Le corps en constante inertie,
Je longe les chemins étranges de ce que l'on appelle la vie,
Une porte s'est refermée,
Mais pas de place aux regrets,
Dans les yeux de mon père,
Je suis une lionne qui se bat ,
Dans le coeur de ma mère,
Des larmes d'adieu ont en coulées pour plusieurs mois
Sans doute la distance ? Un profond désarroi ?
Grande de taille, yeux bruns et boucles boucles d'or,
Mais qui sont-ils pour me juger ?
Quoiqu'il advienne
Je reste droite, pas d'indécision,
Parfois des couleurs d'enfance me revienne,
Nostalgie, souvenirs en tourbillons
Et c'est dans ces momemts que l'imagination me chuchotes ,
"Il est temps d'écrire voyons !".