Du rêve au désespoir
Une tristesse incompréhensible, je suis désespéré, des larmes coulent sur mes joues, une peur immense et mon cœur se serre à l'idée de la revoir. Je descends souvent devant chez elle à vélo, en ayant aucun courage de sonner et de lui dire que je l'aime. Pourtant, pendant un mois j'ai tout fais pour elle. Tous les jours je la voyais, son visage rayonnant, ses yeux verts qui me glaçaient le sang quand elle me regardait avec noirceur, mais son regard ne changeait jamais. Ses prunelles aussi sombres que la nuit et pourtant quand je la voyait s'approcher vers moi, je discernais quelques étoiles qui brillaient qu'une intensité éblouissante.
Je voulais rester près d'elle mais une fois le mois terminé, elle voulait m'avouer ses sentiments envers moi; Elle qui m'avait cherché chez moi alors que j'étais encore en caleçon en train de jouer aux jeux-vidéos, je m'étais précipité en m'habillant, j'étais loin de ce qui pourrait être acceptable, mais tant pis. Elle était devant chez moi, attendant devant ma porte. Après m'être présenter dans un état lamentable, marcher quelques minutes dans la rue ensoleillé j'ai fait une erreur en lui disant que je voulais rentrer, NON ! Ce n'était pas mon erreur, mon cousin était avec moi. Je voyais dans ses yeux magnifique qu'elle voulait m'embrasser. Je me retenais de la prendre par la taille et passer des heures à l'admirer, lui donner des baisers, découvrir son corps caché systématiquement sous ses vêtements. Mais mon cousin, ce démon a anéanti tout mes désir, c'est lui qui à mis fin à ce rêves et lui qui à installer un cauchemar.
Quand j'étais partis de mon côté de sentais son regard se fixée sur moi, se remplir de larmes, et depuis, elle m'avait déposer quelques lettres pour me dire qu'elle me désirais jusqu'au fond de son âme, maintenant tous remplit de larmes.
Maintenant que je la revoie dans le bus, elle me regarde constamment, et quand elle passe devant moi pour descendre je suis hypnotiser, son regard noir, n'est remplit que de tristesse à cause de moi, NON ! J'ai dis que ce n'était pas de ma faute mais de celui de mon cousin, cependant je ne peux m'empêcher de me dire que c'est de ma faute que mon cœur est aussi déchirée autant que le sien. Qu'elle pleure chaque soir retenant son cœur de lui anéantir toute sa poitrine.
Les jours passe, toujours en compagnie de mon chagrin, et voilà le moment que je redoutais et à la fois espérait de tout mon âme, elle avait été forcé à se mettre près de moi. Moi qui m’agrippai tant bien que mal aux vieux tuyaux jaunes, pour me retenir de tomber sur les autre. Elle juste derrière moi ; Je sentais son parfum qui me rendait fou, sa chaleur qui me faisait rougir jusqu’à la dernière seconde qu'elle soit près de moi. Et voilà le moment que je redoutait, un ami à moi se rend compte que nous sommes tout deux côte à côte et fait cette réflexion que je regrettais à l'instant où il avait fini son dernier mot.
– Hey, Dimitri, tu sais qu'elle est juste à côté. Dit-il en lui jetant un coup d’œil rapide, je pensais qu'il se rendrait compte plus tôt mais visiblement pendant un moment au lieu de la déesse qui était près de moi, se trouver un miroir de vide.
Je voulais lui dire tant de choses, l'enlacée avec passion, mais en aucun cas l’interrompre dans ses pensée le matin là. Elle et ses écouteurs, musique peut être à fond pour ne rien entendre, mon ami me lance un sourie qui veut clairement me dire que je dois tout faire pour la garder près de moi et la protéger, comme un verre en cristal, une pierre précieuse qui risque de s'écraser au sol.
Je lui répondis en baissant les yeux, signifiant que je n'est plus aucune chance. Que je laisse ce verre se briser, qui sûrement rattraper par quelque d'autre, qui l'aimera d’avantage que moi.
– Elia, t'a vu il y a Dimitri. Tout en faisant son beau en bombant le torse, l'air fière de son acte, qui n'était qu'une succession d'erreur, elle répondit sèchement en le fixant, le regard noir méprisant.
– Je sais. Les seuls et uniques mots qui était sortit de sa bouche, sa voix me provoqua un frémissement de plaisir. Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas entendu. Or ces mots ne m'était pas destiner je voudrais l'entendre chaque jours, chaque minutes de ma vie, jusqu’à que mon plaisir s’estompe.
Mais hélas ceci est la réalité et ce que je pense n'est qu'un rêve qui me revient chaque soir, qui me torture, qui me fait verser des centaines de larmes coulant en abondances sur mes joues.
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