Pour les non mathématiciens ou les moins mathématiciens d’entre nous, j’ai opté pour vous remettre les théorèmes que Wikipedia a osé me souffler et me rappeler pour m’aider à les adapter à l’amour.

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L’amour des mathématiques ou les théorèmes mathématiques appliqués en amour.
La théorie des probabilités en mathématiques est l'étude des phénomènes caractérisés par le hasard et l'incertitude.
L’amour est un jeu de hasard et d’incertitude.
Le hasard d’une rencontre, le hasard de la connexion entre les sentiments de deux êtres amoureux.
L’incertitude de la durée de cet amour : éphémère ou éternel. L’incertitude de la force de cet amour : réciproque, à sens unique, transcendant ou juste platonique. Les jeux de l’amour ne sont que ceux des jeux de casinos avec des probabilités de gagner comme de perdre. Quand la certitude d’aimer est là, après la rencontre hasardeuse, alors il faut foncer sans perdre une minute pour rendre ce sentiment certain.
Le théorème de Pythagore est un théorème de géométrie euclidienne qui met en relation les longueurs des cotés dans un triangle rectangle. Il s'énonce fréquemment sous la forme suivante : Si un triangle est rectangle, le carré de la longueur de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des longueurs des deux autres côtés.
Le théorème de Pythamour est un théorème à géométrie clitoridienne qui met en relation les longueurs des doigts sur la toison en forme de triangle … pour le reste des réactions humaines, bien moins mathématiques, l’hypophyse joue sûrement aussi un rôle à géometrie variable mais pour finalité de mettre son tube dans le rond.
Le théorème de Thalès est un théorème de géométrie qui affirme que, dans un plan, à partir d’un triangle, une droite parallèle à l'un des côtés définit avec les droites des deux autres côtés un nouveau triangle, semblable au premier.
Le théorème de Thalèvres affirme que dans un plan cul, à partir d’une langue, deux lèvres parallèles à l’un des partenaires définissent avec les deux autres lèvres un parfait triangle amoureux … surtout si les lèvres du bas sont de la partie.
La poussée d’Archimède : Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, subit une force verticale, dirigée de bas en haut et égale (et opposée) au poids du volume de fluide déplacé. Cette force est appelée poussée d'Archimède. Elle s'applique au centre de masse du fluide déplacé, appelé centre de poussée.
La poussée d’Archisexe, c’est un sexe en érection plongé dans un vagin au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou s’excitent, qui subit une force verticale de la main, dirigée de bas en haut et de haut en bas. Cette force s’appelle l’appel de deux sexes, en vue d’un orgasme explosif.

jFA