bas,
Nous n’irons pas au Pays-Bas,
Mais plutôt au soleil de Rabat.
Tais-toi sinon ce sera célibat,
Éteint sera ton cigare de Cuba,
Rien, nada, pas de branle-bas,
Et pour de bon dans le baba.
Là je vais rouler mes mi-bas,
Pour chausser de jolis bas,
Puis aller faire la nouba,
Allez viens remuer tes abats.
Toute la soirée tu as vu mes bas,
Ta main sur mes reins, en bas,
Oui juste là, encore plus bas,
Glisse sous ma culotte, tout bas.
Abreuve toi à ma fontaine ici bas,
Ta langue alterne de haut en bas,
Viens rentre par derrière là-bas,
Entre en haut puis sort en bas.
Nos laits s’écoulent vers le bas,
Le long de la couture de mon bas,
Ainsi finie notre fougueuse samba,
Allons manger une pêche-melba.
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